ENVOL

Je l’ai rencontrée par hasard. Ou peut-être pas. Peut-être que c’était écrit, car j’interviewe très souvent ici des femmes incroyables, tout juste au moment où j’ai moi-même besoin d’entendre ce qu’elles ont à dire ; et que je ne suis pas si sûre de croire au hasard. Mais toujours est-il qu’au détour d’une soirée, elle est apparue. On s’est retrouvée ensemble sur un balcon parisien, et j’ai adoré son énergie. On a parlé de jolies choses. On a rigolé. On s’est un peu raconté nos vies. Et puis on s’est réécrit. Elle avait flashé sur l’un des sacs que j’ai créés, et moi je la voulais à mon micro.

Elle, c’est Ève, dont le but dans la vie est très clair : vivre 120 ans en bonne santé. Voilà qui plante le décor de cet épisode, et aussi du style de vie de cette femme belle et talentueuse, qui a décidé de se construire sur mesure la vie dont elle rêvait. Passionnée depuis toujours par tout ce qui touche à la santé et au soin de soi, Ève est entrepreneuse multirécidiviste dans le secteur du bien-être et a en quelque sorte développé tout un écosystème autour de son sujet de prédilection. À ce jour, elle n’a pas moins de 6 casquettes, toutes au service de ses valeurs et de ses ambitions : elle est professeur de yoga, psychomotricienne, mannequin, podcasteuse, formatrice en création digitale et créatrice de contenu sur les réseaux. Repérée dans la rue à l’âge de 16 ans par une agence de mannequin, elle choisit néanmoins de faire 5 années d’études en psychomotricité, avant de laisser entrer le mannequinat dans sa vie. Le lien entre le corps et l’esprit la fascine et elle veut se donner toutes les chances d’en faire le cœur de son activité professionnelle. C’est en réalité son envie de penser autrement ce métier auquel elle se prédestinait, dans une approche holistique et de prévention, qui l’a faite atterrir sur les réseaux sociaux. Et tout le reste a suivi. Ève, la dynamique, la slasheuse, le joli rayon de soleil, a accepté de passer derrière le micro d’ENVOL. Si voulez investir votre vie d’une façon qui vous ne correspond qu’à vous, si vous voulez être pleinement actrice de votre vie, alors vous êtes au bon endroit. Laissez-vous emporter par sa voix suave, vous allez repartir reboostée comme jamais.

 Avec Ève, on a parlé de bonheur, d’énergie vitale, d’être bien dans ses baskets et dans sa tête, de croquer la vie à pleines dents. On a parlé d’écoute honnête, profonde et sincère de soi, et de la connaissance de son propre fonctionnement comme de la clé pour prendre les bonnes décisions. On a parlé de planification, de maîtrise, de priorisation et aussi de passage à l’action. De mindset, et aussi de comment on navigue entre le verre à moitié plein et les pires scénarios catastrophe possibles. Ève m’a raconté la place immense du mouvement dans sa vie, la façon dont elle a appris à gérer ses émotions et comment elle prend soin de sa santé mentale dans une société dans laquelle ce n’est pas si facile. On a aussi discuté d’harmonie intérieure, d’apprendre à relativiser, de kiff, de bullshit et de rigolade.

Allez c’est parti ! Avec Ève aujourd’hui, on souffle dans vos ailes. Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Le sac est à la femme ce que la coquille est à l’escargot. C’est ce qu’affirme Jean-Claude Kauffmann, sociologue spécialiste de notre vie quotidienne, dans son livre intitulé « Le sac, un petit monde d’amour ». Sauf que la coquille, on sait ce qu’il y a dedans. Et que les escargots se ressemblent à peu près tous. Pour les femmes, c’est tout à fait différent, et c’est bien ce qui rend leurs sacs si particuliers. Qui fait qu’ils n’ont finalement de l’ordinaire, que l’apparence. Car dans un sac, il n’y a pas que des objets. Il y a en fait toutes les émotions du monde, et cet objet si précieux aux yeux de beaucoup d’entre nous a d’abord une âme, avant d’être un compagnon efficace. « Il n’existe d’ailleurs pas deux femmes qui dansent exactement de la même manière avec leur sac ».

Voici donc le sujet passionnant, pas si léger, pas si futile et surtout pas accessoire, dont il sera question dans ce premier épisode hors-série, à savoir : qu’y-a-t ’il dans le sac des femmes ? Parce que pour celles qui ne le savent pas encore, ENVOL, c’est un podcast, mais c’est aussi et surtout une marque de maroquinerie ; et ce média intimiste que l’on adore est un moyen de faire entendre sa voix. Alors aujourd’hui, j’ai décidé de réunir ces deux pans complémentaires qui font l’identité-même d’ENVOL en parcourant le thème du sac à mon micro de podcasteuse.

Et pour ce faire, j’ai nommé celle qui aime nous faire réfléchir, celle qui aime aller dénicher ce qui se cache derrière les apparences, celle qui aime faire le petit pas de côté qui nous permettra de voir les choses autrement, celle dont l’insécurité viscérale la force à embarquer chaque matin son package en cas d’exil. J’ai nommé Marie Robert; entre autres, fondatrice du compte Instagram Philosophy is sexy, professeure de philo, fondatrice d’écoles Montessori, chroniqueuse, autrice et conférencière.

Marie, ce qui l’anime par-dessus tout, c’est de transmettre et de nous poser des questions très tôt le matin. Or un jour, dans l’un de ses posts matinaux, elle a écrit : « Pourquoi nos sacs sont-ils souvent si lourds ? Je crois qu’il y a pour beaucoup, dans nos corps, ou peut-être dans nos vies, une certaine pesanteur. Et la lourdeur de nos sacs en impose la symbolique. » J’ai su alors qu’elle saurait m’accompagner dans ma quête de ce que je voulais vous livrer à vous : à savoir ce qu’il y a véritablement dans le sac des femmes. Pas les objets, pas ce qui se voit facilement, mais ce que ces objets là même racontent, les histoires et les souvenirs qu’ils véhiculent. Ce que les odeurs qui s’en échappent impliquent de voyages dans le temps, lorsque le fameux sac nous a été transmis par la génération précédente. Je voulais qu’ensemble, on aille chercher l’émotion derrière le matériel.

Et c’est donc ce que l’on a fait ; en tentant notamment de répondre à la question suivante : qu’emporte-t ’on de chez nous à l’extérieur ? Ensemble avec Marie, on a tout décortiqué de cet objet si spécial : son poids, sa taille, son usage, la façon dont on l’organise. On a parlé de force et de vulnérabilité, d’accessoire et d’indispensable, de matériel et d’émotionnel, de féminité et de masculinité, de charge et de légèreté, d’intimité et de visibilité, de fonctionnalité et de poésie. Bref, on a parlé de contraires et de complémentaires. Et aussi, de doudou, de cartable, de coup de foudre et de temps long.

