Les Neurodivertissantes

50 épisodes sans aucun oubli, procrastination, cécité temporelle ni détour neurodivergent... on était bin impressionnées par notre propre performance. Autoprophétie réalisatrice ou tentative de vous maintenir en haleine jusqu'à la toute fin ? Tout se peut! L'important, c'est qu'il est enfin là : l'épisode final live! Une heure de bonheur avec une communauté tissée serrée. Échanges d'anecdotes, fous rires et une presque chorale sont au rendez-vous dans cet épisode qui nous permet de vous dire au revoir. La bonne nouvelle, c'est qu'on ne vous quitte pas vraiment! Entre les épisodes qui restent disponibles et que de nombreuses personnes continuent de découvrir, nos multiples projets pour promouvoir la neuroinclusion et notre présence en ligne, nous restons actives et à l'écoute.

Femme à mille projets, Caroline Lebeau nous entraîne dans cet épisode dans ses multiples aventures, que ce soit son doctorat où elle se penche sur le passage des études à l'emploi ou ses initiatives d'inclusion sociale. On y aborde aussi une approche plus écosystémique de la neurodiversité. Bonne écoute!

Formation, gestion, inclusion : ce sont parmi nos sujets préférés, et ça tombe bien, notre invité Mathieu Dumont est intarissable sur la question! On discute dans cet épisode de stratégies ayant un impact réel sur le quotidien des personnes et de comment, au final, augmenter le bonheur au travail.

Les Neurodivertissantes abordent enfin le syndrome Gilles de la Tourette de front! On reçoit Andréanne Fortin et David Blouin, qui ont tous les deux la Tourette et qui nous partagent avec beaucoup de générosité leur réalité.

Dans cette épisode, nous poursuivons la discussion avec notre invité Charles-Antoine Thibeault en suivant la trame narrative de son vécu expérientiel entourant sa transition en milieu de travail. Voici donc en vrac tous les sujets que nous avons abordés, effleurés, explorés et questionnés :

• La bienveillance, le soutien clair, la transphobie et les microagressions.
• L’écoute des collègues et l’ouverture, la pression de devenir « l’expert·e », le soutien face aux agressions, le concept de transfert/contre-transfert.
• Le privilège et le poids cispassing, les biais, la montée de lait de Melissa sur l’association automatique entre les neurominorités et la philanthropie, les représentations médiatiques.
• L’inclusion pour toustes dans le but de mieux intégrer et inclure les groupes minoritaires, montée de lait de Fran sur la rigidité et stéréotypes et pour finir, consolidation d’équipe et accommodements.

Emmanuelle Ladouceur est conseillère à l'intégration chez Action Main‐d'œuvre. Son travail est d'accompagner les autistes et les personnes avec une déficience intellectuelle dans leur emploi, que ce soit sur le terrain ou dans son bureau. Elle nous décrit plus en détails ce type de soutien qu'on avait abordé à l'épisode 30, avec toute la passion qu'on lui connaît!

On dit souvent que le système scolaire est plus adapté à la neurodivergence que le monde du travail, mais il pourrait être tellement plus, tellement mieux. C'est ce que change touche par touche notre invité de cette semaine, Emmanuel Martin‐Jean de HolistEd. Iel croit qu'il serait possible de s'adapter aux individus dans toute leurs différences et leur richesse, de les éduquer sans les forcer à entrer dans un moule, bref d'avoir un monde académique encore plus inclusif. C'est, bien sûr, de la musique à nos oreilles de neurodivertissantes!

TRAUMAVERTISSEMENT : Mentions de suicide, anxiété et dépression.

Après vous avoir raconté en long et en large que c'est possible qu'une entreprise soit neuroinclusive, on a décidé d'examiner la chose de plus près et d'inviter une entreprise qui l'est pour vrai. On a donc le bonheur de vous présenter Julie Dupuis de Complexe X, neurodivergente et entrepreneuse de son état, qui a dans son équipe une belle variété de profils neurodivergents. Elle nous raconte comment la neuroinclusion se vit au quotidien et quels aménagements elle a mis en place pour que ça roule. Vous constaterez que la neuroinclusion existe, et qu'en plus, c'est payant!

