Café noir et tableau blanc

Johanna Moya, je l’ai découverte dans une vidéo, via son travail et avec ce podcast, j’ai rencontré une femme qui prend les photos mais pas de clichés, bien au contraire. J’ai tout de suite aimé la poésie de son travail, la richesse de ses nus, la beauté des portraits habillés - car elle ne fait pas que des corps, elle fait aussi des cœurs. Son interprétation du féminisme et du care, de la Nature et de la relation à l’autre, aux autres, à cette Terre qu’on bousille mais qu’elle célèbre encore, est précieuse et fascinante.

Elle a mis sourire dans la face militante que je portais parfois fatiguée, elle m’a collé un autocollant solidaire comme le blason redoré de ce féministe qui m’est cher et pour sûr, elle insuffle un vent de liberté et de créativité nécessaire.

Cet épisode termine la 3e saison de Café noir et tableau blanc.

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Tatsumi Komiya a ouvert son atelier de verrerie à Cap-Chat, en Gaspésie. Avec ce souffleur de verre originaire du Japon, passé par la France avant d’immigrer au Québec, on parle des enjeux et du bonheur qu’implique une vie comme la sienne, entre le choix de sa job et son village d’adoption, l’art et l’atelier. Dans cet épisode et à travers ses réponses, retrouvez l’essence de la culture japonaise qu’il transmet et cette vision d’artiste-artisan qui m’avait déjà tellement impressionnée quand on avait rencontré Suemarr au Japon.

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Laurence de Laumara, culottée cette entrepreneure!

Pourquoi je dis ça? Parce que cette jeune femme québécoise n’a pas froid aux yeux et s’est lancé dans une aventure de mode éthique qui l’emmène entre le Pérou et le Canada pour nous ramener les culottes les plus douces de la terre et surtout les plus saines pour notre corps. Un peu d’éducation avec ça sur le tissu ou nos parties intimes? Absolument, et dans la bonne humeur s’il vous plaît car Laurence est entière et passionnée.

Vous vous demandez maintenant si moi aussi j’ai testé ses sous-vêtements biologiques non teints? Soyons honnêtes, je ne porte plus que ça!

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Rien ne le destinait aux affaires étant jeune, rien ne l’encourageait à sauter le pas et lâcher sa job bien payée étant adulte. Rien? C’est pourtant un bilan plein de sagesse et d’audace que Mario Courchesne, co-fondateur de Lebon Trait d’union, tire de ces 4 ans d'entreprenariat.

Qu’est-ce qu’on fait chez Lebon Trait d’Union à part « raconter le monde et rencontrer les gens »? C’est dans le podcast! Équipe, fonctionnement, priorités et renouveau, je m’entretiens avec mon associé et on vous dit tout!

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Nelly Dennene-Herma est organisatrice féministe politique au Réseau des tables régionales de groupes de femmes du Québec. Elle est militante ET ouverte aux débats, et ça, ça peut être plus contre-courant qu’on ne pense! Dans cet épisode, on parle de sa vie, l’importance et l’héritage de la famille, son parcours professionnel et le burn-out militant, mais aussi de son retour sur la scène féministe. Brillante et généreuse, Nelly est un vrai coup de cœur!

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Pierre et Chin vivent sur la route, au Japon. Dans leur maison mobile, ils collectent les portraits des gens qu’ils rencontrent, celles et ceux qui ont choisi une vie libre, connectée à la nature et régie par une autre échelle de temps que la nôtre. Âme libre lui aussi, il nous a fallu la coïncidence d’un instant disponible et d’un hôte qui a le WI-FI pour enregistrer cet épisode que je chéris doublement : d’abord parce que Pierre me ramène au Japon, ensuite parce qu’il traduit la beauté de la Nature et nous questionne sur ce qui a vraiment de la valeur…

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Mathieu Dubé fait une job qui n’existe pas si vous demandez au dictionnaire. Mais des fois, ça vaut la peine de ne pas demander et de juste faire ce qui nous tente. C’est même un sacré travail en fait, de faire une job qu’on aime. Mathieu est poète-collagiste et éleveur de vers livres. Il fait de la poésie avec des découpes de magazines et passe des fois la société au vitriol, mais souvent ces textes sensibles et intelligents sont le reflet de notre quotidien. Ça tombe bien, son premier livre qui les compile, s’appelle Morceaux de mémoire, et c’est un coup de cœur absolu.

