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ON AURA au mieux les uns, les unes et tous les autres

ON AURA au mieux les uns, les unes et tous les autres

By Collectif On

ON AURA au mieux les uns, les unes et tous les autres accompagne le projet artistique du même nom. Du 31 mai au 25 juin 2021, 20 artistes ont fait des interventions à relais dans un appartement vacant de Saint-Henri, à Tiohtià:ke/ Montréal. Ce balado croise les voix des participant·e·s afin de rendre compte de leurs processus créatifs, de leurs idées et des ambitions du projet.

Une production de Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard à l’initiative du Collectif ON.
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Relais et réseaux

ON AURA au mieux les uns, les unes et tous les autresDec 07, 2021

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Relais et réseaux
Dec 07, 202106:02
Katherine-Josée Gervais

Katherine-Josée Gervais

La pratique multidisciplinaire (dessin, performance, installation et textualité) de Katherine-Josée Gervais s’appuie sur une observation des interactions humaines et sur un questionnement des limites de l’autoreprésentation. L’objet, l’espace, le corps deviennent des supports permettant de transmettre un commentaire sur nos habitudes de vie et nos ressemblances inavouées parfois avec humour et dérision, parfois en éclairant certains coins sombres de notre psyché individuelle et collective. Sa recherche-création aborde la notion d’auteur, l’acte performatif, l’élaboration du personnage-artiste et l’authenticité de sa parole. Ses chroniques de la banalité révèlent une posture autant politique que poétique en formulant un commentaire sur les relations humaines et une réflexion sur les rapports qu’elle entretient entre les différentes sphères de son identité, que ce soit son rôle d’artiste, de mère, d’amante ou, tout simplement, de citoyenne. Son processus de création implique une ouverture aux diverses communautés tout comme une large part à l’imprévu.

Elle a travaillé sur des chantiers de construction pendant des années avant de se tourner vers des études universitaires et est présentement doctorante en Études et pratique des arts à l’UQAM. Elle compte diverses expositions collectives et performances à son actif autant au Québec qu’en France (Martel en tête, Paris ; HoMa2, Maison de la Culture de Maisonneuve ; Verticale, Laval,etc.). Elle a également mis en œuvre et coorganisé plusieurs évènements artistiques autogérés notamment RIPA, Legs (Montréal), GPS (système de positionnement global) et participe actuellement à la création du centre d’exposition Inouï de Saint-Siméon.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, It Has Been A Long Day, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Dec 07, 202104:17
Rose de la Riva

Rose de la Riva

Dans une approche intuitive, le travail de Rose de la Riva s'inscrit en dialogue avec des figures mythiques et symboliques. Telle une éponge, elle recueille les vécus, les textes et les émotions que lui provoquent récits, peintures, plantes, et paysages. En découlent une pratique basée sur la performance et une production d’œuvres vidéo, de dessins ou d’installations qui s’élaborent principalement à partir d’improvisations performatives et d’associations intuitives.

Récemment, son travail s’est transformé et tend à délaisser ses affiliations aux figures et symboliques traditionnellement liées à la résilience (sorcières, gorgones, sirènes, etc.). Il se situe en réponse à l’injonction de l’action et à l’impératif pesant du « prendre soin ». Ses recherches s'expriment régulièrement sous forme de performances larmoyantes, lui permettant de noyer un peu les récits de la force, de puissance et pouvoir, et d’ainsi les voir prendre de nouvelles formes.