Le fameux "fit culturel" est roi et maître en recrutement. Après tout, si la recrue potentielle ne s'adapte pas bien à la culture en place, elle ne sera pas heureuse et partira, non?

Eh bien non. Le "fit culturel" est un piège qui conforte la discrimination. Il vaut mieux chercher quelqu'un de complémentaire à notre culture, quelqu'un qui viendra l'enrichir par sa différence.

Cela dit, c'est plus compliqué à dire qu'à faire, parce que la culture est un peu insaisissable. On tente dans cet épisode de la définir et d'expliquer en quoi les différents types de gestion ont un impact sur l'inclusivité de cette fameuse culture.

Certaines personnes l'oublient parfois, mais les neuroatypiques deviennent... adultes. Et leur neurodivergence ne disparaît pas pour autant! On vous raconte donc notre propre passage à l'âge adulte, avec l'entrée sur le marché du travail qui vient avec et les kryptonites qui nous attendent au détour. Nous avons appris à identifier quelles sont les caractéristiques qu'on aime chez un emploi, quel(s) milieu(x) nous conviennent et on devine peu à peu comment éviter l'inévitable épuisement. Bref, on espère que vous trouverez des pistes de solutions pour vous-mêmes ou vos proches dans nos vies!

Mention : Un petit peu explicite, mais pas trop…

« Le bonheur n'est pas une destination à atteindre mais une façon de voyager. » Ou toute autre variante de la citation. Pas mal sûre que vous l'avez déjà entendue ou lue... On aimerait bien vous dire qu'on va révolutionner votre vie, mais ce serait probablement faux. N'empêche que cet épisode, c'est un trajet du bonheur en soi. En tout cas, Melissa et Fran ont eu un énorme plaisir à se perdre dans les dédales de leurs petits et grands bonheurs. Tout en anecdotes et en questions existentielles, cet épisode vous parle du bonheur (sans surprise), mais aussi de dopamine et de sérotonine, de normes, de trajectoire et de thérapie. Un beau p'tit cocktail propice aux side quest et aux fous rires!

On dit souvent que la neurodivergence, c'est d'avoir beaucoup trop d'onglets ouverts dans notre navigateur mental. On explore cette semaine cette charge mentale, qui peut vite devenir une surcharge et qui est surtout bien humaine. Qu'est-ce que c'est? Pourquoi serait-elle plus grande quand on est neuroatypique? Comment s'en défaire? Plein de questions que vos neurodivertissantes préférées tâchent de répondre!

C'est dans la poésie qu'on vous accueille cette semaine. On parle de handicap visible et invisible avec Sylvain Le May, avec notamment de brefs détours vers des anecdotes canines (et félines!) et quelques mots sur la nécessité de maintenir le dialogue et l'empathie. On jase aussi de construction identitaire. Bref des sujets pas forcément évidents, mais qu'on aborde avec toute la douceur qui caractérise Sylvain.

Dans le genre riche en contenu, cet épisode est plus qu'à la hauteur des attentes. Pascale Caidor, notre invitée, partage généreusement son parcours et son expertise. Une discussion absolument passionnante prend place autour de l'intersectionnalité, des (micro)discours sur l'inclusion ainsi que des initiatives inclusives, celles qui fonctionnent, mais aussi celles auxquelles faire attention (instrumentalisation de l'EDI, on te voit!). 

Pour conclure cet échange, on définit la notion d'allié.e et on fait la aussi la promotion de l'auto-éducation!

Au menu:
Parcours de Pascale, discours autour de l'EDI, pratiques et initiatives cohérentes en inclusion, être un.e allié.e, s'éduquer, l'intersectionnalité, instrumentalisation et marketing autour de l'EDI, sensibilisation et dialogue.

Cette semaine, c'est la semaine internationale de sensibilisation à l'autisme! Et ça tombe bien, on reçoit quelqu'un qui participe grandement à cette sensibilisation : Andre Pereira, de À pas de géant.