Allez c’est parti ! Aujourd’hui avec Marie, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Elle aime regarder passer les inconnus dans Paris. Elle aime poétiser leurs faits et gestes, et leur imaginer mille vies. Elle est une magnifique raconteuse d’histoires qui chérit sa liberté bien plus que sa sécurité. Elle vivait une vie bien rangée, mais un jour a compris qu’il fallait basculer. Basculer pour recommencer à vibrer et être plus alignée. Basculer pour prendre son envol vers la vie dont elle avait inconsciemment toujours rêvé.

Elle, c’est Sarah, la créatrice du fabuleux compte Instagram French Bon Temps, dont les vibrations parisiennes vous emmènent pourtant bien au-delà de la capitale. Après une classe préparatoire et un parcours de plusieurs années dans la finance, en banque d’investissement, elle a senti qu’elle n’était plus à sa place, qu’elle se déconnectait peu à peu de cette réalité qui ne lui correspondait plus. Elle a alors quitté son job, et après avoir cheminé et tâtonné, s’est finalement construit une vie professionnelle sur mesure, à son image. Aujourd’hui, elle met son talent instinctif pour l’écriture et la poésie au service des prestations digitales et de communication qu’elle réalise pour des marques, elle fait du coaching en entreprise. Et aussi, parce qu’elle a eu envie de transmettre que c’était possible de vivre la vie dont on rêvait, elle a décidé de faire profiter de son expérience en créant La Bascule Academy, le club des femmes qui osent changer de vie, qui offre toutes les clés nécessaires aux femmes qui veulent reprendre le pouvoir de leur vie.

Sarah, la créative, la flâneuse, l’amoureuse du beau. A accepté de passer derrière le micro d’ENVOL. Et je peux vous dire que j’ai adoré cette rencontre.

Avec Sarah, on a parlé de changement professionnel, mais aussi de l’impact que cette bascule implique pour les autres facettes de notre vie. On a parlé des meilleures façons de se reconnecter à soi-même et de valoriser ses zones de génie pour trouver son job idéal. De l’état de flow, des concepts de réussite et d’échec, des principales peurs qui empêchent une grande majorité des personnes de se lancer, alors qu’elles souhaiteraient pourtant le faire. On a aussi parlé des notions de sortie de zone de confort, de prise de risque et de la confiance en soi comme d’un entrainement. Et comme Sarah est sympa, elle a également bien voulu philosopher avec moi autour de l’inspiration, de l’intuition, et de ce veut dire pour elle réussir ou rater sa vie. En réalité, je crois que le fil rouge de cette conversation était bien la mise en mouvement ! Alors j’espère qu’elle vous boostera dans vos envies et vos défis présents ou à venir.

Allez c’est parti ! Avec Sarah aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Elle a décidé de dire tout haut ce que les femmes vivent tout bas. Elle a décidé que sa place dans ce monde était auprès d’elles, et elle les sert et les aime chaque jour à la hauteur de ce qu’elles sont. Elle a décidé de taper du poing sur la table pour rendre visibles leurs appels au secours et défendre leurs droits.

Elle a choisi le seul métier qui lui permettrait de rencontrer la vie à sa source et de se rapprocher de l’insaisissable. Elle a choisi ce métier par passion, et c’est ainsi qu’elle est devenue la sage-femme préférée des Français. Elle a choisi un métier de l’ombre, mais a fini par se retrouver en pleine lumière.

Elle, c’est Anna Roy. Et ce que je n’avais pas compris avant de la rencontrer, c’est qu’elle avait un plan pour les femmes depuis bien longtemps. Un plan guidé par sa soif de justice. Un plan qu’elle suit scrupuleusement depuis ce jour de Juin 2009 durant lequel elle a obtenu son diplôme en se promettant de les servir toute sa vie durant. Ce que j’ai compris aussi, c’est qu’Anna, avant, elle n’osait pas. Mais qu’aujourd’hui, et notamment grâce à l’arrivée sur cette terre de deux petits humains fantastiques, elle n’a plus peur. Elle n’a plus peur de dire ce qu’elle pense. Elle n’a plus peur de dire ce qu’elle a à dire. Elle n’a plus peur de se battre pour atteindre ses objectifs à la force du poignet.

Anna, c’est une Parisienne pure souche, amoureuse du Marais, qui a besoin de ses 15 000 pas par jour pour se sentir vivante, et surtout pour éclaircir ses idées et avancer dans ses combats. Elle a la bougeotte donc, tant au sens propre, qu’au figuré, et ce ne sont pas les projets qui lui manquent. Elle est sage-femme donc depuis dix ans, dont deux en libéral. Chroniqueuse dans la maison des Maternelles. Créatrice de deux podcasts, elle donne des cours aussi à des étudiants médecins et sages-femmes, et est l’autrice de treize livres.

Anna la culottée, la sensible, l’engagée, a accepté de passer derrière le micro d’Envol. Et cet épisode, comment vous dire, c’est un véritable hymne au femmes.

Ensemble, on a bien évidemment parlé du rôle capital que joue un accouchement dans la vie d’une femme, à quel point il peut la magnifier comme la déstabiliser. On a fait le bilan de la situation pour les sage-femmes, 3 ans tout pile après son appel lancé avec l’hashtag « je suis maltraitante », et elle m’a expliqué pourquoi elle avait quitté l’hôpital public pour finalement…y retourner. On a parlé du tourbillon médiatique au cœur duquel elle vit depuis, mais aussi de tous pleins d’autres sujets. Des sujets difficiles tels que les jugements qui pèsent sur les femmes, le tabou du suicide maternel et bien sûr sa découverte du post-partum et de ses difficultés, mais aussi d’aspects très positifs, et notamment en quoi cette période peut est un moment privilégié pour oser, pour s’écouter, opérer des changements et déployer ses ailes. Anna m’a aussi confié qu’elle était totalement accroc à l’adrénaline et qu’elle serait bien capable dans une vie future d’haranguer les foules, ce en quoi je ne doute pas une seconde. Bref, on a discuté de plein de choses très sérieuses mais aussi beaucoup rigolé.

Allez c’est parti ! Avec Anna aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Elle est passée de la petite fille maladivement timide qui se cachait dans les jupes de sa mère, à une femme accomplie et super inspirante. Elle est passée d’employée dans l’entreprise familiale à CEO de sa propre marque. Elle est passée de novice à mentore. Elle, c’est Emilie. Elle est libre. Elle est cool. Elle est audacieuse. Et de sa baguette magique d’entrepreneure chevronnée et décomplexée, elle ose bousculer l’image d’un monde où chacun évoluerait dans son coin en se méfiant de la réussite des autres. Avec Émilie, tout est mouvement, partage et synergies. Et grâce à son énergie créative sans limites, elle s’est inventée une vie pro sur mesure, au service de ses besoins et de ses aspirations. Entre Paris et Bruxelles. Entre amies et famille nombreuse. Entre travail acharné et kiffs bien mérités. Pour Émilie, c’est “Work hard Play hard”, comme on dit.