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J’ai rencontré Chloé par hasard. Parce que le monde est petit peut-être, parce que Montréal offre un terrain de jeu parfait pour les personnes créatives qui prennent plaisir à se rencontrer autour d’un café quand c’est possible. C’est ce qui s’est passé avec Chloé : je suis tombée en amour avec ses boucles achetées au Palais Bulles (Saison 2, épisode 17) puis je lui en ai acheté des personnalisées, qu’elle m’a remises avant que j’aille me faire tatouer par Élise ( Saison 3, épisode 3) qui elle aussi lui en a commandé. Ce podcast? L’histoire d’une « fille bonne humeur » et sa marque peps, qui vont vous donner envie de vous lancer!

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Emmanuelle Michaud est une trentenaire bienveillante et féministe. C’est aussi la fondatrice de Louvgang, une maison holistique pour les fxmmes, située dans le Mile-Ex, à Montréal.

Vous pouvez entrer chez Louvgang par plusieurs portes : yoga, soins énergétiques, café, club de lecture, ou même pas curiosité parce qu’il semble faire doux. Toutes ces raisons sont valables, plus toutes celles qui vous plairont car ici on ne juge pas, on accueille, on accepte, on soutient. Sororité et bienveillance sont les principes qui guident cette aventure unique qu’il serait nécessaire d’implanter dans chaque quartier, dans chaque ville.

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Elise Bray est tatoueuse à Montréal. Elle a un style bien à elle et elle m’a tatouée quelques fois déjà. Lors de nos discussions j’apprends qu’elle a fait de prestigieuses études d’architecture en France, lancé sa carrière mais finalement tout quitté car elle n’était pas heureuse et sa créativité pas stimulée. Un voyage solo en Australie et Nouvelle-Zélande plus tard, des centaines de rencontres, des milliers de questions et finalement une évidence, elle était décidée à devenir tatoueuse, à Montréal. Cette autodidacte ultra performante a changé de vie et c’est tant mieux!

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Quand elle s’est demandé quoi faire avec ses études de littérature en poche, Mélanie Guillemette s’est lancé dans un défi de taille : ouvrir sa propre librairie indépendante à Montréal. Un an plus tard, entre succès et leçons d’humilité, et avec un enthousiasme contagieux, voici l’histoire improbable de N’était-ce pas l’été, installée dans la petite Italie, une librairie de quartier, un lieu de rencontre, un de mes coups de cœur!

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Saison 03, épisode 01, on rencontre Céline Beuvens-Nicaise, une professeure qui était bien établie en Belgique jusqu’à ce qu’elle décide de tout plaquer avec son mari et de partir ensemble au Canada… sans ses enfants. Nés d’une précédente union, elle s’est entendue avec le papa pour prendre le temps de s’installer avant de les faire venir.

Changement de contexte, croissance personnelle, elle n’est plus la même personne et donc forcément pas la même maman quand ils arrivent. Les enfants eux se voient offrir la possibilité d’étudier dans une autre langue, dans une autre culture et in fine, d’avoir un autre passeport dans quelques années. Coup de génie ou coup de folie? Les critiques ont eu tort, Céline revient sur l’expérience.

Pour cette troisième saison, j’explore l’état de contre-courant. Toustes mes invité.es ont en commun de n’en avoir fait qu’à leur tête, malgré les statistiques, les critiques, les mauvaises langues, les probabilités et devinez quoi? Iels ont bien fait et nous racontent ça!

