Histoires D'ÉcoCommunautés

Dans ce dix-huitième épisode, on reçoit Catherine Aubertin et Maxime Boivin qui ont co-créé le rassemblement Love n' Light, une expérience immersive en communauté basée sur de saines habitudes de vie. On parle de l’origine de l’événement, d’où les humain en sont rendus par rapport à la vie en communauté, de prendre soin de soi avant de prendre soin du nous, de guérir l’humain, d’un moyen de cheminer vers la communauté, de bagage émotionnel, de ce qui drive le Ln’L, de tous les détails du rassemblement du 13 au 30 juin 2024, de sobriété, de l'équilibre dans les rassemblements alternatif dans des temps plus durs, de s’entraider pour grandir, de trouver le bon terrain pour un Ln’L à l’année, d’autosuffisance alimentaire, de fesser dans le mur, de pimper notre civilisation, d’aller vers le futur et pas mal plus que ça.

Site web du Love n' Light 👇

Dans ce dix-septième épisode, on parle à Benoit Leblanc qui vit depuis 37 ans à l’écovillage La Cité Écologique. On parle de comment il a intégré la communauté à 13 ans avec ses parents, de son choix de rester quand ses parents ont quitté, d’énergie de départ, de l’époque de la pièce du groupe STOPOLLUTION Jeunesse, de la place des jeunes dans l’écovillage, de démarrage d’entreprise, de vie aux États-Unis, de voyage en Inde, de mettre la priorité pour ses enfants, de communauté de Yogananda, de connecter avec ses enfants, de prioriser versus aider, de se respecter assez pour dire non, de conciliation travail-famille-communauté, d’être capable de demander de l’aide et du choix de vivre ensemble. 

Site web du balado 👇

Dans ce seizième épisode, on parle à Jess Cam de son projet de communauté au Costa Rica : Protopia, du rassemblement « Ensemble » qui aura lieu du 18 au 24 février 2024, de l’outil ultime de croissance personnel : vivre avec plein de monde, d'équilibre collectif vs individuel, d’intention claire et de raison d’être qui évolu, d'énergie volcanique de bébé leader, de coup de coeur pour Terre Sauvage et Mystical Yoga Farm, de chanter pour ancrer une culture et harmoniser la cohérence de la communauté, d’exprimer ses limites de façon claire et douce, de prendre le temps d’observer lorsqu’on est nouveau dans une communauté, de garder son intégrité individuelle et de groupe, de fonder une communauté au Costa Rica, de famille choisie, de constamment se diriger vers l’utopie, de gens passionnés qui ont un circuit électrique fluide et de l’amour comme raccourci à Mario Bros. 

Site web du balado 👇

Dans ce quinzième épisode, avec nos invités : François, Mélissa et Michel, on parle de comment le projet de La Chapelle des Trois-Lacs a démarré, du groupe qui a donné naissance à la revue Aube, de la campagne de sociofinancement en cours pour rénover le toit de la Chapelle, de la frénésie entraînante d’être en groupe, de rythme du groupe, de la médecine de la danse dans nos vies et dans la cohésion de la communauté, du langage universel de la danse, des deux côtés de la frénésie, de persévérance de groupe dans des projets d’ampleur, de la communication en tant que défi de l’humanité, de comment renouveler constamment le rythme du groupe, de OFH (expression québécoise de PFH), d’où on voit cette communauté d’ici 5 à 10 ans et d’échanges entre communautés voisines.

Dans ce quatorzième épisode, on parle avec Sylvain et Cyprien de Cohabitat Québec. On découvre une nouvelle appellation pour notre tour de table habituel : un CJMS. On commence par les débuts de cette communauté intentionnelle urbaine située dans le quartier Saint-Sacrement à Québec. On parle de terrain contaminé, de processus d’intégration, de structure légale hybride, de paradoxe de communication, de repas communs, de partage de services et de ressources, de bruits de coursives, de célébrer 10 ans, de l’unité B104, de se laisser le temps pour rejoindre une communauté, de l’effet « lune de miel », de logement abordable, du rôle de CQ dans le mouvement du cohousing au Québec, du site web de l’atrium de l’apprenti-sage, de la théorie versus la pratique en sociocratie, d’énergie de début de projet, et finalement on donne l’énorme responsabilité du mot de la fin à Martin.

Dans ce treizième épisode, on parle avec Fleure (Andrée Robert) des débuts de l’écovillage La Cité Écologique tel que décrit dans son livre Voir 36 chandelles à l'écovillage. Elle nous raconte comment elle est arrivée à cette réunion du 7 janvier 1984 qui a mené à la création de ce projet de communauté. On aborde l’importance d’avoir un idéal commun clair et fort, la fébrilité joyeuse, avoir juste l’essentiel, la gêne de la timidité, l’acceptation et l’amour, le non-jugement, ce que ça prend pour faire durer un écovillage longtemps, laisser la place aux jeunes, la mode des dénominations, le mélange des couleurs en lumière 🌈🤍 versus en matière 🌈💩, être d’accord avec ceux qui sont pas d’accord. 