Après des études de stylisme à Bruxelles, puis quatre années passées dans la mode à Paris, Emilie rentre à Bruxelles pour intégrer l’entreprise de son père au sein de laquelle elle reste 10 ans en tant que directrice marketing et communication. Et puis…sa première fille, Théa, naît. Un 1er novembre. Et puis…comme souvent dans la vie, d’une grande émotion naît un grand chamboulement. Un nouvel élan. Et c’est donc dans la foulée, un mois plus tard, que son entreprise naît elle aussi. Un 1er décembre donc. Et puis…Comme ces deux naissances s’entremêlent si joliment, Émilie décide que les deux nouveaux amours de sa vie porteront le même nom. Thea jewelry, c’est une marque de bijoux personnalisables qui célèbre les mots et la vie. Une bien belle étoile au milieu de la galaxie Emilie, qui s’enrichit au fil des ans d’un podcast, de dizaines de lives Instagram. De missions de coaching et de mentoring. Et surtout de l’organisation, avec sa partner in crime Clio, d’un concept de speed-metings entre entrepreneures nommé « Let’s share our rollercoster », dont le dernier a été sould out en 24 heures.

Émilie, c’est une chef d’entreprise. Une slasheuse. La femme dont toutes les casquettes se sont un jour enfin retrouvées alignées par le même fil rouge grâce à une rencontre qui a éclairé sa vie et révélé la mission qu’elle poursuivait déjà sans s’en rendre compte : celle de transmettre, et d’accompagner les autres à déployer leurs ailes pour se révéler. Le « why » qui guide aujourd’hui l’intégralité de ses pas et de toutes ses décisions.

Alors, celle dont le deuxième prénom aurait certainement dû être « rollercoaster » ou « never give up ». Celle qui persiste et signe à dire qu’on ne perd jamais, mais qu’on apprend toujours. Celle qui ne brille jamais autant que lorsqu’elle évolue en-dehors de sa zone de confort, et qui rêve d’un monde où l’on puisse toutes et tous grandir et s’élever ensemble. Émilie la généreuse, la résiliente, la fonceuse, a accepté de passer derrière mon micro, pour mon plus grand bonheur vous vous en doutez bien.

Ensemble, on a évidemment parlé des montagnes russes émotionnelles de l’entrepreneuriat, de la rencontre inopinée qui a donné du sens à tout ce qu’elle entreprend aujourd’hui, de l’importance de dire la vérité sans se cacher derrière des succès chiffrées, de sa vision de la réussite et de la compétition, de l’importance du réseau lorsque l’on se lance, du concept de la superwoman et de la place des femmes dans un monde plutôt masculin, mais aussi de Beyoncé, des Enfoirés et de match Tinder.

Que vous soyez entrepreneure ou pas, cet épisode vaut le détour car c’est en réalité une masterclass d’humilité et d’humanité. Rien que ça, voilà. Vous êtes prévenues.

Allez c’est parti ! Avec Emilie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Cela ne vous aura pas échappé : c’est la rentrée ! Certains d’entre vous ont déjà repris le chemin du travail, d’autres pas encore mais c’est pour bientôt…et d’autres encore n’ont pas vraiment fait de pause. Mais dans tous les cas, le mois de septembre est un mois particulier car il est la charnière entre la fin d’une année et le début d’une autre, ce qui lui donne je trouve une tonalité assez subjective. Certains le voient comme la fin des vacances, le retour du stress et de la course contre la montre, alors que d’autres l’envisagent comme l’occasion d’un nouveau départ. D’un nouvel espoir, aussi, pourquoi pas. Quoi qu’il en soit, c’est généralement un mois pendant lequel on va de l’avant, alors autant essayer d’y aller avec une bonne réserve d’énergie positive et des petites astuces pour le vivre au mieux.

C’est pourquoi je vous propose cet épisode Bonus. Il est un peu spécial parce que vous connaissez déjà mon invitée : elle est la fabuleuse femme en vol de l’épisode 11 : Sophie Trem. Dans l’épisode précédent, on a notamment parlé de la méthode en 5 points clés qu’elle a mise en place pour réactiver sa bonne humeur, qui sont la posture, la respiration, la pensée positive, l’instant présent et l’acceptation. L’idée dans cet épisode Bonus, c’est d’appréhender ces éléments via un angle très concret, avec des astuces pratico-pratiques à mettre en place dès maintenant. Le but : booster notre rentrée, et en être l’actrice principale, plutôt que de nous faire embarquer dans un tourbillon qu’on ne maîtrise pas. Je suis sûre que vous voyez exactement de quoi je parle…

Avec Sophie, on a parlé entre autre, de posture mentale, des vêtements qu’on porte, de plage horaires libres dans l’agenda, de la relation passé/ présent/ futur, des mots à bannir de notre quotidien, d’entrepreneuriat, de pétages de câbles, de chaussettes et de casseroles. Oui le panel de discussion est très large comme vous pouvez le constater, du plus philosophique au plus terre-à-terre.

J’espère que cet épisode vous boostera !

Allez c’est parti ! Avec Sophie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à me partager vos retours sur Instagram sur @envol.paris, et si le cœur vous en dit, à laisser des avis et 5 étoiles sur APPLE PODCASTS. C'est précieux pour ENVOL. Vous pouvez aussi retrouver Sophie sur son compte @theotherartofliving ainsi que l'ambiance des Good Mood Class sur le compte @thegoodmoodclass!

Il paraît que la France est le pays de la mauvaise humeur. Ma précieuse invitée du jour, elle, n’en a que faire des étiquettes, bien au contraire : elle a décidé de faire des good vibes son moteur au quotidien. Un jour, elle a compris qu’elle était la seule maîtresse de sa propre réalité. Un jour, elle a pris conscience du fait qu’elle avait le pouvoir de faire bouger les lignes de son destin à tout moment. Un jour, elle s’est retrouvée en possession de pouvoirs infinis, et ses rêves sont devenus réalité. Puis elle a décidé de partager cette « révolution positive » avec le monde entier. C’est donc avec beaucoup de joie que je vous propose l’interview good mood de l’été, avec la fabuleuse Sophie Trem !

Celle qui, à la manière d’Obélix, a dû tomber dans une grande marmite pleine d’énergie quand elle était petite. Celle à qui on disait déjà au lycée d’arrêter de rêver trop grand, mais qui a toujours chercher à le faire quand même et à qui la vie a prouvé qu’elle avait raison.  Celle que l’on appelait déjà Chief Good Mood officer avant même qu’elle ne crée les Good Mood Class. Celle qui dit à qui veut bien l’entendre que rien n’arrive jamais par hasard et que tout se passe toujours comme cela devait se passer. Sophie, la boule d’énergie, la spirituelle, la plus déterminée des entrepreneures, a accepté sans hésitation de passer derrière mon micro.