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Pour le 17ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, on s’intéresse au beau qui rend heureux! Mon invitée cette semaine est Margaux Nadeau, fondatrice et propriétaire du Palais Bulles, une jolie boutique déco au coin des rues Ste-Zotique et Alma à Montréal. Margaux est aussi vive et pétillante, une petite marchande d’optimisme. La bonne humeur? Un geste quasi-rebelle dans le monde actuel

Après être allée voir Margaux, je suis repartie oui avec les mains pleines, mais surtout avec un grand sourire. J’ai parcouru Ste-Zotique le cœur léger mais les bras lourds c’est vrai, je me suis rappelée de voir le beau, la belle, la belle vie quand tout est beau. Ce n’est pas de l’ignorance de ce qui attriste, inquiète, désespère de notre monde, mais c’est peut-être presque de l’insolence, de la rébellion, un choix de vie, de vie courte mais vive, de vie d’un meuble récupéré et repeint à qui on offre une autre existence.

En fait voilà, je suis sortie de chez Margaux comme ce meuble repeint. Moi aussi, moi comme tant de lampes, buffets, armoires, après Margaux, j’étais refaite. Je me suis dit que je n’étais pas la seule à ne pas mettre l’argent au cœur de ma business, que je ne prends pour du cash que ce qui n’en est pas, comprenez le bonheur, les amitiés, les histoires.

Le Palais Bulles est un écrin, un rappel, un signe sur la route. “On se réveille, on s’amuse, on se peint sur le cœur les plus beaux messages”. Soyez donc vous aussi créatifs, libres, légers, colorés, vous en avez le droit, le devoir peut-être même, le loisir ça c’est sûr en tout cas. Concourrons donc mes amis à la beauté du monde pour offrir aux paupières closes de celleux qui ne voient pas, la plus belle des cartes, la route à suivre, la poésie de la vie.

LES LIENS POUR APPROFONDIR:

Dans ce 16ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, je reçois

Anne-Marie Laflamme, designer et cofondatrice d’Atelier b, que vous pouvez aussi croiser à l’UQAM et à l’université Concordia où elle enseigne. Atelier b, c’est une marque de vêtements durable et écoresponsable très inclusive et réfléchie et qui est non seulement dans le vent mais surtout défie toute logique et c’est comme ça qu’elle réussit. Parcours atypique et anticonformiste de deux amies entrepreneurs qui changent le monde une bobine à la fois.

• Atelier b, une histoire de copines tissées serrées : de la création à son évolution, Atelier b c’est avant tout deux amies, Anne-Marie Laflamme et Catherine Métivier.
• Atelier b, rouleaux de tissus, bobines et vêtements locaux : C’est une affaire de savoir-faire! Du parcours des deux fondatrices ou choix de fabrication locale et de la naissance de l’Atelier, entre boutique et Tiers-Lieu.
• Atelier b, naissance et croissance : minimaliste, durable, utile et beau: de l’ADN, à la recherche du logo, de la marque, il y a eu un éveil écologique, un besoin à combler, des défis à relever, comme la production zéro déchet et l’enjeu de conjuguer croissance d’une compagnie et une consommation responsable.
• Une vision écofeministe : Transformer et amplifier la couture pour en faire une business écoresponsable, afficher ses valeurs, montrer une place de la femme “active” dans la société, la création, les convictions.
• Donner des cours et des ateliers en plus de la boutique et de la compagnie : Le rôle de transmission des valeurs, des savoirs et des solutions, au coeur de leur entreprise.

LES LIENS DE NOTRE INVITÉE :

Dans ce 15e épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, je m’entretiens avec Olivier Bodart, artiste plasticien. Olivier est Français, il a étudié et enseigné à Paris, il a vécu à Chicago, dans le désert de Sonora et à Los Angeles. Il habite désormais sur l’Île-du-Prince-Édouard. Son exposition « Imperial » présentée à Charlottetown se termine bientôt mais l’exploration d’Olivier Bodart se poursuit dans son livre publié « Zones à Risque », dans « Imperial » le prochain roman en cours d’écriture et dans sa démarche en général. Dans cet entretien, on jase de son questionnement d’artiste, son rapport à l’espace, au terrain, au territoire, aux gens qui l’habitent et bien sûr, en quoi tout ça le rend heureux.