Andre nous jase de son parcours (c'est le premier parent d'enfant neurodivergent qu'on reçoit!), des réalisations de l'école À pas de géant et de plusieurs concepts liés à l'inclusion de l'autisme dans la société, notamment par le biais de l'emploi. Ce que À pas de géant fait est réellement innovateur, vous allez adorer!

Au menu, on parle de tout ça :

• Parcours d'Andre
• L'école À pas de géant et son histoire
• Innovation pédagogique
• Partenariats et implication communautaire
• Centre d'autisme
• Autisme et avenir professionnel
• Industrie touristique et embauche inclusive
• Accompagnement en emploi
• Prêts, disponibles et capables
• Application concrète pour organisation, RH et management

Un sujet de discussion qui revient souvent en privé avec notre auditoire, c'est celui des grandes questions existentielles. Que vais‐je devenir? Qui suis‐je?

On a donc opté pour un épisode 100 % authentique où on raconte nos parcours avec moult anecdotes à la Neurodivertissantes. Peu de théorie cette fois, que du vrai!

Les liens sont disponibles pour vous sur notre site web! 

Mine de rien, beaucoup de formes de soutien existent pour les neuroatypiques qui veulent aller sur le marché du travail. On démystifie pour vous ce champ d'expertise avec ses forces et ses limites, en se basant bien sûr sur notre expérience du terrain et sur notre théorie adorée. Parce que non, vous n'êtes pas obligé.e.s d'affronter le monde de l'emploi sans aide! 

On vous a parlé de flow à quelques reprises, de ces moments où plus rien n’existe en dehors de ce qui nous occupe sur le moment. Mais on ne vous a pas tout dit… Il s’agit souvent d’intérêts spécifiques, qui sont de plus en plus considérés comme une caractéristique de plusieurs neurodivergences. C’est même l’un des critères diagnostiques de l’autisme, c’est dire! Ils sont aussi appelés intérêts restreints, ou intérêts spéciaux, bref plein de noms parmi lesquels on a choisi celui d’intérêts spécifiques. On vous raconte pourquoi, mais aussi on vous en dit plus sur le quotidien des personnes neurodivergentes qui ont de tels intérêts -- avec une pincée de théorie bien sûr!

L’ordre du jour (qu'on tente de respecter) :

• Définitions (intérêts spécifiques/restreints, hyperfocus, hyperfixation, flow…)
• Où et comment est-ce que ça se manifeste dans le continuum de la neurodiversité? Les sources? Les causes?
• Risques associés au niveau personnel et au travail
• En tant que gestionnaires, que faut-il faire/savoir?

Tous les liens et memes qui ont nourri le contenu de cet épisode sont disponibles sur notre site web à l’adresse suivante :

TW : Dépression

Voici un épisode dont le sujet est à nouveau proche de nous et quelque peu délicat : la sensibilité au rejet, aussi appelée rejection sensitive dysphoria (appellation controversée) ou rejection sensitivity. Il a été observé scientifiquement que les neuroatypiques y sont particulièrement sujet·te·s, surtout celleux qui ont un TDAH. On vous inonde donc d'informations, de liens (tellement que ça ne rentre pas sur Anchor/Spotify), de faits vécus et de stratégies.

L’ordre du jour :

• Théories
• Co-occurences
• Vécu partagé
• Manifestations
• Stratégies

Bonne écoute!

TW: dépression 

On vous fait plonger avec nous dans notre univers d'entrepreneuses neurodivergentes, cette semaine. Pourquoi les neuroatypiques se lancent-iels en entrepreneuriat? Quels sont les différentes réalités que ça peut recouvrir? Quelles sont les ressources déjà existantes? Quelles sont celles qui devraient voir le jour? Quels sont les obstacles? Tout ça et plus encore sera couvert dans cet épisode foisonnant!

LIENS:

Ressources

TW : Idées suicidaires, dépression

Sujet lourd mais lumineux, dans cet épisode : la santé mentale. On y partage des théories sur le sujet, des nouvelles de ce qui se passe sur le plan législatif, des témoignages aussi. Ce n'est pas forcément joyeux comme discussion, mais en même temps, avoir un tel espace sécurisé ("safe space") entre nous mais aussi avec vous est porteur d'espoir. Nous espérons que l'épisode vous fera du bien, malgré tout. Prenez soin de vous, ok?