Avec Sophie, on a parlé des rêves réalisables, de détermination, d’intuition. Des brouillards et des éclaircies qui apparaissent à des moments charnières de nos vies. On s’est dit que tout était possible, on a bien sûr aussi parlé de l’interrupteur de la bonne humeur et des 5 points clés qui nous aident à l’activer, de chance, de poisse, de karma.  Du positif et du négatif qui ne vont jamais l’un sans l’autre. De bien-être, d’énergie créatrice, mais aussi destructrice. Et puis aussi des sportifs de haut niveau et du temps de séchage indiqué sur les pots de peinture.

Allez, c’est parti ! Avec Sophie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous.

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Elle a décidé de raconter pour survivre. Elle a décidé de raconter pour transmettre. Elle a décidé de raconter parce qu’elle croit l’intime universel et qu’elle a pensé : « si mon récit peut aider ne serait-ce qu’une seule personne, alors il en vaut la peine ». Elle, c’est Amélie. La warrior mama de Shéérazade, née extrême prématurée à 26 semaines de grossesse alors qu’elle ne pesait que 800 grammes.

Il y a deux ans, alors qu’Amélie est déjà maman solo d’un grand garçon et qu’elle est en poste dans une boîte qu’elle adore, elle rencontre Hamza et ensemble, ils décident d’avoir un bébé. Magnifique petit être humain qui décidera malheureusement de pointer le petit bout de son nez après seulement 5 mois et demi de grossesse. L’angoisse de perdre un enfant est certainement l’une des plus difficiles à vivre sur cette terre et ils vont devoir s’y confronter pendant plusieurs mois, se battant chaque jour sans relâche à l’hôpital aux côtés de leur petite fille entre la vie et la mort. « Allez l’Amour », c’est le mantra qui accompagnait Amélie depuis plusieurs années et qu’elle lançait à la cantonade pour s’amuser. « Allez l’Amour », c’est le mantra qu’ils ont imprimés sur des autocollants avec Hamza pour partager leur joie avec leurs proches le jour de leur PACS. « Allez l’amour », c’est aussi devenu le mantra qu’ils se répétaient chaque jour. Pour tenir. Pour ne pas sombrer. Pour continuer de croire que leur bébé pouvait vivre, malgré les sondes, les tubes, les alarmes qui sonnent et les courbes qui dégringolent.

C’est en équilibre sur son fil au-dessus du vide qu’Amélie commence à partager son histoire sur Instagram à une communauté grandissante qui se reconnaît dans son message, qui croit elle aussi dans le fait que l’amour triomphe de tout, quelle que soit la nature de l’épreuve, quelle que soit l’histoire des héros qui se battent. Une communauté qui a envie de porter ce message au quotidien grâce à des produits qu’Amélie pourrait créer : le signe qu’elle attendait depuis longtemps pour se lancer dans l’entrepreneuriat. « Allez l’Amour », c’est donc aujourd’hui aussi le nom de sa propre marque.

Alors, celle qui a fait de l’amour son combat pour la vie et qui n’hésite jamais à se mouiller pour défendre les causes qui lui tiennent à cœur. Celle qui vit au milieu des livres et des œuvres d’art, et dont la plume nous hérisse les poils et nous tire les larmes. Celle qui pas n’a pas peur de laisser parfois son meilleur profil de côté pour nous montrer la vraie vie derrière son écran. Celle qui voudrait vivre toute sa vie au soleil, dans la chaleur des invincibles étés et des vagues qui caressent les jambes. Amélie, la battante, l’authentique, l’amoureuse de l’amour et des mots, a accepté de passer derrière mon micro, pour mon plus grand bonheur vous vous en doutez bien.

Ensemble, on a parlé de la façon dont on peut transformer une épreuve en force. De la vie. De la mort. De l’écriture comme une thérapie. Et bien sûr, de l’amour. De l’amour comme un combat, mais surtout comme la clé du vivre-ensemble. On a aussi parlé du regard qui change, suite à un événement aussi traumatique que la potentielle perte d’un enfant, sur les autres mais aussi sur soi-même. De la façon dont on apprend à dépasser ses peurs pour se lancer dans l’entrepreneuriat. De la bienveillance dont on doit faire preuve pour tenter de réapprendre à aimer un corps qui nous a lâché alors qu’on le tenait pour acquis, pour vivre avec une cicatrice de césarienne que l’on déteste, mais qui en même temps porte en elle toute l’essence du combat mené et de la puissance des femmes.

Allez c’est parti ! Avec Amélie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous.

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C’est l’histoire d’une femme qui, à l’aube de la cinquantaine, libéra la parole de toute une génération. C’est l’histoire d’une femme qui, à travers une émission de radio, rassembla chaque jour des millions d’auditrices, les transformant en une chaîne invisible capable de défier la solitude et la domination masculine. C’est l’histoire d’une femme qui pensa que c’était le moment pour elles toutes de profiter du formidable élan de vie d’une société en pleine mue, pour enfin prendre la place qu’elles méritaient. C’est l’histoire d’une femme à l’origine d’une révolution, d’une déflagration, qui déchaina les passions et fit comprendre à beaucoup d’autres qu’elles pouvaient enfin maîtriser leur destin. Une femme surnommée « La dame de cœur », qui était prête à tout pour venir en aide à celles qui en avaient besoin. C’est l’histoire fabuleuse de Menie Grégoire.

Mais c’est aussi l’histoire de sa petite-fille Adèle, dont la personnalité a été imprégnée à tout jamais de l’amour de cette grand-mère incroyable et flamboyante, et qui a vécu ce tourbillon de célébrité à ses côtés. C’est l’histoire d’Adèle qui décida un jour, de raconter l’épopée de l’héroïne de son enfance, dans un livre captivant nommé « L’heure des femmes ». Un livre qui unit les destinées de femmes sur cinq décennies. Des sœurs. Des amies. Des collègues. Des mères. Des filles. Des voisines. Des inconnues. Des femmes dont les vies s’entremêlent au gré des époques et qui malgré leurs différences, parviennent à se tendre la main.

Les femmes, Adèle aime beaucoup en parler dans ses livres, et elle n’en est pas à son coup d’essai puisque c’est le 7ème qu’elle publie. L’écriture fait partie intégrante de sa vie. Tout comme la mode, et les bons restos, puisqu’elle est rédactrice en chef mode, food et déco chez Gala, et ex-rédactrice en chef du Elle. Ce qui nous donne d’autant plus à penser que les femmes de cette famille ont en commun la passion des magazines féminins et l’envie de vivre leur vie à 100 à l’heure.

