
Prédications de l'Eglise MLK Lausanne
By Eglise MLK Lausanne


"Que Ta volonté soit faite!" (Prédication du 01.06.25 - Série NP 1)
Résumé : Dans le jardin de Gethsémané prie dans un moment d’intense angoisse. Sa volonté d’humain, c’est d’éloigner la coupe de douleur, mais au prix d’un intense combat, il se soumet à la volonté de son Père. Ce texte est une invitation à s’abandonner nous aussi à la confiance en Dieu, à cultiver cet abandon confiant, priant avec ces mots : « que ta volonté soit faite ! ».

"Le berger, le bon" (prédication du 18.05.25)
Résumé : Devant la pléthore de bergers actuels en tout genre, Jésus se présente comme le bon berger. Celui qui te parle, celui qui te connaît, celui donne sa vie pour toi. Ainsi il vient tisser un lien d’amour qui est plus solide que nos peurs, plus solide que la mort qui est vaincue en Lui. Un bonne nouvelle pour tout le troupeau que nous sommes, ceux au-dedans comme ceux au-dehors.

« La grâce de Dieu qui libère de la pression de la performance » (prédication du 04.05.25)
Résumé : Dans la course de nos vie, l’apôtre Paul nous invite à garder les yeux fixés sur le but et trouver le rythme de Dieu pour nous. Et pour faire face à la pression de la performance de notre société, il ouvre nos yeux sur la grâce de Dieu offerte à chacun, menant à une vie riche en actions bonnes. Alors 3,2,1 go, partage l’Évangile dans la course de ta vie !§

"En route avec le Ressuscité" (prédication de Pâques du 20.04.25)
Résumé : et si Pâques était un VSCD (« vécu subjectif de contact avec les défunts ») pour nous donner paix et joie, pour que l’on n’ait plus peur, pour nous ouvrir à l’espérance ? Et si l’apparition de Jésus aux pèlerins d’Emmaüs, était en fait une invitation à mettre en pratiques les 7 attitudes de Jésus dans ce récit : Rejoindre les autres là où ils sont, faire route avec eux, les écouter, lire les écritures avec eux, se laisser inviter, partager un repas (célébrer) et enfin, disparaître. Un défi pour nos vies… en route avec le Ressuscité !

Médiation de Carême 2025 - Gethsémané ("Ta volonté")
Le thème du combat spirituel dans Lucc 22,36-46

Méditation de Carême 2025 - Ephésiens 6
Le thème du combat spirituel dans Ephésiens 6,10-18

« Au nom de Jésus » (prédication du 06.04.25)
Résumé : Sans que cela soit une formule magique d’Harry Potter, l’invocation du nom de Jésus Christ nous place sous son autorité et permet, parfois, des miracles, comme pour l’infirme de la Belle Porte, guéri par Pierre et Jean. Et toi, saurais-tu revêtir le maillot du Team Jésus et, en te plaçant sous l’autorité de son nom, partager la bonne nouvelle de son Royaume ?

Méditation de carême 2025 - Ps 121
Le thème du combat spirituel dans le Psaume 121

Méditation de Carême 2025 - Genèse 32
Thème du combat spirituel en Genèse 32,23 - 33,4

Méditation Carême 2025 - Luc 4
Thème du combat spirituel en Luc 4,1-13

Méditation Carême 2025 - Exode 17
Thème du combat spirituel sur Exode 17, 1-7

Méditation Carême 2025 - Romains 7
Romains 7, 14-25 sur le combat spirituel intérieur

« La triple repentance du livre de Jonas » (prédication du 16.03.25)
Résumé : Dans le livre fantastique et pédagogique de Jonas, on y trouve une triple repentance : celle de Jonas, qui bénéficie de la miséricorde de Dieu après sa fuite, celle des Ninivites, exemplaires dans la repentance et qui, eux aussi, bénéficient de la miséricorde de Dieu. Et finalement, celle, inattendue, de Dieu lui-même, qui se repent et sauve Ninive. Choisir donc un chemin de repentance, pour que la Vie soit. Un chemin à prendre pour nous aussi en ce temps de carême.