On aborde aussi son processus créatif, la création avec « les moyens du bord », le lien art et littérature dans sa démarche et son analyse des lieux et des gens qu’il a rencontrés…

LES LIENS DE L’INVITÉ :

Découvrez l’expatriation de la France au Canada vue par Marie Letard, propriétaire de la boutique Bouche Bée à Montréal! Elle vit depuis plus d’une décennie ici, l’occasion de discuter avec elle de ses apprentissages, réalisations et réflexions. Expat et épanouie, rencontrez Marie!

Bienvenue dans ce 14 ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, le podcast de Lebon Trait d’union. Aujourd’hui on parle de vivre ailleurs, quitter la France et s’établir au Canada avec Marie Letard, propriétaire de la boutique Bouche Bée.

L’expatriation? Dans son cas, c’est une histoire réussie d’adaptation, de libération de ses croyances limitantes, de croissance personnelle et de belles réalisations! Avec humour, légèreté et modestie, découvrez son parcours, sa vision de la France aujourd’hui, du Canada et ses apprentissages au gré de nos discussions. Sa famille? Bien sûr, elle l’aime et elle lui manque, mais Marie a fait son cocon ailleurs… même quand la COVID vient tester sa capacité à vivre loin des siens, c’est à Montréal qu’elle reste et revient.

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Suivez les aventures de Marie et de sa jolie boutique sur Instagram :

Namaste ou la félicité : dans ce 13 ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, on parler du bonheur qui s’échappe du tapis à la vraie vie : le yoga rend-il heureux(se) ? Si oui, comment et pourquoi? C’est ce qu’on explore avec Frances Vicente, professeure de Jivamukti yoga et manager au studio Luna Yoga à Montréal.

PARTIE 1 - CONTEXTE, PETIT RAPPEL ET COUP DE MAIN

1. Retour sur son parcours
   
2. En pandémie, via les écrans : défis et réalité
   
3. Le retour en salle et en personne
   
4. Le yoga étant un mouvement, il est pluriel : le Jivamukti c’est quoi exactement?
   
5. Comment choisir le yoga qui nous convient?
   
6. Appartenir à un groupe, bouger son corps, être plus résilient, suivre un chemin spirituel et… avoir un/des gurus : définitions et mise au clair! .
   

PARTIE 2 - MISE EN PRATIQUE

1. La respiration : une porte d’entrée efficace et concrète
   
2. Lokah Samastah Sukhino Bhavantu :
   
3. Éveil social et politique : véganisme, militantisme, le yoga dépasse le tapis jusque dans les assiettes et dans les urnes.
   

RÉFÉRENCES :

Dans ce 12ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, cet épisode est très spécial car mon invitée aujourd’hui s’appelle Carole Lebon et vous l’aurez peut-être compris par notre nom, Carole c’est ma petite sœur. On parlera de cultures avec un « s » et de culture en général, dans le jardin et dans la vie! On parlera aussi de processus créatif et de ce qu’on aime à récolter ce que l’on sème. Carole est diplômée de l’École des Beaux-Arts de Dijon, elle est artiste plasticienne et travaille principalement sur des questions d’espace, d’architecture et de temps. Elle habite au cœur du vignoble bourguignon et la nature rythme les saisons de son année.

PARTIE 1 - LE JARDIN ET LES VENDANGES

1) Apprendre le jardin

• Le jardin ce n’est pas du jardinage
  
• Choisir les cultures que l’on aime
  
• L’auto-suffisance alimentaire
  
• Manger la nature, au rythme des saisons
  

2) L’ héritage, c’est aussi du vivant d’un parent = l’importance de la transmission

• Le temps passé ensemble
  
• Apprentissage par l’expérience
  
• Des valeurs et des légumes
  

3) les vendanges, cette hétérotopie

• répéter les gestes, améliorer les pratiques : le rôle des nouvelles générations
  