Alors, celle qui écrit comme on respire et qui saurait reconnaitre l’odeur du papier neuf des librairies à des kilomètres à la ronde. Celle qui n’avait jamais pensé écrire l’histoire de sa grand-mère alors même qu’elle passe son temps à dire à ses fils : « comme dirait ma grand-mère ». Celle qui nous embarque comme personne au cœur des fashion weeks, dans un mélange de paillettes et d’humour irrésistible. Celle qui nous livre régulièrement les meilleurs street styles de tout Paris. Adèle, la talentueuse, la créative, l’amoureuse des mots, a accepté de raconter son dernier roman à mon micro. Et je peux vous dire que ça vaut le détour.

Avec Adèle, on a parlé des conditions de vie d’un grand nombre de femmes dans les années 70, bien loin du Mai 68 avec les fleurs dans les cheveux que l’on a tendance à imaginer, et puis de ce qui a concrètement changé pour nous, depuis ce temps si proche, et en même temps si lointain. On a parlé des sujets tabous sur lesquels Menie a levé le voile, et de ce couvercle qui s’ouvre sur la parole des femmes à certaines périodes de l’histoire pour ensuite, très souvent se refermer comme si de rien n’était. On a parlé d’ignorance, de solitude, de liens, d’amour, d’entraide et Adèle m’a redit à quel point sa grand-mère avait été un modèle de force, de liberté et d’espoir pour elle, mais aussi pour toute une génération de femmes, dont certaines se sont vues pousser des ailes si grandes qu’elles ont eu le courage de tourner la page d’une vie qui ne les rendait pas heureuse…et de carrément quitter leur mari : ah ben j’avais prévenu que l’émission de Menie avait été une déflagration dans les foyers !

Alors c’est parti ! Avec Adèle aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Ecoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Vous ne le savez peut-être pas, mais aujourd’hui, nous sommes en pleine semaine du Podcasthon: 7 jours pendant lesquels plus de 300 animateurs et animatrices de podcasts se mobilisent pour mettre en valeur le monde associatif, et je suis ravie qu’ENVOL y participe avec la mise en avant d’un lieu révolutionnaire dédié aux femmes, créé par mon invitée du jour. Allez, je vous présente la fabuleuse femme en vol numéro 8!

Elle n’est pas tout à fait Française. Plus vraiment libanaise. Elle est en quelque sorte, une citoyenne du monde. Elle, c’est Ghada Athem. Aussi douce que puissante. Aussi lumineuse que déterminée. Unique petite fille au milieu de trois frères, Ghada nait et grandit au Liban. Bonne élève et lectrice assidue, elle comprend très vite que l’école détient les clefs de sa liberté. Lorsque la guerre éclate, elle s’expatrie en France pour commencer ses études dans le seul domaine qui pour elle, continue d’avoir du sens alors que tout s’écroule : celui de la santé. Puis la magie de la naissance la happe tout entière et elle devient gynécologue-obstétricienne, plongeant dans le même temps en plein cœur de la vie et de l’intimité des femmes et des familles.

Chef de service à la maternité des Bluets, puis dans l’armée, Ghada accepte finalement le rôle de chef de service de la maternité de Saint Denis. C’est à ce moment-là, lorsqu’elle se confronte aux violences faites aux femmes, exacerbées par un contexte de grande précarité, que germe l’idée d’un nouveau modèle de soins holistiques, un parcours de prise en charge globale unique en son genre et qu’elle décidera de créer elle-même en 2016, sous le nom de Maison des femmes. La Maison des femmes, c’est un modèle nouveau qui accompagne les femmes vulnérables et victimes de violences, en leur proposant des parcours de soins globaux qui n’existe nulle part ailleurs : tous les services dont elles ont besoin sont à disposition et facilement accessibles sur place : des soignants, des ostéopathes, mais aussi des policiers, des juristes, des artistes. La Maison des femmes, c’est un lieu de soins, mais dans lequel on a envie d’entrer, et dont les couleurs vives tranchent avec l’austérité de l’hôpital auquel il est accolé. La Maison des femmes, c’est un lieu tout aussi utile que l’hôpital, mais qui ne ressemble pas à un hôpital. La Maison des femmes, c’est une innovation. C’est une révolution qui met la femme au centre. Un lieu d’écoute dans lequel on s’occupe de choses dont le reste du monde se fout. Une « safe place » où la gaité, la joie et le partage font tenir debout ensemble.

Celle à qui la guerre dans son pays natal a donné des ailes pour la vie. Celle qui a choisi d’exercer un métier au cœur de la vie des femmes et des familles, et qui se bat pour leurs droits depuis maintenant 40 ans. Celle qui a eu à cœur de créer un endroit coloré et chaleureux dans lequel les femmes se sentiraient accueillies et écoutées. Celle qui aurait rêvée d’être Marie Curie pour révolutionner le monde, mais qui a quand même trouvé le moyen de le faire à sa manière. Ghada, l’engagée, l’endurante, la chef d’entreprise aguerrie, a accepté cette conversation avec moi.

Avec Ghada, on a parlé de l’indépendance économique des femmes, de leurs droits à prendre des décisions pour elles-mêmes et à disposer de leurs corps, et de leur place dans la société. On a discuté de la difficulté d’être parent, de l’école d’aujourd’hui et de l’éducation des petits garçons comme un enjeu de taille pour s’extirper du modèle patriarcal. Et puis on a aussi loué l’importance de célébrer les victoires et de faire la fête ensemble lorsqu’on est une équipe soudée.

Allez, c’est parti ! Avec Ghada aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les et envolez-vous.

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Son super-pouvoir à elle, c’est la parole. Et elle a décidé de s’en servir au quotidien pour faire parler les mères. Pour les aider à mettre des mots sur leurs maux. Pour les aider à se libérer de leurs entraves et à déployer leurs ailes. Elle, c’est Josépha. Elle est lumineuse, elle est sublime, et de sa baguette magique de fée, elle a osé dépoussiérer l’idée que la majorité d’entre nous se faisait d’un groupe de paroles. Elle ne cache pas avoir eu peur de rêver trop grand, mais il se trouve que les femmes ont aimé. Ont adoré même, se retrouver entre elles pour parler. Il se trouve qu’en fait, elles en avaient besoin, et qu’elles l’ont suivie dans cette folle aventure du Loma club, pour finalement former ensemble une fabuleuse armée pacifique. Au Loma Club, on peut tout se dire. Aucun sujet n’est tabou. On pleure, on se libère, on se marre, et surtout, on ne se juge pas. On se soutient et on s’entraide. Exit la compétition. Welcome la sororité. 