"Dieu compte sur nous!" (prédication du 02.03.25 par Clara Molina-Vienna)
Prédication sur les noces de Cana (Jean 2,1-11)

"Le don comme justice, libération, reconnaissance" (prédication du 02.02.25 par Alexandre Mayor)

« Antidotes de la peur » (un sermon de MLK - 19.01.2025)
Résumé: Martin Luther King Jr nous parle de son époque troublée, traversée par la peur, comme aujourd’hui. Il donne 4 antidotes de la peur : Affronter nos peurs, Être courageux, Maîtriser la peur par l'amour, Être rempli de foi en Dieu. Un amour et une foi courageux qui ont changé le monde grâce aux actions de Jésus-Christ et qui ont également soutenu le travail acharné du pasteur King malgré toutes les peurs réelles qui auraient pu l’arrêter. Saurons-nous nous en inspirer ?

«D’une naissance dans la fragilité à un accueil dans la bergerie de nos vies !» (prédication du 15.12.24 par Clara Molina-Vienna)

« La joie d’enfanter le Christ » (prédication du 01.12.24)
Résumé : La rencontre entre deux femmes enceintes, la jeune Marie enceinte du Christ, et la vieille Elisabeth enceinte de Jean, celui que l’on nommera ensuite le baptiste, suscite une joie dans l’urgence, une joie d’être porteuse de vie, une joie d’être « en espérance », une joie d’être porteuse de Christ. Et si pour ce temps de l’Avent nous aussi réfléchissions comment nous sommes, femmes et hommes, chacune et chacun, porteur·euse du Christ ? et comment nous nous préparons, chacune et chacun, à enfanter le Christ dans nos vies ?

« Et si Jésus se mettait en colère… à cause de notre mauvaise foi ? » (17.11.24)
Résumé : Devant le figuier, la colère de Jésus est incompréhensible. Mais elle s’éclaire avec l’épisode bien connu des marchands du temple qui ont transformé cette « maison de prière » en « caverne de brigands ». Tel un père qui se met en colère devant son enfant qui fait fausse route et se met même en danger, Jésus se met en colère à cause de la dangereuse religiosité mercantile, individualiste, sacrificielle et superficielle de son temps, qui mène à un assèchement spirituel, qui ne donne pas de fruit. A l’inverse, il invite à « avoir foi en Dieu », à tisser une relation avec Lui dans la prière, et c’est cela qui donnera du fruit.

« Quitter nos fausses sécurités » (prédication du 02.11.24)
Résumé: Au jeune homme riche qui cherche à FAIRE juste, Jésus rappelle la radicalité de l’Evangile, en l’invitant se dé-FAIRE de ses biens matériels et LAISSER FAIRE Dieu dans nos vies. Quitter nos fausses sécurités (à la fois matérialistes et activistes) pour être, être un disciple en vivant réellement sous le régime de la grâce. Si difficile pour des humains, mais si libérateur. Et si nous essayions ?

« Le renversement de l’Évangile » (prédication du 20.10.24)
Résumé : Face aux disciples si humains, et devant leur question de savoir qui est le plus grand, Jésus leur enseigne le renversement de l’Évangile. Au lieu de se comparer, au lieu de jalouser, au lieu de chercher à « performer », Jésus nous invite à se faire petit, serviteur, comme il le fera sur la croix. Un grand homme est celui qui se fait petit, serviteur, et qui accueille l’autre comme un enfant. Un renversement de l’Évangile à vivre dans nos vies.

« Qui est Jésus pour toi, aujourd’hui ? » (06.10.24 - 1re partie partie seulement)
Résumé : En chemin, c’est pour une fois Jésus qui questionne les disciples. Par ses questions, il les invites à réfléchir à qui il est pour eux. Chacun·e est invité·e à dire sa réponse, aujourd’hui. Un prophète, un révolutionnaire, un fou ? « Le Christ », dit Pierre. Autrement dit, le Sauveur qui par le don d’amour total sur la croix, nous offre la vie en plénitude, ce Sauveur qui doit passer par la souffrance, comme ceux qui désirent le suivre. Le Sauveur qui a vaincu la mort et nous offre la vie éternelle.