Liens

C'est la période des Fêtes! Certaines d'entre nous adorent ça, donc on a concocté un épisode festif où on vous donne plein de trucs pour faire preuve de bienveillance envers vos proches neuroatypiques, où on se questionne sur le statut cognitif des habitant.e.s du Pôle Nord, où on fait un bilan de l'année et plus encore. Fran nous réserve même toute une surprise!

Liens

Notre plan de départ, c'était de parler des entrevues de sélection du point de vue des candidat.e.s neuroatypiques. On a donc décidé d'inviter Sophie Lemieux, qui est comme nous une professionnelle en ressources humaines avec une neurodivergence (oui, Sophie utilise le langage centré sur la personne, le fameux person-first). Et puis finalement, vous nous connaissez, nos sujets de discussion ont explosé : l'intelligence artificielle, l'accessibilité, les attentes neurotypiques en entrevue, les programmes d'embauche spécifiques et plein d'autres thèmes se sont ajoutés à nos conseils pour les neuroatypiques cherchant un emploi. C'est donc comme à notre habitude un épisode touffu, qu'on espère utile et définitivement enrichissant.

Liens :

Sabrina Gendron-Fontaine est une toute nouvelle conseillère d'orientation qui, tenez-vous bien, se spécialise en douance! Elle travaille en développement de carrière depuis une dizaine d'années et publie son premier livre, Douance et carrière, en janvier 2022. Évidemment on discute de son bouquin, mais aussi de son parcours, du vécu des doué·e·s au travail et de la réalité des conseiller·ère·s d'orientation.

Nous avons déjà parlé du TDAH dans un épisode précédent, mais nous n'avions pas abordé le sujet du milieu professionnel. Fidèles à nous-mêmes on diverge quand même quelque peu, malgré notre mission claire de vous parler d'emploi : on commence par vous parler de théories de l'évolution... Une fois ce détour par l'ère préhistorique accompli, on entre enfin dans le vif du sujet en jasant de stratégies quotidiennes et opérationnelles au travail. On aborde en outre la question des postes de gestion et du TDAH, puis on papillonne de-ci de-là en vous entretenant de mille sujets (en lien avec notre thème du jour, cette fois).

Avoir des difficultés à décoder le non verbal, c'est une caractéristique que partagent plusieurs neuroatypiques. Nous avons donc invité Manuel Constant pour qu'il nous parle de synergologie, la science derrière le langage corporel. Ce que c'est, d'où ça vient, si c'est universel : plein de sujets sont abordés dans cet épisode qui démystifie un grand pan de la communication humaine.

Liens :

C'est un épisode très riche qu'on vous présente aujourd'hui – à preuve, la quantité effarante de liens qu'on met à votre disposition pour creuser davantage le sujet. Mathé-Manuel Daigneault travaille à GRIS Montréal, est lui-même trans et également neurodivergent. On discute avec lui d'intersectionnalité, de neuroqueerness, de recherche de diagnostic et de plein d'autres sujets aussi. Vous nous connaissez, nos discussions partent dans toutes les directions!

**Attention : On parle de "biologiquement fille", mais on aurait dû dire "assignée fille". Les personnes trans demeurent des êtres biologiques!

Liens

On s'en est donné à coeur joie pour cet épisode d'Halloween! MouHAHAHA

Voici les sujets discutés et les liens pertinents.

Un épisode qui se voulait trop ambitieux : on voulait parler TDAH et TDAH au travail, mais finalement, la partie "au travail" sera pour un autre épisode. Oups! 

On démystifie le TDAH, on aborde le phénomène de surmédicalisation, le TDAH au féminin, les fonctions exécutives, l'hypersensibilité et la gestion des émotions, la recherche de stimulation, on parle des forces du TDAH. 

Tout est une aventure dans la vie de Fran, même l'épicerie ou le ménage.
Melissa a oublié ses mots dans une autre pièce.
Solène veille à notre bien-être grâce à sa capacité à nous structurer dans nos idées folles.

