In the mood for cinema

Pour les adeptes d'Hithcock et de l'humour noir.

Une nouvelle écrite pour un concours dont le thème était "Une ville pas comme les autres"...

Cette nouvelle fut finaliste du Grand Prix de Short Édition en 2020.
Mars 2020. Le confinement. Lydie et Albert sont enfermés : dans leur appartement, dans leurs habitudes. Jusqu'au jour où une musique voluptueuse s'échappe de l'immeuble d'en face...

Cette nouvelle, qui vous emmènera au Louvre, à la rencontre du tableau éponyme du Titien, fut lauréate du Grand Prix Short Édition en 2020. Tel fut l'avis du jury :
"C'est beau, sensible, inspirant...Un récit purement romanesque comme on les aime ! Le style est très soigné et porte avec beaucoup d'émotion cette histoire d'amour triste, assurément romantique."

Cette nouvelle fut lauréate du Grand Prix Short Édition en 2021. Ce texte débute ainsi :
"C'est une impasse bordée d'immeubles disparates. Tels des spectres parallèles s'y frôlent des cœurs endormis."

Cette nouvelle a été écrite suite à l'appel à textes d'un concours sur le thème "Sorcellerie" pour lequel elle fut qualifiée. Il y est question de la puissance de l'imaginaire et du romanesque, d'enfance et de deuil. Elle vous emmènera du Jardin du Luxembourg jusqu'au Ritz...

Le 11 novembre 1940, des lycéens et étudiants se rassemblèrent sur les Champs-Élysées pour commémorer l'armistice du 11 novembre 1918. Cet acte de résistance et de bravoure m'a inspiré cette nouvelle, l'histoire de Louise et Charles...Tout commence par la réception d'une lettre par Louise, pensionnaire d'une maison de retraite.

Cette nouvelle, qui a pour cadre le Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule 2015, est extraite du recueil de Sandra Mézière, "Les illusions parallèles", publié en 2016 par Les Éditions du 38. Chacune de ces 16 nouvelles sur le cinéma a pour cadre un festival différent. Le principe du recueil est que chaque nouvelle s'inspire du style des films projetés dans le festival qui lui sert de décor mais aussi d'événements s'y étant vraiment déroulés. Chaque histoire n'en est pas moins fictive, narrant à chaque fois un rendez-vous manqué. Ce recueil demeure disponible à la commande, en numérique et en papier, dans toutes les librairies ou encore sur le site des Éditions du 38 (editionsdu38.com). Extrait de la 4ème de couverture du recueil : "Des textes magnifiques et romanesques, passionnés, d’une écriture délicate et néanmoins incisive, dans lesquels Sandra Mézière fait parfois cruellement tomber les masques et dévoile sans concession l’envers du décor. Elle partage ici sa passion dévorante pour le cinéma et les festivals qu’elle couvre depuis longtemps et dans les coulisses desquels ces nouvelles vous emmèneront pour vous faire voyager, frissonner, rêver, vibrer… comme au cinéma !".

L'histoire d'un manuscrit oublié dans un taxi. L'histoire d'un jeu meurtrier. L'histoire, tragique, d'Ewelina, Steven et Pierre. "L'attrait du danger est au fond de toutes les grandes passions. Il n'y a pas de volupté sans vertige. Le plaisir mêlé de peur enivre." Le Jardin d'Épicure. Anatole France

Une nouvelle ludique et plus légère que les précédentes qui vous embarque pour un voyage en train, direction l'Île de Ré. Et pour une vengeance retorse...

Cette nouvelle figure parmi les textes lauréats d'un concours d'écriture qui avait pour thème la résilience. Je vous laisse partir à la rencontre de trois êtres "ébréchés" : Cléo, Léa et Paul que les méandres du destin vont réunir...

Cette nouvelle, qui a pour cadre le Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule 2015, est extraite du recueil de Sandra Mézière, "Les illusions parallèles", publié en 2016 par Les Éditions du 38. Chacune de ces 16 nouvelles sur le cinéma a pour cadre un festival différent. Le principe du recueil est que chaque nouvelle s'inspire du style des films projetés dans le festival qui lui sert de décor mais aussi d'événements s'y étant vraiment déroulés. Chaque histoire n'en est pas moins fictive, narrant à chaque fois un rendez-vous manqué. Ce recueil demeure disponible à la commande, en numérique et en papier, dans toutes les librairies ou encore sur le site des Éditions du 38 (editionsdu38.com).
Extrait de la 4ème de couverture du recueil :
"Des textes magnifiques et romanesques, passionnés, d’une écriture délicate et néanmoins incisive, dans lesquels Sandra Mézière fait parfois cruellement tomber les masques et dévoile sans concession l’envers du décor. Elle partage ici sa passion dévorante pour le cinéma et les festivals qu’elle couvre depuis longtemps et dans les coulisses desquels ces nouvelles vous emmèneront pour vous faire voyager, frissonner, rêver, vibrer… comme au cinéma !".

L'histoire d'une enfance assassinée. L'histoire d'une implacable vengeance.

L'histoire, banale et singulière, d'Annabelle. L'histoire d'une voix qui se doit de retentir, enfin.

4ème de couverture : "Le 24 mai 2014, à Cannes, l’avant-dernier jour du 67e Festival du Film, une jeune actrice est retrouvée morte dans la chambre d’un palace, une balle dans le cœur. Les preuves, flagrantes, ne laissent guère planer de doutes sur les circonstances du drame. Et pourtant…
Que s’est-il passé dans sa vie pour que son existence s’achève dans ces tragiques circonstances ? La clef du drame se trouve-t-elle parmi les personnes qui l’ont côtoyée ces quatre derniers jours ou dans son passé, dont les récits s’entrecroisent au fil de l’enfance et des festivals de cinéma ?
Dans ce théâtre des vanités, ce cénacle du 7e art, ce monde aussi fascinant que cruel, la vérité est complexe, bien éloignée de ce qu’elle semble être…

L’amor dans l’âme est un roman aux accents mélancoliques, magnifiquement romanesque, une histoire qui entremêle deuil et amour impossibles, et pose un regard plein d’interrogations sur nos comédies humaines."

Nouvelle lauréate du Prix Alain Spiess 2020. Trouville. 2020. La lettre d'une femme qui raconte comment, le 16 mars, la veille du confinement, elle a tout quitté (Paris, son métier d'avocate, son époux, sa fille) pour vivre seule dans un studio spartiate à Trouville. À qui écrit-elle ? Qui est-elle ? Quel drame indicible l'a conduite à tirer ainsi un trait sur son passé ? Un texte épistolaire qui évoque les bleus à l'âme du deuil mais aussi la possibilité d'un amour.