Tout au Loma Club est à l’image de Josépha. Et il devait être écrit quelque part qu’elle en serait un jour la grande cheffe guerrière et pacifique, elle qui a grandi entourée de femmes. Elle qui leur voue un amour inconditionnel depuis toujours, et qui aime tant les écouter parler, sans jamais se lasser. Elle a d’ailleurs commencé à les interviewer, dans les documentaires Meufs, puis Mères, qu’elle a réalisées bien avant le Loma Club et avec lesquels elle rassemblait déjà les femmes. Elle les rassemble aujourd’hui aussi sur Instagram en leur faisant profiter au quotidien de sa jolie plume. Persuadée qu’on est bien plus douces entre nous que ce que l’on veut bien dire, et qu’on voit plus facilement la lumière chez les autres, elle envoie de l’amour, nous aide à mieux accepter nos corps, à déculpabiliser face à nos rôles de mères, à nous sentir moins seules. Jamais seules ou seules ensembles. 

Alors, celle qui est capable de parler de tout sans tabou et de délier les langues comme personne. Celle qui est encore portée aujourd’hui par la confiance aveugle que sa maman place en elle depuis qu’elle est toute petite, et qui s’est toujours sentie aussi légitime qu’un homme à prendre sa place dans ce monde. Celle qui était persuadée qu’elle deviendrait adulte en devenant mère, mais qui a depuis, toujours l’impression d’avoir 15 ans. Celle qui travaille chaque jour à devenir meilleure dans les yeux de sa fille et qui n’oublie jamais qu’il y a autant de façons d’être mères que de mères. Celle qui persiste et signe à dire que quand les femmes se parlent et s’unissent, il se passe des choses extraordinaires. Josépha, l’instinctive, la guerrière, la rassembleuse, a accepté de me recevoir dans son petit cocon bruxellois, pour mon plus grand bonheur. 

Avec Josépha, on a parlé de la vision que l’on développe de la société lorsque l’on grandit comme elle, entourée de femmes. Du fait que devenir féministe n’est pas qu’une pancarte brandie dans la rue, mais plutôt un long chemin au quotidien. On parle de sa maternité qui l’a rendue libre comme jamais, du Loma Club bien sûr, et puis aussi, des super pouvoirs de nos corps, de sa merveilleuse grand-mère, de Lauren Bastide et des soirées pizzas sur le sol du salon.

Allez c’est parti ! Avec Josépha aujourd’hui, on souffle dans vos ailes. 

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Cet épisode va vous transporter dans un sacré voyage. Ou plutôt, un voyage sacré, comme l’explique si bien Anne Ghesquière, dont le merveilleux podcast Métamorphose, m’a fait découvrir notre invitée du jour : Céline Tadiotto. Il nous arrive parfois de nous sentir entravés dans notre vie. Comme freinés. Bloqués. Empêchés d’avancer. Certaines de ces entraves, nous savons les mettre en conscience. Nous savons parfaitement dire que parce que l’on a eu une expérience professionnelle ou amoureuse désastreuse, se lancer dans la suivante est compliquée. Mais il est des entraves qui sont beaucoup plus subtiles. Quasiment inexplicables. Tout juste palpables. Difficilement atteignables même, parfois. Et c’est bien normal, parce que celles-ci sont de l’ordre de notre inconscient et qu’en fait, elles ne nous appartiennent pas. Nous les avons héritées de nos mères, de nos grands-pères, de nos aïeux. On les appelle les loyautés familiales inconscientes. Elles datent parfois d’il y a très longtemps, mais leurs effets se répercutent encore aujourd’hui. Or cette histoire familiale, nous la portons tous en nous, à notre insu. Pour le meilleur, mais aussi pour le pire. Et elle est au cœur du travail de psychogénéalogie, qui s’attache à démêler les nœuds du passé pour libérer le présent. 

Alors si c’est la première fois que vous entendez ce terme, ne partez pas en courant ! Vous allez voir, c’est passionnant. Vous allez comprendre qu’en regardant un peu en arrière, on peut décider de travailler à s’en dégager pour déployer nos ailes. Céline, elle a plein de cordes à son arc. Elle est donc psychogénéalogiste, mais aussi, entre autres, infirmière diplômée d’état, naturopathe, conférencière, et créatrice de la Lecture du Corps. Et pour nous guider pas à pas sur le chemin de nos ancêtres, elle a conçu une méthode qu’elle détaille dans son livre : « J’arrête de subir mon passé, 21 étapes pour se libérer (enfin) des répétitions transgénérationnelles ». Un livre fantastique pour prendre ou (re)prendre notre vie en main. 

Celle qui petite, rêvait d’être « médecin qui soigne par les rêves », et qui vit aujourd’hui chaque jour des aventures extraordinaires et merveilleuses au sein de la grotte qui lui sert de cabinet. Celle qui est désormais si aguerrie à mener l’enquête qu’elle en donnerait certainement des leçons à Sherlock Holmes lui-même. Celle dont la voix rassurante s’applique à vous embarquer dans son univers avec beaucoup de pédagogie, et dont la douceur et la gentillesse vous enveloppent en clin d’œil. Celle qui sait aimer sans conditions. Céline, la bienveillante, la spirituelle, la positive au grand coeur, a accepté sans hésiter ma proposition pour une conversation avec moi. 

Ensemble, on a parlé des secrets bien gardés, d’épigénétique, des fantômes (mais pas de ceux avec le petit drap blanc et les deux trous pour les yeux), et aussi du fait fascinant que les nouveau-nés sont capables, sans leur demander leur avis bien sûr, de dupliquer psychiquement l’intégralité de ceux qui prennent soin d’eux. On a parlé de Françoise Dolto, et puis aussi des dates d’anniversaire et de nos sac à dos. 

Allez c’est parti ! Avec Céline aujourd’hui, on souffle dans vos ailes. 

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous ! 

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Il est des femmes sur Instagram qui font bouger les choses. Avancer le monde. Sans spectacle. Sans artifices. Rien qu’en étant elles-mêmes. En incarnant en photos ou en mots, le vent de liberté, de force, de simplicité, de révolte parfois, dont nous avons toutes besoin. Anaïs est de celles-ci. Passionnée de voyages, de food et de rencontres humaines, fondatrice du blog lifestyle Parisianavores, du guide des bouis-bouis à Paris et du site des Escampettes, elle partage depuis plus de 10 ans maintenant ses bons plans, coups de cœur et autres road trips, principalement avec ses enfants.

Mais ce n’est pas pour tout ça que je lui ai proposé de passer derrière le micro d’ENVOL ; c’est parce qu’elle est une fervente défenseuse de l’égalité homme-femme. Parce qu’elle pense qu’être l’égale de son mec est l’une des clés indispensables aux femmes pour déployer leurs ailes. Et parce qu’elle n’a jamais rien lâché là-dessus. Elle persiste et signe à dire qu’une « autre réalité est possible dans les couples hétérosexuels. Qu’une bataille est à mener. Mais qu’elle en vaut la peine, pour toutes et tous. »

Lorsque l’on est une femme, et certainement encore plus lorsque l’on devient mère, il est de nombreuses choses qui peuvent être une entrave à prendre le pouvoir de notre vie : la charge mentale du foyer, les rythmes des enfants en bas âge, les horaires et les contraintes d’une vie pro qui prend de la place. Mais ce que j’adore chez Anaïs, c’est sa capacité à balayer tout ça d’un revers de la main, ou plutôt à transformer les contraintes en opportunités ; c’est sa vision de la société, si juste et parfois si désarmante qu’elle nous pousse à nous challenger pour devenir une meilleure version de nous-même.