« Tu es pardonné·e, va en paix ! » (prédication du 15.09.24)
Résumé : Pécheresse mais faisant preuves de gestes d’extrême tendresse envers le Christ, la femme au parfum reçoit le pardon du Christ, au grand étonnement de Simon le pharisien. Mais cet épisode nous rappelle le fondement de la foi chrétienne : la grâce est pour tous, le pardon est pour tous, les dettes de tous sont effacées, autant la prostituée que le pharisien, car nous sommes tous et toutes pécheurs et pécheresses. Une bonne nouvelle qui ouvre sur une vie nouvelle, où nous pouvons « aller en paix » !

« Ne baisse pas les bras ! Persévère ! Crois ! » (prédication du 01.09.24)
Face à la maladie, à l’adversité ou plus généralement les difficultés de la vie, bien souvent nous sommes tentés de baisser les bras. Mais l’Evangile nous invite à persévérer dans la foi et la ténacité, nous laissant inspirer par l’exemple de la Syro-Phénicienne, femme étrangère méprisée par Jésus et les disciples qui pourtant ne baisse pas les bras, et devient par sa persévérance non-violente un exemple de foi.

"Courage et confiance!" (prédication du 18 août 2024)
A l’aveugle Bartimée qui crie son désespoir, Jésus envoie ses disciples qui lui disent « Courage, lève-toi ! », phrase qui peut aussi être traduite par « aie confiance ». « Courage et confiance », un message pour chacun·e en cette rentrée scolaire souvent mouvementée. Par ces mots, Jésus nous invite aussi à devenir des coopérateurs de guérison, des encourageurs pour la vie de celles et ceux qui sont arrêtés, aveuglés pour différentes raisons, sur le bord du chemin. Aider notre prochain à reprendre courage et reprendre confiance en Dieu, Lui qui ne nous abandonne jamais.

« Quelle est ta priorité ? » (prédication du 2 juin 2024)
Résumé : Quasi féministe – dépeignant une femme comme disciple modèle – l’histoire bien connue de Marthe et Marie nous rappelle, dans la course de notre société actuelle, l’importance de se poser, de mettre sur pause, et se mettre à l’écoute de la Parole de Jésus, comme le fait Marie. Si les deux femmes se complètent, comme deux faces d’une même pièce de monnaie qui sont toujours à articuler, la priorité, c’est bel et bien de s’arrêter, d’écouter, et de ne pas s’inquiéter dans une agitation constante, telle que le vit Marthe. Un défi pour nos vies !

« Marcher par l’Esprit » (prédication du 19 mai 2024 - Pentecôte)
Pentecôte, c’est un ordre de marche. Devant des Galates qui cherchent à « faire » pour être sauvés, Paul rappel à la fois le salut par la grâce, la liberté du chrétien et l’exigence de marcher dans l’Esprit. Marcher par l’Esprit, le laisser agir dans nos vies avec cette promesse : si nous lui laissons conduire notre existence, de beaux et bons fruits surgiront.

« Dieu est amour » (prédication du 5 mai 2024)
Résumé : Peut-on être chrétien tout seul dans son coin ? La première épître Jean répond par la négative avec le fameux condensé d’évangile « Dieu est amour ». Il est amour, parce qu’Il nous a aimé le premier, parce qu’Il a envoyé son Fils qui s’est offert en sacrifice pour le pardon des péchés. Il est amour et nous invite donc à nous aimer les uns les autres, simplement. Pour connaître Dieu, pas besoin d’une foi immense. Juste d’aimer. De m’ouvrir à mon prochain, et de l’aimer. Pour qu’il soit vraiment « amour », Dieu donc a besoin de nous !

"Que la paix soit avec vous!" (prédication du 21.04.24)
Résumé : Alors que les disciples ont peur et se cachent derrière des murs, le Christ ressuscité leur apparaît puis à Thomas, en répétant 3x la formule « La paix soit avec vous ! ». La paix, le shalom, qui n’est pas juste l’absence de guerre, mais qui dit à la fois la relation à Dieu, aux autres et à la création, qui exprime le désir d’harmonie, est la réponse du Christ aux peurs des disciples. Une paix donnée qui ouvre sur la suite : l’envoi et le don du Saint-Esprit. Une paix à recevoir et à transmettre plus loin, aujourd’hui encore.