Née à Montréal, Rose de la Riva s’est engagée plusieurs années au sein des collectifs des auto-workshops (2016-2019) et du Tas Invisible (2016-2018). Elle a également participé à l’organisation de plusieurs événements performatifs autogérés. Depuis 2016, son travail a fait l’objet de présentations solo, collaboratives et collectives au sein de résidences, d’expositions et d’événements à travers le Québec.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, Deep Into The Dreams, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Dec 07, 202103:49
Anne Florentiny

Anne Florentiny

Anne Florentiny est une artiste martiniquaise diplômée en arts visuels et en danse. Dans son travail, elle s’interroge présentement sur la sensualité, la sexualité, l’érotisme, et sur la façon dont ces derniers entrent en connexion avec la spiritualité et le sacré. À travers la pratique de la performance, de la photographie et de la vidéo, elle met en place des rituels et tente de se réapproprier le territoire du sacré dans l’espace imaginaire du corps. Comment se servir de son corps en tant qu’outil de résistance aux structures oppressives ? C’est la quête qu’elle poursuit en intégrant notamment dans sa pratique des dispositifs de self-care et de guérison, le tout dans une démarche décoloniale.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, Wait Till You Cross To The Otherside, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Dec 07, 202103:17
Michelle Lacombe

Michelle Lacombe

Depuis l’obtention de son baccalauréat en beaux-arts de l'Université Concordia en 2006, Michelle Lacombe (Montréal, QC) poursuit une démarche spécifiquement tournée vers la performance, l’art corporel et le dessin. Par diverses modifications de son corps, comme le tatouage ou la scarification, elle remet en question la représentation de la femme blanche et celle de tous les archétypes liés au genre féminin à travers une perspective historique et culturelle. Ses performances, souvent de courte durée, se construisent autour de simples actions qui tentent de brièvement transformer la lecture de son corps. Son travail se chartérise donc par une précision matériel et conceptuel, une intensité corporel et un regard assurément féministe.

Ses œuvres ont été présentées dans différents événements de performance, expositions et colloques au Canada, aux Etats-Unis, au Mexique, en Argentine et en Europe. Michelle Lacombe est lauréate de la Bourse Plein Sud 2015 et, en 2017, a participé à la biennale Art Encounters en Roumanie. En parallèle à sa pratique d’artiste, elle soutient également l’art action et d’autres pratiques indisciplinées. Elle est par ailleurs coordonnatrice du festival VIVA! Art Action, une biennale internationale

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, We Might As Well Become One, 2011

Photo : © François Rioux, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Dec 07, 202104:59
François Rioux
Dec 07, 202102:22
Faire Corps
Dec 07, 202105:01
Mona Sharma
Nov 30, 202103:10
Stanley Février

Stanley Février

Plasticien, à travers ses installations et ses sculptures, Stanley Février explore la souffrance physique et psychologique causée aux personnes par les violences du monde moderne. Si ses œuvres, politiques et engagées, s’inspirent des enjeux de pouvoir à l’ère de la globalisation, elles abordent aussi des questions plus intimes, comme celle du rapport à soi et du rapport à l’autre, devenus difficiles dans un monde où l’écoute perd de sa valeur. La sensibilité du regard de Février et l’efficacité de ses stratégies plastiques émeuvent et, en même temps, poussent à la réflexion. Il tente de créer un espace de rencontre où les participant.e.s sont au centre de l’œuvre. Et les amène à se repolitiser et à affirmer leur vécu pour finaliser l’œuvre ; dans une prise de conscience du je, du nous, de son pouvoir politique et le politique « entendu comme souci de soi et de l’autre ». Diplômé en arts visuels et médiatiques, ses récentes préoccupations artistiques et conceptuelles se basent sur la critique institutionnelle, sur les enjeux identitaires et la violence et les inégalités engendrées par cette dernière.

Février a participé à plusieurs expositions individuelles et collectives à Québec, Montréal, Ottawa, New York, Hong Kong et Cuba ainsi qu’en France, Allemagne, Espagne, Chine, Bulgarie, Serbie et au Mexique. En 2019, il a pris part à "Over My Black Body" à la galerie de l’UQAM, exposition commissarée par Eunice Belidor et Anaïs Castro. Février est récipiendaire de plusieurs bourses de création. En 2019, il a d’ailleurs reçu une bourse du Conseil des arts du Canada pour la réalisation de  "America… en toute impunité". Cette œuvre composée de plusieurs volets (vidéo, son, sculptures, archives et photographies) a fait l’objet d’une exposition solo à la Maison de la culture de Longueuil en février et mars 2019. L’artiste présente également en 2019 l’œuvre "cette chair"  dans l’exposition collective D'où venons-nous? Que sommes-nous? Où allons-nous ... (2019) au Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ)