Celle qui à vingt ans, cherchait le sens de sa vie, le sens de ce monde, en écoutant « écorchée » de Diam’s, et qui, comme elle, était « jalouse maladive de ceux qui vivent l’esprit vide ». Celle qui, en se rendant compte que ce sens n’existait peut-être pas, a décidé d’en inventer un : le sien. D’assumer ses choix et de retrouver son âme d’enfant pour mener sa vie comme elle l’entend. Celle qui a fait trois bébés en quatre ans, qui se réveille encore aujourd’hui, souvent étonnée, en se demandant s’ils sont bien à elle ; et qui, avant de les avoir, pensait que les parents étaient toujours des gens responsables, mais qui nous avoue aujourd’hui « avoir compris qu’il fallait surtout être assez inconscients pour se coller volontairement perpète. » Celle qui aime sortir des sentiers battus et capter l’extra-ordinaire dans l’ordinaire. Anaïs, l’authentique, la voyageuse, l’indignée, la kiffeuse décomplexée, a accepté sans aucune hésitation de se livrer à mon micro.

Ensemble, on a parlé des inégalités au sein du couple parental, de charge mentale, du concept de la mère sacrificielle qui a encore le vent en poupe aujourd’hui, sous l’appellation de « Wonder Mum ». On a aussi parlé du papa comme figure d’attachement principale, des princesses qui attendent que leur prince charmant vienne les délivrer, de voyages immobiles, d’émerveillement, et de Dora l’exploratrice. 

Allez c’est parti ! Avec Anaïs aujourd’hui, on souffle dans vos ailes. 

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous.

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Lorsque je pense à elle, le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est "pétillante". Bon ensuite évidemment, il y en a plein d’autres qui s'enchainent : authentique, altruiste, généreuse, et drôle aussi, bien sûr. Elle, c’est Tiffany, une jolie brune pleine d’énergie indissociable de sa frange coupée juste au-dessus des yeux et de son corps de yogi.

Tiffany fait partie de ces gens qui ont eu le courage de changer de vie pour se réaligner avec qui ils sont vraiment. Avant d’être naturopathe et professeur de yoga, elle vivait une vie Parisienne très active, faisait de gros horaires, travaillait le week-end en carburant au café et stressait en permanence par peur de ne pas être à la hauteur. Et puis il y a eu cette période pendant laquelle elle a malheureusement souffert de maux de ventre extrêmement violents. Peu avant cela, son corps avait déjà tiré la sonnette d’alarme : des douleurs abdominales très fortes, des maux de tête, des angines, des rhumes à répétition, mais comme elle n’avait apparemment pas compris le message, il y est allé plus fort cette fois-ci. Elle a alors découvert la naturopathie, "ce nouveau monde rempli de solutions", comme elle dit. Elle s’est soignée toute seule grâce à des méthodes naturelles, et sa prise de conscience a été si grande que Tiffany, très loin d’avoir envie d’en rester là, est carrément devenue naturopathe. Elle a repris le pouvoir de sa vie, s’est reconnectée à son corps, à son mental et à sa féminité, et a travaillé sur la grande blessure d’abandon qui l’empêchait de vivre pleinement.

Et alors, elle est devenue…Tiffany. La vraie. L’unique. La femme puissante et rayonnante que je connais aujourd’hui, créatrice et actrice de sa vie, et maman de deux enfants. Et après tout ce chemin parcouru, elle a décidé de rassembler dans un livre co-écrit avec sa prof de naturopathie, Flora, tout ce qu’elle a emmagasiné de théorie, de vécu, d’expérience et de convictions. Ce livre s’appelle « Change ta vie, resplendis ». Et c’est une pépite !

Celle dont les yeux s’affranchissent justement de la frange qui les borde pour vous transpercer en quelques secondes. Celle qui persiste et signe à dire que « tout commence en nous, avec l’écoute de nos propres besoins et qu’il faut se libérer du regard d’autrui pour devenir soi-même. Celle dont le cœur fond et fondra toujours à la vision d’un petit être humain tout neuf, et encore plus s’il est accroché au sein de sa mère. Celle dont la maison est un doux foyer, une porte constamment ouverte, un refuge, pour tellement d’autres.

Tiffany, la passionnée, l’amoureuse, la générosité incarnée, la plus enveloppante des naturopathes, a accepté de passer derrière le micro d’ENVOL.

Ensemble, on a parlé du moment où son corps lui a dit stop et où sa vie a basculé, des wonder women en sabotage, de la loi de l’attraction, de l’importance de se détacher du regard des autres et d’apprendre à dompter son cerveau, mais aussi de chérir le moment présent. On a aussi parlé de ce que veut dire déployer ses ailes en tant que femme lorsque la célébrité fait partie du quotidien, et de la joie et de l’amour, comme la clé de tout. Et aussi, on a ri et on a respiré.

Allez c’est parti ! Avec Tiffany aujourd’hui, on souffle dans vos ailes. 

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Ceci est une parenthèse enchantée. Un moment spécial et suspendu avec une femme admirable. Et je suis certaine que nombreux d’entre vous auront deviné son nom, rien qu’à l’écoute de la construction de ma première phrase. Ceci est. Ceci n’est pas. C’est par ces petits mots que Marie Robert débute les textes qu’elle écrit chaque matin. Ces textes qu’elle nous livre avec douceur et générosité sur son compte Instagram @philisophyissexy, et qui sont devenus le petit rituel de quelques milliers de français au réveil. Dont moi, bien évidemment.

Pour ceux qui ne la connaitraient pas, s’il en est encore, Marie est un soleil. Son sourire est capable à lui seul d’illuminer toute une pièce, et sa voix réconfortante traversera vos écouteurs avec autant d’aisance, j’en suis sûre, qu’elle-même sait nous parler de philosophie. Cette discipline passionne Marie depuis toujours et elle a donc décidé, à travers ce compte, de la dépoussiérer un peu pour la rendre accessible au plus grand nombre. Parce qu’elle est persuadée que nous en avons tous besoin au quotidien pour cheminer à travers nos existences, nous autres qui aurons attendu plus de 20 ans pour trouver ça cool, la philo. Ses textes sont clairs, ses mots sont justes, ses pensées vibrantes, ses questionnements universels, et son talent immense. Elle joue avec les mots mieux que personne, et avec elle, la magie opère à chaque fois.