• 2000 ans d’histoire… et réalité contemporaine
  
• La Bourgogne, une société qui vit au rythme du raisin
  

PAUSE MUSICALE

PARTIE 2 - LIRE, RÉFLÉCHIR, PENSER ET « ARTER »

1) semer : la collecte des infos et des idées pour nourrir ta réflexion

• processus créatif
  
• Sources d’inspiration
  

2) le jardin-atelier : une place pour créer

• L’importance de l’espace de création
  
• Les ressources : réalité/ argent/ faisabilité
  

3) l’instant créatif

• Mode d’emploi
  
• La pandémie sur toi/ ton approvisionnement de matériel
  

4) le marché

• La vente et les galeries
  
• Le marketing et médias sociaux
  
• Le public et la communauté artistique
  

5) Transmettre l’art : une utopie? À quoi ça sert de créer des histoires, des univers, des œuvres ? À qui parle-t-on? Qui récoltera le fruit de ton travail quand tu crées?

LES LIENS ET RÉFÉRENCES DE CAROLE LEBON :

Les livres :

Pour jaser de l’importance de la météo au Canada dans le ciel et dans la société, on reçoit Marie-Andrée Poulin. Maintenant journaliste arts et spectacles pour TVA nouvelles et LCN, elle a aussi présenté toutes les saisons à la télévision! Figure publique, je veux aussi voir avec elle quelle relation elle entretient avec son public, entre inspiration, modèle et vie privée et si c’est toujours ensoleillé pour elle!

PARTIE 1 - LE TEMPS QU’IL FAIT DANS LE CIEL ET DANS LA SOCIÉTÉ

• La météo et les températures canadiennes extrêmes
  
• La météo, un sujet consensuel facile pour créer des liens
  
• Les sujets récurrents

PARTIE 2 - EXIT LA MÉTÉO, BONJOUR LE TEMPS QU’IL FAIT

• À chaque saison ses joies
  
• Le phénomène des snowbirds
  
• Les expressions sur le temps font-elles du sens?
  

PARTIE 3 - FAIRE LA PLUIE ET LE BEAU TEMPS

• Confidences : comment elle cultive son bonheur au quotidien
  
• La relation avec le public : comment ça se passe?
  

RÉFÉRENCE :

Dans ce 10ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, le podcast de Lebon Trait d’union, le thème du jour porte sur “une job de rêve” : Qu’est-ce qu’une job de rêve, est-ce qu’il n’y a que des bons côtés? Une job de rêve, ça existe vraiment ou faut-il se la créer? On en parle avec une femme d’exception la “chef d’expédition, conférencière, cinéaste, auteure”, Nathalie Lasselin.

Nathalie Lasselin a un instagram a faire pâlir les plus braves, les plus aventuriers, les plus fans de nature, d’eau, de plongée et les influenceurs les plus populaires. Son credo? La plongée sous-marine, une job de rêve certes, mais une job qu’elle rempli avec autant de brio que de responsabilité.

PARTIE 1 -  UNE JOB DE RÊVE, C’EST BEAUCOUP DE TRAVAIL

• Une job physique
  
• Une job technique et technologique
  
• Une job souvent plus masculine?
  

PARTIE 2 - UNE JOB DE RÊVE, UNE RÉALITÉ TERRIFIANTE

• Ce que tu constates en plongeant
  

Comme citoyenne, citoyen, que peut-on faire?

• Prévenir
  
• Guérir
  
• S’informer
  

PARTIE 3 - UN BONHEUR QUI SE PARTAGE

• Pourquoi la partie “partage” prend autant de place?
  
• Comment les mentalités évoluent?
  
• Nathalie, jamais découragée
  

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LES LIENS DE NATHALIE LASSELIN:

Pour ce 9e épisode de Café noir et tableau blanc, Hélène Lebon s’entretient avec Megan Macdonald sur les rites, rituels et coutumes : en quoi nous rendent-ils heureux? Comment traduisent-ils notre identité? Peut-on les changer? On verra que les bouleversements sociaux, politiques et économiques depuis la pandémie ont soulevé bien des remises en cause! Le bonheur dans tout ça? Une habitude à la fois dans la performance de notre vie…

PARTIE 1 -  Représentation publique/ politique/ religieuse au niveau national et international :

Définition : rituel, rite, routine, coutume quelle différence?