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY 3.0 PadsBanger, Distant Flicker, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 30, 202104:30
Marion Lessard

Marion Lessard

Marion Lessard est un collectif composé de Jean-Nicolas Léonard, Alice Roussel, Élisabeth M. Larouine, Claude Romain et Marie Cherbat-Schiller, dont la pratique en vidéo, littérature, dessin, situations et interventions publiques, se confond en équivoques quant à l’idée d’identité.

Cette structure inhabituelle, à la fois individuelle et collective, agit à la façon d’un miroir trouble qui renvoie aux paradoxes de ce que d’aucuns nomment uniment le vivre-ensemble. En se jouant de certaines notions fondatrices telles que la cohérence, l’unité, l’originalité, la continuité ou l’exigence de sens, Marion Lessard triture les structures linguistiques, socio-politiques, psychiques et philosophiques qui régissent nos sociétés occidentales.

Le travail du Collectif recourt à une grande variété de formes, mais privilégie par-dessus tout une approche performative qui déborde des contextes d’exposition et brouille les distinctions entre la vie et l’art, la présence et la représentation.

Pour cette édition de On aura au mieux les uns, les unes et tous les autres, Le Collectif a désigné Élisabeth M. Larouine en tant que représentante. La pratique de Élisabeth M. Larouine au sein de Marion Lessard s’oriente depuis de nombreuses années ailleurs.

Avec la voix de Douglas Scholes

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, There Is Something You Should Know, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 30, 202105:06
Éric Simon et Jacynthe Cloutier

Éric Simon et Jacynthe Cloutier

La recherche de Jacynthe Cloutier oscille entre l’infiltration et la rencontre, entre le désir et l’évitement. Ses plus récentes investigations sont centrées autour des notions de présence, d’intimité et d’intrusion. Performatives, relationnelles où furtives, elles réfléchissent et abordent l’espace personnel et ses limites (au sein de la sphère publique ou privée) en tant que lieu de contact, de réconfort, de tensions et de négociations. Avec un penchant pour la durée et la répétition, elles proposent et mettent en pratique différents modes alternatifs, poétiques, fictifs ou vains de communication, d’échanges et de connexions visant à explorer les contours traditionnels de nos interactions.

Quant à Éric Simon, lorsqu’il pense aux textes de démarche, il ne saurait décrire la sienne.  Il lui revient toujours à l’esprit ce sketch des Monty Python du Ministry of Silly Walks (https://www.youtube.com/watch?v=HHFuTpVvRCI). Les projets qu’il a aimé faire le plus parmi ceux réalisés jusqu’ici sont les galeries éphémères qu’il a créées à Montréal et où il a montré du travail. Elles se nommaient Galerie Comme des Stars, Galerie Silk Master/Maître de soi, Galerie Aux plus graves ennuis (où il s’est exposé aux plus graves ennuis) et la Galerie Pas de tataouinage (où ensemble ils marchaient au pas de tataouinage). Il a aussi beaucoup aimé les nombreuses collaborations au fil des ans avec ses amis. Il a écrit plus de livres qu’il en a publiés, mais vous pouvez lire L’amoureux cosmique chez Boréal, La visite du cerveau chez L’Oie de Cravan, Hamidou Diop chez Mécanique Générale, Sur les traces de l’avenir chez L’Oie de Cravan et Les mille et une phrases chez Contre-mur. Il a aussi eu l’immense joie de travailler avec des jeunes artistes pendant plusieurs années en enseignant les arts plastiques au CÉGEP John-Abbott et à l’Université Concordia.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, We Shall Cuddle Up And Sleep, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 30, 202103:58
Diyar Mayil

Diyar Mayil

My sculptural works and performances begin with the body. Most recognizable yet mysterious, the body is highly political. I work with the themes of alienation and subtlety to explore the intersection of the human body and politics. Conceptually and materially conflating familiar with strange, gentle with perilous, I am interested in evoking associations of both comfort and discomfort.