Mais Marie, elle sait faire encore beaucoup d’autres choses. Comme vous le savez, chez Envol, on célèbre les femmes en mouvement, et honnêtement, je ne sais pas qui l’est plus que Marie, la femme multi casquettes par excellence. Marie est donc professeur de philo. Elle est aussi fondatrice d’écoles Montessori, et puis, son fil rouge dans la vie, ce qui la porte, c’est de transmettre. Et elle le fait via plein de supports différents : des conférences en entreprises, un podcast, des livres. Elle est chroniqueuse pour Marie-Claire, organise des webinaires en ligne…Bref, elle a la bougeotte, autant dans sa tête, que dans son corps, d’ailleurs !

Celle qui sait mieux que personne faire vivre ses passions et les mettre au service de la construction du monde de demain. Celle qui fait partie de cette espèce d’êtres vivants qui ne s’habituent jamais aux choses qui finissent et qui détestent le changement, mais qui pourtant se lancent sans cesse dans de nouveaux chantiers en partant de rien ! Celle qui sait mieux que personne traduire en mots nos émotions enfouies. Celle qui nous fait réfléchir, nous remettre en question, avancer, pleurer, sourire et rêver. Marie l’hyperactive, la femme « passerelle », l’amoureuse au sens large, a accepté immédiatement ma proposition pour cette conversation ensemble.

Ensemble, on a parlé de l’invisibilisation des femmes en philosophie comme dans beaucoup d’autres domaines, du mythe de l’éternel féminin, du moule des gentilles petites filles dont on ne veut plus, du modèle de la mère sacrificielle, dont on ne veut plus, non plus, d’ailleurs. De la puissance des femmes, de Serena Williams, et de l’affranchissement comme le socle de nos plus belles constructions. On a aussi parlé d’amour et de la coquille de l’escargot !

Allez c’est parti ! Avec Marie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Faites attention, son grand sourire risque de transpercer vos écouteurs et de foncer tout droit jusqu’à votre cœur. Quant aux vêtements qu’elle crée, si vous les essayez un jour, vous ne les quitterez plus jamais. Avec un gros ventre bien rond, ou pas. Et je parle en connaissance de cause puisque j’y suis moi-même devenue addict. Je veux bien sûr parler de Marie Boyer-Aubert, la fondatrice de JoliBump, marque de mode durable pour femme qui propose des vêtements à porter avant, pendant, mais aussi après la grossesse.

Chez ENVOL, on aime les femmes en mouvement, et je crois du coup que j’ai frappé à la bonne porte en écrivant à Marie. Après avoir fait une école de commerce, puis Sciences Po, un passage dans le conseil, avoir jonglé avec une introduction en bourse et une levée de fonds, et après trois années dans l’entreprise familiale, Marie a finalement décidé de créer sa propre marque. Issue d’une famille d’entrepreneurs chevronnés et alors enceinte de son premier enfant, elle ne trouve pas de vêtements dans lesquels elle se sente bien. Partie donc de son propre besoin, forte d’une enfance marquée par un papa qui l’aura poussée dans la vie en faisant une normalité du fait que les filles peuvent autant que les garçons, et n’écoutant que son intuition et son courage, Marie se lance dans un secteur totalement nouveau pour elle en créant JoliBump, avec pour mission de combler l’immense vide qu’elle y perçoit. Affichant clairement ses ambitions féministes pour sa marque, Marie s’intègre dans une démarche globale en accompagnant les femmes dans l’aventure de leur maternité et en contribuant à libérer la parole sur des sujets fondamentaux, notamment au travers de Nouveau Chapitre, le podcast de JoliBump.

Celle que l’on surnomme « la féministe » depuis son adolescence et qui a su faire de la femme le cœur et la puissance de sa marque. Celle qui a choisi de déjouer les pièges du plafond de verre dès qu’elle en a deviné les contours et qui s’est réinventée pour « tout avoir », comme on dit. Celle qui a su changer de regard entre ses deux grossesses, et à qui au final, la maternité a donné des ailes.

Marie, l’authentique, l’entrepreneuse en quête de sens et de liberté, la plus souriante des taille mannequin, a accepté de se livrer à mon micro ; et tant mieux, parce que j’avais mille questions à lui poser.

Ensemble, on a parlé de la perception que l’on avait du vêtement aujourd’hui dans notre société et de ce qu’il raconte de nous, de notre rapport au corps et des injonctions qui pèsent sur celui des femmes, qu’elles soient enceintes ou non. On a aussi parlé de la libération de la parole autour du sujet de la maternité, de charge mentale, d’équité, de Colette et de Simone de Beauvoir. Et comme je suis allée voir Marie avec les prototypes des futurs sacs ENVOL, vous aurez même quelques indices à ce sujet à la fin de notre conversation. Mais je ne vous en dis pas plus...

Allez c’est parti ! Avec Marie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.

Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !

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Bonjour à tous, et bienvenue chez ENVOL, dans ce premier épisode en solo. 

J’avais très envie de démarrer cette nouvelle aventure en vous expliquant le cheminement qui m’a amenée à travailler sur ce projet, pour que vous compreniez mieux ce que l’on va se raconter par ici.

Envol, c’est un hymne aux femmes qui choisissent de se libérer de leurs entraves pour déployer leurs ailes. Et ce projet prend vie sous deux formes complémentaires : une marque de maroquinerie et un podcast. Parce que chaque femme mérite un alter ego du quotidien qui la fasse se sentir libre, forte et indépendante. Parce que chaque femme mérite qu’on lui chuchote à l’oreille les mots qui vont la guider pour atteindre ses rêves, le produit et la voix, les deux s’unissent dans un même objectif : celui de donner envie aux femmes de prendre le pouvoir de leur vie.

Allez c’est parti, je vous raconte comment tout cela a démarré !

Bienvenue chez ENVOL, le podcast qui souffle dans vos ailes.

Je suis Gaëlle et je donne ici la parole à des femmes inspirantes, dans le but que leurs parcours, leurs convictions et leur puissance, vous donnent à votre tour l’envie et la force de vous libérer de vos entraves et de déployer vos ailes.

ENVOL, c’est la voix de la marque de maroquinerie pour femme qui porte le même nom, dont les sacs sont pensés pour faire corps avec elles, se mouvoir à leur rythme et leur laisser toute la place d’habiter le monde.

Parce que chaque femme mérite un alter ego du quotidien qui la fasse se sentir libre, forte et aimée. Parce que chaque femme mérite qu’on lui chuchote à l’oreille les mots qui vont la guider pour réaliser ses rêves. Le produit et la voix s’unissent dans un même objectif : celui de les aider à prendre le pouvoir de leur vie.

Alors ici, on apprend à changer de regard, à déconstruire et à se détacher des routes balisées pour créer notre propre chemin. On parle de féminisme, de santé, d’entrepreneuriat, de maternité ; et de tout autre sujet qui peut nous guider à être nous-même.

Allez venez, c’est par ici! Je vous embarque avec moi dans l’univers passionné et enveloppant d’ENVOL.