- protocoles avec visites internationales, drapeau en berne, etc. : à quoi ça sert ?

- fêtes et calendrier : judéo-chrétien + premières nations + immigration : le melting pot canadien respecte-t-il tous les rites et rituels de ses composantes sociales ? Actuellement il y a une revendication pour une meilleure reconnaissance des groupes minoritaires : comment cela se ressent, se traduit sur la scène politique?

PARTIE 2 - Représentation publique locale et rites communautaires:

- messes, match de hockey, cercles de femmeS : comment ces rites permettent-ils d'accéder à une certaine union/ appartenance/ reconnaissance avec nos pairs mais aussi avec nos ancêtres ?

- codes de politesse : pure rhétorique ou ciment social nécessaire ?

- enterrement, mariages et autres célébrations rythment les étapes de vie « sociale » = peut-on encadrer la joie? La peine?

Limite : les risques d’exclusion, d’erreur, d’auto-isolement (réalité entre classes sociales, « generation  gap », immigrants/ société d’accueil..)

PARTIE 3 - Rituels / routine personnelle:

-je me lève à 5:30 :  nouvelle routine personnelle ou inscrite dans mon ADN avec la peur préhistorique du noir : Est-ce qu’on a des rites ou rituels « inconscients », prédéterminés?

- l’identification à un groupe soudé et l’habitude de nouveaux rituels prennent du temps!

- l’exemple du yoga : multidisciplinaire et pas que sur le tapis : des rites et pensées pour guider les actions de l’individu vers une paix d’esprit

Limite : les risques d’endoctrinement / isolement ou questionnement face au groupe « majoritaire » = choisir ses rituels/ codes/ valeurs/ croyances

LES LIENS DE MEGAN :

Dans le 8ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, nous recevons Johanna Venturini, qui est directrice générale d’Action Femmes Île-du-Prince-Édouard, l’AFIPE de son petit nom, une organisation sans but lucratif qui se positionne comme « leader holistique dans la communauté acadienne et francophone insulaire » et dont la vision est que « chaque femme prenne sa juste place dans la société ». Féministe, Johanna est à sa place pour faire bouger les choses!

Avec Johanna comme exemple, j’avais trouvé l’interlocutrice parfaite pour illustrer combien s’engager pour une cause rend donc heureux.se. Nous nous sommes rencontrées dans le cadre de son travail, mais son parcours l’a préparée à un engagement de cœur et d’esprit.

Dans ce 7ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, comme le titre “Voyage, voyage”, l’indique et le rythme de Desireless nous reste en tête, le voyage colle à la peau de ceux qui, comme Nathalie Vendrys, en tirent bonheur et apprentissages. Elle a fait le tour du monde, vécu dans différents pays, dans ce podcast, elle nous donne les clés pour réussir des projets aussi fous et en garder tout le meilleur!

Le voyage rend-il vraiment heureux.se ? C’est la question que j’ai posée à mon invitée cette semaine, Nathalie Vendrys. Nathalie a fait le tour du monde, vécu en Thaïlande 3 ans après un coup de cœur avec ce pays, et apprend désormais à poser ses valises sans ronger son frein sur l’Île-du-Prince-Édouard. Entre conseils pratiques, réflexions de voyageuse et citoyenne du monde, découvrez son aventure et son itinéraire ici!

Partie 1

UN PEU DE CONTEXTE: Le testament ou la révélation de ce qui leur tenait vraiment à coeur

PARTIR AVEC DES ENFANTS : Vraie ou fausse bonne idée? Ce qu’il faut savoir, c’est qu’on ne leur donne pas des souvenirs mais une éducation unique en voyageant.