Diyar Mayil is an interdisciplinary artist working in sculpture, installation and performance. Her work explores the public life of marginalized bodies. Comfort, discomfort, adaptation, and the acceptance of different bodies in both public and private are recurring subjects in her work. She holds a BFA from Concordia University, where she is currently pursuing her MFA. Originally from Istanbul, she now lives and works in Montreal.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, It Has Been A Long Day, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 30, 202102:57
Avoir Lieu
Nov 30, 202106:31
Marie-Claude Gendron

Marie-Claude Gendron

Par une approche multidisciplinaire en art action, en arts visuels et en arts médiatiques, Marie-Claude Gendron tente de dégager les schèmes d’une collectivité qui s’actualise constamment dans les sphères du public, du privé et de l’intime. Elle considère le potentiel de l’archive et de la ruine par des mises en action et en espace qu’elle présente parfois comme des «tableaux vivants ». De l’ordre de la commémoration brute, ses projets font la mise en exergue de l’inévitable transformation de l’existant. Elle s’intéresse aux multiples possibles du livre-objet et aux différentes formes de poésie en action.

Née à Québec, Marie-Claude Gendron s’engage dans l’organisation d’événements performatifs autogérés et participe à plusieurs résidences, expositions et événements au Québec, en France, au Brésil, en Italie, en Irlande du nord, en Thaïlande, au Mexique et en Suisse. Son travail a fait l’objet de présentations solos et collectives à la Galerie de l'UQAM (Montréal, CAN), au Bangkok Art & Culture Centre (Bangkok,TH), au Museo de medicinal laboral (Real del Monte, MX) et dans le cadre du RIAP 2012 et 2014 (rencontres internationales d’art performance, Le Lieu, Québec, CAN). Elle a remporté différents prix et bourses de création et détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l’Université Laval et une maîtrise en arts visuels et médiatiques à l'Université du Québec à Montréal.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard

Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, Feel The Breeze On Your Skin, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 23, 202102:31
Guillaume Desrosiers-Lépine et Mathieu Deschênes

Guillaume Desrosiers-Lépine et Mathieu Deschênes

Les recherches de Guillaume Desrosiers-Lépine en arts visuels révèlent l’aspect fluide et mobile de son idéaltype de la peinture.  Sa pratique picturale tire parti des possibilités qu’elle entretient avec les outils et les matériaux qui l’animent. Elle est une oscillation entre image et peinture, un parcours sans commencement ni fin qui se dessine et se renverse dans l’exercice même de sa mise en marche: essayer, rater, réessayer. Par des gestes simples et des techniques plus ou moins sophistiquées, il fabrique des surfaces complexes pour révéler la plasticité constitutive de l’expérience picturale. Pour ce faire, il utilise la matérialité de la couleur, la malléabilité de la forme, la densité de l’espace et le grain de la surface.

Inspiré par le travail de montage des artistes iconographes du XXe et du XXIe siècle et la notion de requalification des savoir-faire manuels (reskilling), il développe un projet pictural polymorphique et pluriel qui reflète la diversité de la production picturale contemporaine. Par des jeux de libre association et de comparaison, il tisse des complexes et des constellations à l’intérieur de son travail pictural pour en révéler des contrastes et des contradictions. Ce faisant, il questionne la progression linéaire de sa pratique picturale et il affirme une identité pendulaire : entre ceci, entre cela. Dans le faire, le défaire et le refaire, son travail renvoie constamment au tableau possible comme au tableau achevé, il développe par là un projet pictural poétique et généreux qui évoque le surplus imagier qui habite notre monde tout en réfléchissant au rôle de la peinture dans notre expérience post-internet des images.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard
Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, We Might As Well Become One, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 23, 202103:32
Sonja Zlatanova

Sonja Zlatanova

Née en Macédoine du Nord (ex-République de Macédoine, ex-FYROM, ex-Yougoslavie), Sonja Zlatanova est diplômée de l'École nationale supérieure d’Arts de Paris-Cergy, après cinq ans d’études et 15 ans de cheminement autodidacte dans le champ des arts visuels et performatifs. Elle a vécu en Europe avant de s’installer à Montréal avec sa fille en 2012.