Dans ce douzième épisode, on jase avec Gabrielle Anctil de son livre, Loger à la même adresse, et de sa communauté intentionnelle urbaine La Cafétéria. On emprunte leur concept du « tof-in » pour se référer à notre tour de table d’intro. On touche à des sujets comme de l’importance de la bouffe dans toutes les communautés intentionnelles (cuisiner ensemble, manger ensemble), de partager ses connaissances, d’infolettres de onze pages, du potentiel des communautés intentionnelles du Québec, des joies et les défis de la vie collective, de science et de référence, de recette magique et pétage de bulles, du moule de la société, de la place du féminisme dans les communautés, de diversité ethnique, d'identité de genre, d’orientation et de culture dans les communautés du Québec. Ugo avoue qu’il n’a jamais fini de lire Vivre Ensemble. Gabrielle nous parle de son rôle sur le CA de Village Urbain qui amorce bientôt la construction d’un cohabitat (Un Village à Lachine). On profite du fait que Steph soit absente pour parler de définitions et d’utilisation des mots écocommunauté, communautés intentionnelles, communautés alternatives. On se demande s’il y a une déconnexion entre les communautés intentionnelles urbaines et rurales.  C’est un épisode vraiment long, c’était trop intéressant !

Dans ce onzième épisode, on célèbre un an de podcast en diffusant l'enregistrement en direct pour la première fois ! On parle de sauter à pieds joints, complètement... de ce que le podcast nous a apporté au cours de la dernière année, du nombre approximatif de gens qui écoutent le podcast, de vivre ensemble versus un besoin d'intimité, de nos projets de cette année (EDE, immersions en écocommunautés, festivals), de peut-être faire un sommet des écocommunautés, de travail bénévole versus fixer un prix pour rendre les événements régénérateurs et périns, de réflexion à savoir si la vie en communauté est faite pour moi et de ce qu'on souhaite pour le futur du podcats.

Dans ce dixième épisode, on parle à Frédérique Schwarz du projet de communauté La Bande Danse. On jase de tournée d’écovillage durant une année sabbatique incluant l’écovillage de Piracanga au Brésil et Tamera au Portugal, de cheminement personnel en découverte d’écocommunautés qui pourrait se comparer à l’enfance puis l’adolescence et l’âge adulte, de démarrage de communauté infructueux, de polyamour éthique, de comment le projet La Bande Danse a commencé et où il en est dans son développement, et finalement de rencontre avec Diana Leafe à Earthaven.

Dans ce neuvième épisode, on parle à Jocelyne Béïque qui a participé à l'opération collective de la Ferme Morgan de 2011 à 2015. On parle de vivre en groupe, d’accueil en milieu rural, de partage de dépense et de revenu, de la maison d'édition écosociété, du mouvement Québécois pour la décroissance conviviale, de cultiver les liens plutôt que les biens, d’un livre qu'elle a écrit : Saint-Camille, le pari de la convivialité et de manger ensemble pour développer une communauté.

Dans ce huitième épisode, on parle à Estelle Le Roux Joky de l’organisme Village Urbain qui a pour mission de développer et promouvoir des cohabitats. Vous avez bien lu, pas un, mais plusieurs cohabitats. Un projet est en cours à Lachine et bientôt un à Laval. On discute de comment elle en est venu à co-créer cet OBNL avec Pascal Huỳnh, de cette idée de professionnaliser l’implantation de cohabitats, de crise du logement, d’isolation social et de buanderie collective.

Dans ce sixième épisode, Nébesna Fortin nous rejoint pour parler de l’écovillage « La Cité Écologique » où elle est née et a grandi. Elle se dit passionnée du « vivre ensemble » et s’occupe du centre de formation le C.A.P éco-communautaire. On parle de comment elle est venu à s’intéresser au monde des éco-communautés, de ses voyages en Europe dans le cadre de rassemblement du GEN (Global Ecovillage Network) et de cours EDE, sa vie en tant que maman en écovillage et finalement du réseau québécois des éco-communautés. Qu’est-ce qu’il est ? Qu’est-ce qu’il pourrait devenir ?

Dans ce cinquième épisode, on discute avec Djazia qui amorce sa transition vers la vie en communauté. On parle de travailler sur soi, de respecter le rythme de chacun, du cheminement nécessaire pour vivre ensemble, de « partager des moments de partage », du moule de la société et on a une pas pire définition d’éco-communauté.

Dans ce quatrième épisode, on discute avec Marie-Josée et Audrée (Morin) de leur projet en démarrage : « La Tribu Sylvilisée ». On parle de leurs cheminements qui les ont amenées à démarrer ce projet. Quels sont les défis et qu’est-ce qu’il y a de trippant à démarrer une éco-communauté ?

Dans ce troisième épisode, on discute avec Odrée et Emilie de l’éco-communauté « L’Habitat de L’Hêtre ». On parle de la magie du lieu, du rôle de chacun(e), de totem de maman « arainette », d’être le gardien de la terre, de tribus, de van tombées dans le trou, d’art, de spiritualité flexible et de voix de la forêt auto-tunées.

Dans ce deuxième épisode, Vincent (aka Tchenzo) nous raconte son histoire et celle de sa communauté « Le Manoir », à partir du comité environnement au CÉGEP d'Ahuntsic jusqu’à la fondation de la première communauté intentionnelle égalitaire à partage de revenu du Québec. On parle des différentes étapes qui ont mené à la création de ce collectif, de partage de revenu, de sociofinancement pour un prêt solidaire, de décision anarchique versus collective, de mode de vie qui a du sens, de processus d’intégration, propriété collective d’un terrain, de vivre ensemble pour réduire son empreinte environnementale et de l’importance de documenter nos expérimentations collectives.