PARTIR LONGTEMPS : Comment faire avec l’argent, ses biens, sa famille?

Partie 2

L’ITINÉRAIRE AUTOUR DU MONDE : Destinations les plus marquantes, meilleurs souvenirs, prises de risque qui ont valu la peine, on plonge avec elle!

LA CARTE, LES PLANS ET L’IMPRÉVU: La Thaïlande, l'ostéopathie et l’Île-du-Prince-Édouard ont tous une chose en commun : ce sont des imprévus!

LE RETOUR : Revenir au pays, déposer ses valises, se sédentariser et autres défis du retour

LE COVID : Voyager autrement  à travers les souvenirs, les livres sur le voyage, la bouffe…

LES LIENS DE NATHALIE VENDRYS:

Comme pour apprivoiser ce chiffre, 40 ans, Mario a pris de grandes décisions pour ne pas dire de bonnes résolutions. Entre ses posts Facebook « Journey to 40 »  ou sa série « Meet the Islanders », celui qui n’avait pas l’habitude de raconter les histoires, s’est découvert un talent pour toucher les gens et consigner ce qui le rend heureux. Trait d’union assurément, celui qui a cofondé la compagnie s’apprête à célébrer ce changement de décennie avec un enthousiasme et une sagesse inspirante!

Son père est décédé à 40 ans d’un cancer des poumons. La clope notamment. Alors à l’approche de ses 40 ans qu’il a toujours vu comme un chiffre fatidique, Mario a changé. Il a écrasé le mégot, sorti le clavier et la caméra et il a consigné son bonheur, surmonté ses peurs et mis en pratique ce que ses 4 premières décennies de vie lui ont appris : tout ce que tu penses qui est pour arriver risque de ne pas arriver. Comme mourir à 40 ans. Alors il faut vivre, et ça tombe bien, la vie et les rencontres qu’il fait l’inspirent, le nourrissent, que ce soit ses mentors, ses proches, ou même Suemarr notre ami artiste au Japon.

Et puis il y a aussi l’Île-du-Prince-Édouard, sur laquelle on vit depuis presque 9 mois et ses paysages époustouflants, ses plages, sa lumière incroyable, le spectacle d’une nature plus grande que nous. Les petits riens du quotidien, qui alimentent la joie qui nous anime. C’est la carte postale d’un mec qui ne pensait pas écrire ce qu’il vit et encore moins de le partager mais qui entre nous, a plutôt bien fait. Conseils et anecdotes d’un optimiste qui a déjà connu la dépression.

LES LIENS DE MARIO COURCHESNE:

EN ARTICLES:

Podcast solo! Découvrez Hélène, l’hôte de Café Noir et tableau blanc dans ce numéro spécial. Elle se prête au jeu de l’inventaire à la Prévert pour dire ce qui lui inspire son bonheur à elle, elle se confie, s’ouvre et partage, et souligne par là-même ce qui l’anime dans cette saison 2.

Histoire de vous introduire dans les coulisses de cette saison 2, Hélène se confie sur ce qui fait son bonheur à elle. Elle qui questionne ses invités sur ce qui les anime, ce qui les fait vibrer alors elle se prête aussi au jeu. Elle se livre ici, que vous compreniez mieux sa philosophie, ses idées, ses conceptions et réflexions, que vous sachiez à quoi vous attendre pour cette deuxième saison.

Sous la forme d’un inventaire à la Prévert, elle liste ses petits bonheurs hétéroclites et personnels et ponctue le tout avec un petit “mix tape” de musiques à écouter dans la radio, sur la route et retrouver dans la playlist partagée!

LIENS :

En quête de ce qui rend mes invités heureux dans cette 2e saison de Café noir et tableau blanc, un mot fait vibrer Cheryl Coello : MUSIQUE! Qu’elle chante ou qu’elle danse, c’est la musique qui permet à Cheryl de sourire, rire, de s’ancrer dans le présent et même qui lui a appris à aimer et apprivoiser son corps. Dans ce podcast, découvrez Cheryl au micro qui jase et qui chante.