« Pâques, le passage de la mort à la vie, de la peur à la confiance » (prédication du07.04.24)
Résumé : A Pâques, les femmes découvrent le tombeau vide. La résurrection ne se laisse voir qu’en creux, par le vide. Un vide qui est passage, de la mort à la vie, de la tristesse à la joie, de la peur à la foi. Un vide qui appelle aussi à quitter ses tombeaux pour se mettre en route vers la vie ! Mais le dernier verset souligne qu’il n’est pas si simple de vivre ce passage pour nous et d’en devenir témoins. Un appel à ne pas se laisser enfermer par nos peurs et à vivre avec confiance notre vie, dans la lumière du Ressuscité !

« Dans nos déserts, ne pas remplir nos vides par du « vent », mais faire confiance à ce Dieu fidèle dans nos infidélités » (prédication du 17.03.24)
Résumé : Pour combler le vide angoissant de l’attente, pour faire face aussi à une certaine impatience, le peuple d’Israël se fabrique une idole : un veau d’or. Combien de fois nous aussi nous nous perdons en comblant le vide existentiel par des idoles modernes ? Dieu se met en colère, une juste colère, devant ce peuple errant, se détournant du chemin de bonheur qu’Il avait prévu pour lui. Moïse intercède. Il apaise. Et Dieu renonce à sa colère. En fin de compte, grâce à Moïse le médiateur, il se révèle fidèle dans l’infidélité du peuple. Ce texte bien connu est donc une invitation à ne pas remplir nos vides par du « vent » quand bien même il serait clinquant, mais à faire confiance à ce Dieu fidèle dans nos infidélités, à persévérer dans nos déserts.

« Dieu nous offre une alliance inconditionnelle » (prédication du 03.03.24)
Résumé : Devant la violence et la corruption du monde, Dieu envoie d’abord le déluge, puis il prend un engagement : Dieu offre une alliance sans condition à Noé et à ses enfants. Comme une nouvelle création, un nouveau commencement sous signe de la grâce et de l’accueil inconditionnel de la diversité. Pour aujourd’hui encore, même si la violence et la corruption demeurent dans le monde, nous vivons sous le régime de cette alliance inconditionnelle. A nous d’y travailler dans le monde, comme dans une sorte de partenariat avec Dieu.

« Rechercher activement le Christ dans nos vies » (prédication du 18.02.24)
Résumé: Oublier quelque chose d’important, nous le faisons tous. C’est humain. Mais oublier son enfant, ce n’est pas possible ! Et pourtant, Marie et Joseph font exactement cela : ils oublient Jésus qui a 12 ans, et rentrent sans lui. Puis ils le recherchent activement, et ce parcours des parents de Jésus qui ont perdu leur fils, peut être lu comme un parcours de recherche spirituelle de Christ. L’oublions-nous parfois ? le recherchons-nous activement ? La bonne nouvelle, c’est que à ceux et celles qui le cherchent activement, Jésus se laisse trouver. Une invitation à le rechercher activement dans nos vies, donc !

"Dieu choisit le petit" (prédication du 04.02.24)
Résumé : Pour choisir un nouveau roi, Dieu envoie Samuel. Le prophète, un peu perdu, est pris par la main par Dieu qui finit par choisir, le plus petit de la fratrie, l’oublié, le jeune berger. Un choix basé non pas sur les apparences mais parce que Dieu voit jusqu’au du cœur. Ce choix nous rappelle que dans la logique de Dieu le petit, l’exclu, l’oublié, est mis en avant à cause de ses qualités de cœur. Par ailleurs, Dieu nous a choisi comme David pour être ses serviteurs. C’est au moment où il nous appelle par notre nom que nous pouvons devenir, par son Esprit, celui ou celle que nous sommes appelés à devenir en vérité.

"Les enfants annonciateurs du Royaume" (prédication avec Serge Molla du 21.01.24)
Entretien-message avec le pasteur spécialiste de l'époque de Martin Luther King Jr. lors du culte à l'Eglise MLK Lausanne le 21 janvier 2024.
Dans la lutte pour les droits civiques, les enfants ont joué aussi un rôle important, notamment en 1963 à Birmingham, et se sont engagés pour avoir un avenir! Que veulent les enfants? "Liberté". Ils furent emprisonnés et chantaient leur espérance, même en prison! Jésus lui aussi a mis en avant des enfants, car ils indiquent quelque chose que perd parfois l'adulte. L'enfant est dépendant, mais il sent que la vie passe par cette dépendance. Il sait qu'il ne sait pas plein de choses, d'où ses questions et ses espérances et il a confiance, même s'il ne sait pas ce qui va se passer! Une invitation pour chacun de nous aujourd'hui... à être comme des enfants, dépendant de Dieu, confiants et pleins d'espérance.