À partir de 2007, Zlatanova commissarie des expositions pour des plateformes de diffusion institutionnelles et alternatives, en Europe puis à Montréal. Elle a été membre active du centre d’artistes La Centrale de 2014 à 2018 et au sein duquel, avec le comité Performance, elle a initié et développé une résidence croisée avec CRVENA, organisme d'art et de développement social à Sarajevo. Depuis 2013, Zlatanova s’implique au festival de performance Viva Art Action et plus particulièrement au développement de la “ Kitchen Residency”. En juillet 2019, elle rejoint l'émission de radio “Radio Atelier” sur CIBL 101.5, pour laquelle elle a animé et commissarié le segment “création performative en onde”. Actuellement, elle est coordonnatrice de la programmation à OBORO, centre d'artistes autogéré, basé à Montréal. Les œuvres de Zlatanova ont été exposées en Europe, notamment à Lausanne (CH), Paris (FR), Istanbul (TK), Berlin (DE), Sarajevo (BH), Skopje et Bitola (NMK) ainsi qu'à Montréal (CA) .

Sonja Zlatanova crée une œuvre intimiste et polymorphe, dont le vocabulaire formel est librement construit sur l’observation du monde végétal et de l’anatomie du corps humain. Si c’est cet aspect organique que nous percevons de prime abord dans ses œuvres, c’est la teneur conceptuelle, affective  et politique qui s’impose toutefois. Les organismes qui habitent ce monde s’y croisent, se mêlent les uns aux autres, s’y confondent. L’artiste dépeint ses visions d’organismes en mutation, c'est la dualité de Nature versus Culture qui est ici explorée.

Le sang et la chair, le fruit et la racine, l’os et le cheveux, la coquille d'œuf et la cire, le verre et le plâtre sont les motifs et matériaux récurrents dans les peintures, dessins et objets chez Zlatanova.  L’influence des mouvements migratoires des individus sur la construction et les métamorphoses des identités culturelles sous-tendent ses différents projets. Par le végétal comestible, elle aborde l’occupation du territoire, qu’il soit en symbiose avec la nature ou occupé de force. Elle recourt aussi au langage sous forme de fragments poétiques qu’elle dissémine à travers ses recherches formelles et conceptuelles.

Il en résulte un corpus d’oeuvres que Zlatanova nomme “ses dispositifs” et qu’elle agence sous forme d’installation.

Toute rencontre génère du politique.

C’est toi, c’est tu, c’est eux, c’est je, c’est on, c’est moi, c’est nous et c’est vous, c’est ils, c’est elles, c’est l’autre, c’est la figure humaine que je cherche sans cesse, car insaisissable absolument c’est l'impossibilité même de la représenter qui pour moi fait image. SZ

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard
Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, We Might As Well Become One, 2011

Photo : © Louis Rivest Hénault , 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 23, 202104:16
Doyon/Demers

Doyon/Demers

Honorés à titre d’Éminences grises de l’art performance au Canada de l’édition 2016 du Festival international d’art performance de Toronto, Hélène Doyon et Jean-Pierre Demers forment Doyon/Demers depuis 1987. Sans atelier, sans discipline fixe, ni préoccupation disciplinaire, ils réalisent ce qui n’est pas à partir de ce qui est. À vrai dire, leur processus de création s’appuie sur des systèmes autopoïétiques qui dynamisent la quotidienneté, l’art et la science. Leurs travaux ont été présentés au Japon, au Brésil, à Cuba, dans plusieurs pays européens et en Amérique du Nord. Les deux complices ont complété un doctorat en Études et pratiques des arts à l’UQAM, programme dont la direction est actuellement assumée par Hélène Doyon.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard
Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, Border Line, 2011