Quand elle a quitté le Venezuela, il y a plus de 5 ou 6 ans, Cheryl est partie avec sa « mochilla » comprenez son sac à dos, 200$US en poche et son cuatro sous le bras.

Quand elle est partie, elle a emprunté les chemins de bohème, gagné sa vie en chantant, pas toujours mangé à sa faim. Elle s’est fait des amis, elle a quitté une scène qui la connaissait, une job de traductrice et elle est partie, sans savoir “si” ni “quand” elle rentrerait au Venezuela.

Tous les tours et détours qu’elle a pris l’ont menée à Quito et c’est là qu’elle vit ces jours-ci avec sa maman, qui l’a rejoint il y a un peu plus d’un an. Pour Cheryl, vous l’aurez compris, si son cuatro- une petite guitare à 4 cordes typique de la musique vénézuélienne - était dans ses essentiels, c’est que la musique compte énormément pour elle. Depuis elle a aussi appris la danse du ventre et appris à aimer son corps … Le bonheur, il est à sa portée bien sûr!

LES LIENS DE CHERYL COELLO:

EN MUSIQUE :

Voici le 3ème épisode de Café noir et tableau blanc, saison 2! Même si le titre « Rallumer la flamme » le suggère, je ne vous parle pas d’histoire d’amour!  Drôle, touchant, débrouillard, mon invité Martin Métivier a un coeur gros comme ça, un coeur un peu lourd parfois, mais pour contrer le spleen, « pet de licorne », « cheeseburger » ou « glace » lui remontent le moral.

On jase bougie avec un photographe bien décidé à cultiver sa créativité et occuper sa tête et ses mains en temps de covid. Avec Martin, on explore comment une activité manuelle devenue sa bouée de sauvetage est en passe de devenir une job d’appoint. Mais ne lui parlez pas de « reconversion professionnelle », car Martin reste photographe. ET il fait ses bougies…

Pourquoi je vous parle de ce trop cool barbu qui fait des bougies aux senteurs improbables? D’abord parce que ça fait sourire, mais aussi parce que ça fait réfléchir.

Les « Chandelles imparfaites », c’est l’histoire parfaite de petits bonheurs retrouvés un coup de cuillère à la fois, pour ne pas perdre les pédales.

LES LIENS DE MARTIN MÉTIVIER:

Voici le 2ème épisode de la saison 2 de Café Noir et Tableau Blanc, le podcast de Lebon Trait d’union, « Mère et (quand même) heureuse ». Ce dimanche, c’est la fête des mères au Canada, alors on s’est emparé d’un sujet intemporel mais ô combien rapidement polémique : être heureuse et mère, être une mère heureuse, être heureuse sans être mère, on explore maternité et bonheur dans le quotidien!

Voici le premier épisode de notre deuxième saison de podcast, Café noir et tableau blanc. Grandes lignes et idée générale pour cette saison 2, Hélène présente le programme! Avec ses invités, on va explorer ce qui nous rend heureux maintenant, sans attendre et peu importe le contexte.

C’est la reprise de Café noir et tableau blanc! Je suis fébrile de reprendre le micro et je me demande si nos auditeurs seront au rendez-vous, car je sais que nos invité.e.s sont formidables et méritent d’être entendus!

Pour la saison 1 de Café noir et tableau blanc, nous avions décidé de voir comment certain.e.s d’entre nous réagissaient face à la pandémie qui venait de s’installer et notamment des entrepreneures. Pour la saison 2, on a décidé d’explorer ce qui rendait les gens heureux même en temps de confinement. Cuisine, famille, réorientation professionnelle, routine, météo; de quoi sont faits les petits bonheurs de mes invités dont vous pourriez vous inspirer?

Dans ce premier épisode en solo, je vous raconte une anecdote qui, j’espère, vous fera sourire autant que moi, même après toutes ces années...

Et puis, je vous présente aussi quelques lectures qui m’ont beaucoup inspirée et donné une belle bouffée d’oxygène.