Une « très grande joie »… à cultiver ! (prédic du 07.01.24)
Résumé : Les mages, dans leur pèlerinage jusqu’au roi des juifs, cheminent jusqu’à Bethléem, avec à-coups, fausses pistes et dangers bien réels. Quand l’étoile s’arrête au-dessus de la maison où se trouve Jésus qui vient de naître, ils ressentent « une très grande joie ». Joie d’arriver enfin au Christ, après tant d’attente et d’aventures. Joie de la rencontre avec le Christ, ce roi si fragile et pur. Joie de l’adoration. Et si pour l’année qui débute, nous aussi nous cultivions cette joie ?

« La lumière brille dans l’obscurité, sauras-tu l’accueillir ? » (prédication du 17.12.23)
Résumé : Malgré les obscurités du monde qui nous entoure, la lumière brille, celle de la Parole faite chair, cherchant à éclairer tous les être humains. Pourtant, cette bonne nouvelle de Noël est avant tout une question, pour ne pas dire un choix, qui est posée : cette lumière, le monde ne l’a pas reconnue, les siens ne l’ont pas accueillie, sauras-tu le faire ? Sauras-tu avec tes fêlures et tes charismes, en rendre témoignage, pour qu’elle brille encore davantage sur terre et fasse reculer les ténèbres ?

« Ne te laisse pas envahir par tes habitudes : veille ! » (prédication du 03.12.23)
L’Évangile nous invite à veiller, mais qu’est-ce que « veiller » ? Veiller, c’est ne pas se laisser enfermer dans nos habitudes, autant avec tout ce que nous avons à faire en ce mois de décembre surchargé, mais aussi en ce qui concerne notre foi : lutter contre l’habitude en nous mettant aux aguets, guetteur de lumière et d’espérance en ces temps troublés, lanceur d’alerte prêt à nous laisser surprendre par l’inattendu de Dieu. Car il vient. Mais à l’improviste. Alors… veillons !

« Qu’as-tu fais de ce que tu as reçu ? » (prédication du 19.11.23)
Résumé : Dans la parabole dite des talents, le maître confie des biens très précieux à chaque serviteur, il leur fait confiance. Quand il revient, il vient leur demander : qu’en avez-vous fait ? Une question pour nous tous aussi : qu’ai-je fait de que j’ai reçu de Dieu (les talents, le potentiel, mais aussi de manière plus générale : la vie)? L’ai-je fait fructifier ou bien l’ai-je caché par peur de mal faire ? Une invitation à oser faire fructifier ce que nous avons reçu et à honorer ce que les autres ont reçu. A faire confiance… à la confiance que Dieu a en nous !

« Tu es invité·e au festin du Royaume, quelle sera ta réponse ? » (prédication du 01.10.23)
Résumé: La parabole du festin met en avant le désir de Dieu d’offrir généreusement, gratuitement, sa grâce, à tous et toutes, matérialisé par cette invitation large au festin que le Maître a préparé. Mais parfois, nous sommes comme ceux qui refusent l’invitation : nous avons mieux à faire, pris par des choses plus ou moins futiles de nos vies, restant centrés sur nous-mêmes. Parfois aussi, nous en avons besoin et venons directement, conscients que nous avons besoin de Lui. Parfois enfin, on doit insister pour que nous venions. Dieu nous veut dans sa maison pour partager le festin avec lui, signe du Royaume déjà là en partie, ici et maintenant. Quelle sera ta réponse ?

« Un repas… et ça repart ! » (prédication du 17.09.23)
Résumé: Devant nos découragements et nos sentiments d’avoir les batteries à plat, Jésus nous offre, par le miracle de la multiplication des pains et des poissons, un encouragement. Par ce repas, le Christ veut nous rebooster en nous rappelant qu’à travers nous des miracles sont possibles. Yes we can !

