ePortfolio : de l'innovation à l'implantation

Dans ce sixième (et dernier) épisode, on discute de la dernière étape de la démarche d'implantation du portfolio numérique, soit celle de son évaluation. Celle-ci s’est faite par le monitorage de l'implantation, ainsi que la « prise de recul » face à l'implantation (notamment par la démarche qui sous-tend la réalisation de ce podcast). Considérant les efforts investis, une évaluation plus formelle des retombées devra se faire une fois l’implantation complétée. Néanmoins, certaines retombées collatérales (et positives) sont nommées en fin d’épisode. Autour de la table : Matthieu Petit, Julie Lane et Marie-Ève Desrochers.

Dans ce cinquième épisode, on aborde le choc de la réalité, soit la dualité entre qu'est-ce qui était souhaité et ce qui s'est réellement passé. Même s’il est un peu tôt pour juger de la réussite d’une implantation (encore en cours), le besoin d'accompagnement a été au-delà de ce qui était réfléchi initialement, dont par les modalités de formation qui ont demandé plus de temps et d’énergie. Autres freins identifiés : la non-convivialité de la plateforme utilisée et les ajustements liés à la pandémie. L’épisode aborde également la difficulté de mettre en place un portfolio de type « apprentissage », et la place du portfolio au service d’une approche programme portée par des personnes formatrices qui diffèrent souvent d’année en année. Autour de la table : Matthieu Petit, Julie Lane et Marie-Ève Desrochers.

Dans ce quatrième épisode, on revient sur la synergie départementale qui a pu être mise en place, notamment grâce au rôle qu’a joué la professeure Julie Lane, en tant que responsable du projet d'implantation. Son expertise relève notamment du transfert des connaissances. Elle nomme le cadre Knowledge to Action parmi les modèles ayant pu guider cette implantation du portfolio numérique dans le programme d’adaptation scolaire et sociale, et elle souligne l’importance d’une posture d’accompagnement face à un tel changement, une telle volonté d’innovation. L’épisode se termine par l’identification de quelques éléments clés d’une implantation réussie : la proactivité, l’anticipation, et la gestion des ressources. Autour de la table : Matthieu Petit, Julie Lane et Marie-Ève Desrochers.

Dans ce troisième épisode, on traite des différentes tâches en soutien à la réalisation d’une implantation du portfolio numérique. On aborde entre autres les rôles des personnes conseillères pédagogiques impliquées et des différents formateurs des cours intégrateurs. On souligne l'importance des canaux de communication entre les personnes du comité d’implantation et les autres comités du programme concerné. L’épisode témoigne bien de l'approche «bottom-up» qui caractérise cette implantation. En fin d’épisode, on relève la force de la synergie qui a été mise en place en temps de pandémie, parce que malgré la distance, l'implantation s'est poursuivie. Autour de la table : Matthieu Petit, Julie Lane et Marie-Ève Desrochers.

Dans ce deuxième épisode, on aborde la mobilisation des différents personnes concernées par la démarche d'implantation du portfolio numérique, notamment celles du comité d'implantation dans lequel on a pu observer une dynamique d'échanges égalitaires. On identifie également différents modèles d'ingénierie pédagogique, dont le ADDIE et le SOTL, puis on discute de la volonté d'adaptation du portfolio numérique au contexte du programme qui est celui d’adaptation scolaire et sociale, considérant que cette implantation du portfolio numérique impliquait un stage et un cours intégrateur.  Autour de la table : Matthieu Petit, Julie Lane et Marie-Ève Desrochers.

Dans ce premier épisode, on discute des conditions favorables à une implantation du portfolio numérique dans un contexte en enseignement supérieur, notamment dans un programme universitaire du premier cycle. On nomme l'importance d'une complémentarité de différentes expertises, des personnes impliquées, des différents acteurs et actrices facultaires. On aborde différents arguments pédagogiques, technologiques, organisationnels qui ont motivé le choix pour le portfolio numérique, tout comme la pertinence de l'outil et de différentes expérimentations qui ont mené au choix de l'outil Mahara pour le portfolio. Autour de la table : Matthieu Petit, Julie Lane et Marie-Ève Desrochers.