Photo : © Louis Rivest Hénault , 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 23, 202104:32
Hugo Nadeau

Hugo Nadeau

Hugo Nadeau est un artiste interdisciplinaire originaire des Etchemins. En adaptation à l’exemplaire concentration des richesses, il a choisi de se convertir à la gratuité. Ses projets sont libres, son appartement subventionné, son épicerie gratuite et ses projets payés par les gouvernements. C’est le plus près qu’il ne sera jamais du communisme, mais aussi de l’artiste d’état. Sa pratique prend la forme de performances, médias numériques, installations, poésies et publications. Cofondateur de l’IF (International Factice), il a également fondé une série de projets perpétuels comme la LHN (Ligue Hugo Nadeau), l’EH (Édifice H. Nadeau pour la poésie), le Projet Citoyen Modèle, la Conspiration H1N1 et Le Miroir, dans le but d’atteindre son autonomie médiatique. L’artiste se déclare magicien depuis l’été 2018, utilisant la baguette magique nommée « Crayon-laser » qui change le monde à partir de ses atomes. Il est titulaire d’une auto-maîtrise en réalité (2017-2019) et est récipiendaire de plusieurs bourses et prix locaux et nationaux. Son travail a été présenté au Canada, États-Unis, Brésil, Pologne, Angleterre, Allemagne, Chine ainsi qu’en Inde.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard
Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY 3.0 Fingers In The Noise, Cell & Pepper (Edit #1 - WIP Preview - Ambient Dub Experimental), 2011

Photo : © François Rioux, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 23, 202106:27
Évolution
Nov 23, 202105:16
Florencia Sosa Rey

Florencia Sosa Rey

Florencia est une artiste multidisciplinaire basée à Tiotià:ke/Montréal. Elle s'interroge sur l'histoire socio-culturelle que portent son corps et les objets qui l'entourent. Ses réflexions adressent les notions de trace et de durabilité relationnelle liées à la matérialité et l'immatérialité de nos existences. Elle crée des œuvres incarnant des formes de soutien, de jeu, de nostalgie et de lenteur. Elle porte une attention particulière aux vêtements usagés et aux terrains vagues pour communiquer un rapport à la transformation, à l'impermanence. Son travail s'articule à travers l'art performance, le textile, le dessin, la vidéo et la collaboration.

Dans les dernières années, elle a régulièrement pris part à des projets collaboratifs (auto-workshops, 2017-19), (Saga Residency, 2018) sources d'un engagement désormais indispensables à son travail. Que ce soit en tant que performeuse dans la démarche artistique d'autres personnes, comme avec l'artiste Eve Tagny, ou en tant que membre du collectif Womxn Walk the Walk, qui explore l'expérience du féminisme intersectionnel dans la sphère intime et publique, dans l'ensemble de ces collaborations, elles célébrent une forme de résistance et d'empathie. Le mouvement entre la pratique solo et collective affirme l'importance de l'écoute, de l'amitié et de la générosité en art, qualités qui lui sont essentielles pour la création de projets intersectionnels et politiques.

Florencia Sosa Rey détient un baccalauréat en arts visuels de l'Université Concordia, 2015. Son travail a été présenté à Montréal, à Sudbury et à Toronto, au Canada, à Détroit et en Indiana, aux États-Unis et à Eyrarbakki en Islande.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard
Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, Feel The Breeze On Your Skin, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 15, 202101:32
Li Zhu
Nov 15, 202101:46
Stéphanie Auger
Nov 15, 202101:34
Mathieu Lacroix

Mathieu Lacroix

Mathieu Lacroix vit et travaille à Montréal. Il détient un baccalauréat en arts visuels de l’Université du Québec à Montréal, où il a pris une part active dans la diffusion artistique des travaux des étudiants. Depuis 2003, Lacroix a participé à plusieurs expositions collectives en centres d'artistes ainsi qu’à des événements culturels dans divers lieux au Québec. On peut actuellement voir son travail à la galerie McBride contemporain ainsi qu’au centre d’art Clark. Mathieu Lacroix est aussi membre actif des collectifs Jean Couteau et Pique-Nique.