« A la table de l’inclusivité pour guérir les cœurs » (prédication du 03.09.23)
Résumé : En partageant un repas avec des exclus de la société de l’époque, Jésus par cet acte pose un geste fort d’inclusivité. Par ce repas, il redit ainsi que la bonne nouvelle est pour tous, et surtout pour les marginaux de toutes sortes, et qu’il n’est pas venu pour juger mais pour guérir et faire changer les cœurs. Un bonne nouvelle pour chacune et chacun de nous à le suivre et convertir notre part pécheresse en nous.

« Va, vaillant héros, avec la force que tu as, le Seigneur est avec toi ! » (prédication du 20 août 2023)
Résumé : A travers l’histoire de Gédéon, héros biblique très humain, nous réentendons la bonne nouvelle de ce Dieu qui croit en nous et nous invite à lui faire confiance dans nos combats et plus largement dans nos vies. « Va avec la force que tu as, vaillant héros ! », une phrase que Dieu nous adresse, pour nous rappeler qu’avec Lui, avec la foi en Sa présence fidèle, la force que nous avons suffit.

« Ruth, l’expression de la bonté et de la fidélité de Dieu » (prédic du 02.07.23)
Comment faire face au malheur et ouvrir sur un avenir ? Par son courage, par sa bonté et sa fidélité, Ruth l’étrangère montre un chemin. En mettant sa vie entre les mains de Dieu, elle fait surgir la bonté et la fidélité de Dieu pour son peuple. Une invitation pour nous aussi à vivre la confiance totale en ce Dieu bon et fidèle.

« Esther, une résistante en parole et en actes » (prédication du 18.06.23)
Résumé : Où est Dieu dans la souffrance ? Le livre d’Esther, formidable conte d’espérance, nous invite, devant les situations inextricables de nos vies, à ne pas désespérer, mais à croire en nous. Si Dieu se cache, il est peut-être en chacune et chacun de nous pour faire de nous des ambassadeurs de sa tendresse, des porteuses d’espérance qui peuvent, simplement et avec courage, apporter de la lumière dans un monde de ténèbres. Comme Esther.

Débora, héraldesse de l’espérance (prédication du 4 juin)
Loin des stéréotypes sur les femmes, Débora vient surprendre le lecteur biblique, prouvant à la fois qu’elle est une figure d’autorité (juge) et que sa parole est puissante (prophétesse). En héraut de l’espérance, elle se positionne face à l’oppression telle une cheffe de guerre, dirigeant le peuple d’Israël vers la liberté et l’invitant à placer toute sa confiance en son Dieu.

"Vous serez mes témoins!" (prédication du 21 mai)
Comment vivre sans Jésus ? À la suite de son Ascension, les disciples deviennent des apôtres, des envoyés, pour leur temps présent. Aujourd’hui encore, nous aussi sommes invités à devenir les témoins de son Evangile pour le monde, à passer le témoin, et devenir ensemble des signes pour le monde. Signes de lumière, d’amour et d’espérance. A nous de jouer !

"T'inquiète!" (prédication de Nel Berner du 7 mai)
Pour faire face à l'inquiétude, Dieu nous propose de faire alliance avec lui pour recevoir la paix indépendante des circonstances, par la prière.

« Il est ressuscité et il vous précède en Galilée » (prédication du 16 avril 2023)
Résumé : La bonne nouvelle de Pâques est une invitation à nous mettre en mouvement. A ne pas rester dans nos tombeaux, nos tristesses, nos impasses, mais à nous rendre « en Galilée », c’est-à-dire là où tout a commencé, dans le concret et l’ordinaire quotidien, et à revisiter cette source primordiale. Le Ressuscité nous y précède. Et nous y attend pour une rencontre épanouissante.

« Honorer Jésus… et son prochain ! » (prédication du 02/04/23)
Derrière le récit bien connu des Rameaux se trouve en filigrane une invitation à vivre la culture de l’honneur, celle qui cherche à honorer non seulement Jésus le Christ, reconnaissant (pour) qui Il est, Sauveur humble et aimant, Prince de paix, mais également notre prochain. Honorer, c’est reconnaître les qualités que Dieu a déposées en mon prochain, une manière de vivre l’Evangile dans le monde d’aujourd’hui.