Le  travail de Mathieu Lacroix s’oriente autour de la récupération, valorisation et manipulation de matières bon marché. La boite de carton est au centre de sa  pratique multidisciplinaire où les installations, dessins, photos et performances se suivent et se juxtaposent. Il utilise d’un regard cynique le carton comme symbole de notre société de consommation.  Des  lieux inusités sont créés, chargés de références allant de l’univers domestique au domaine du commercial. Les interventions de Lacroix remettent en question le lien complexe et tordu qui existe entre l’individu et son environnement, ses habitudes de vie et son identité. Par ses productions éphémères, le théâtre du commun est d’une part mis de l’avant et de l’autre perverti par la construction d’une irréalité poétique.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard
Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-SA 3.0 JCM [Canada], Sleeper, 2017

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 15, 202102:08
Christian Bujold

Christian Bujold

Christian Bujold s’intéresse principalement à l’art-action et aux différentes formes qui peuvent en découler telles la performance, la vidéo, la photographie et l’installation. Il travaille dans le souci de questionner les différents rapports du corps envers l’espace et les autres. Ses œuvres interpellent souvent le public physiquement. Il tend à la création d’œuvres globales et installatives, se déclinant souvent en volets ou en différentes approches techniques et conceptuelles simultanées afin de porter un regard multiple sur un même projet artistique.

Depuis le tout début de sa pratique, les idées de traces et d’apparitions du corps sont centrales. Il tend à explorer différents thèmes comme la mort, la mémoire, la disparition ou l’évanescence du corps, de la recherche de soi à travers la recherche de l’autre ainsi que la capacité du corps à agir sur son environnement. Il aime négocier avec les notions d’efforts, d’endurance, de friction, de tension et de suspense de façon à mettre en péril l’idée de contrôle. Il s’intéresse fortement aux aspects formels des œuvres qu’il propose ainsi qu’à leur caractère In-situ. L’œuvre ne peut être deux fois la même.

Christian Bujold vit et travaille à Montréal. Il a présenté son travail à l’occasion de festivals internationaux tels TIME à La Haye (Pays-Bas), Performance Crossing à Prague (République Tchèque), M:ST8 à Calgary (Canada), CIPAF (Chypre), Visualeyez à Edmonton (Canada), 7a*11d à Toronto (Canada), Exist-ence 5 à Brisbane (Australie), Viva! Art Action à Montréal (Canada) ainsi qu’à différentes occasions au Québec, en Espagne, en Grèce, aux États-Unis et en Finlande. Il est ancien président du conseil d’administration du centre d’artistes DARE-DARE, qui s’intéresse aux pratiques émergentes situées dans l’espace public et est membre du conseil administratif du festival Viva! Art Action, en plus d’y avoir œuvré en tant que commissaire depuis les deux dernières éditions. Il a obtenu son diplôme de maîtrise en Arts visuels et médiatiques de l’UQAM en 2011. Il occupe le poste de professeur au Cégep de Granby depuis 2013.

Réalisation et montage : Félix Chartré-Lefebvre et Benjamin J. Allard
Coordination : Marie-Claude Gendron, Michelle Lacombe, François Rioux et Sonja Zlatanova

Musique : CC BY-NC-ND 4.0 Pınar G. Dilek as 2kutup, There Is Something You Should Know, 2011

Photo : © Ioana V. Bezman, 2021

Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts de Montréal et du Conseil des arts du Canada.

Nous aimerions également remercier les propriétaires de l’appartement, Douglas et Laurie Scholes, Verticale — centre d’artistes et OBORO pour le prêt d'équipements, ainsi que Maude Jarry pour son écoute infatigable.

Pour plus de renseignements sur le projet et pour voir la documentation des interventions, visitez onaura.ca

Nov 15, 202102:17
L'hôtel
Nov 15, 202104:13
Adaptations
Nov 15, 202106:55
Introduction
Nov 15, 202107:23
Trailer
Oct 29, 202101:05