Attention cela dit, nous sommes des spécialistes en ressources humaines et des spécialistes de la neuroinclusion au travail, pas des psys ni des médecins! Nos échanges sont à écouter en tenant compte de cette distinction.

Mettre de l'avant son employé.e neuroatypique, c'est bien ou pas? On parle dans cet épisode de la différence entre diversité et inclusion, de la pression de représenter la neurodivergence au sein d'une organisation et des effets néfastes du tokenism. Fran déborde un peu... beaucoup et le cerveau créatif de Melissa est en pleine action : bref, c'est un épisode parfait pour vous démontrer la distractibilité de la neurodivergence par moments! On fait également des liens avec les Pokémons (encore) et avec Le Seigneur des anneaux de Tolkien. La conclusion de cet épisode, c'est que l'inclusion, c'est apprécier tous les sprinkles sur le crémage d'un cupcake.

Où est-ce que vous pouvez entendre parler de pokémon, surengagement, gestion, camping et douance, le tout avec des liens entre chaque thème? Dans une entrevue complètement arborescente avec vos Neurodivertissantes bien sûr!

Entrevue super riche où on explore :

• Parcours de Mélanie Chevrier
• Définition douance + twice
• Combinaison douance et gestion (est-ce que tout le monde bénéficie d'une ascension verticale? Principes de Peters)
• On aborde des sujets sensibles/glissants: les femmes douées en gestion ex: Julie Payette?, l'autodiagnostic et l'identification ainsi que l'effet Barnum
• L'engagement optimal, le désengagement et le surengagement / les modes d'engagement et les cycles de fonctionnement
• Les notions de performance et de potentiel
• Complexité de la neurodivergence (les chevauchements diagnostiques plutôt que des silos)

Cocasse: On y vit une p'tit panne électrique pis on parle de pokémons au moins 2 fois. Aussi, Fran qui revit son camping, i.e. on fait une incursion dans son cerveau! Sans oublier la "nothing box" cognitive...

LIENS

Ceci est le deuxième épisode d'une série de deux avec Amandine Catala et Mylène Legault, deux spécialistes de la justice épistémique. On y aborde le défi de se comprendre soi-même sans les mots/diagnostics et on explicite l'importance de passer par les besoins plutôt que l'étiquette diagnostique, même si ce n'est pas encore tout à faire bien géré dans notre société. On y parle également des efforts de communication aux croisements des communautés et sous-communautés neurodivergentes, puis on passe au soutien en ligne, entaché par la présence et l'impact des trolls. On aborde en outre les défis d'Internet, qui rassemble plusieurs pays ayant différentes conceptions de l'autisme, par exemple. Finalement, on discute sans les nommer de l'effet Pygmalion et l'effet Golem de l'inclusion ou non en classe.

La leçon du jour : on ne peut pas tout savoir, il vaut quand même mieux prendre part au dialogue quitte à se tromper et apprendre.

Liens : 

Cette semaine, on débute notre première série (de deux épisodes) avec invité.e.s. Melissa et Solène reçoivent deux chercheuses passionnantes : Amandine Catala, professeure à la Chaire de recherche du Canada sur l'injustice et l'agentivité épistémiques, et Mylène Legault, doctorante en philosophie. Nous discutons d'abord de leurs parcours respectifs, puis de leur thème chouchou, à savoir l'injustice herméneutique et épistémique (oui, c'est digeste!). On parle également de Lily Spectrum, la bd de Mylène, puis de la puissance des mots et de l'enjeu logocentrique.

C'est un épisode un peu plus théorique, mais évidemment, le tout est vulgarisé à la sauce neurodivertissante. On ne s'ennuie pas!

Les liens de ce qu'on vous raconte dans l'épisode sont juste ici :

On vous propose cette semaine un épisode sur la douance au travail, tiré d'un atelier que nous avons donné pour le groupe Facebook Mes Collaborateurs RH. Nous discutons d'abord des définitions de la douance (parce que oui, il y en a plus qu'une!), pour enchaîner sur les manifestations possibles et sur les moyens de créer une culture inclusive au travail. Nous terminons avec une liste non-exhaustive des effets des pratiques inclusives et une réflexion sur les dilemmes que les pratiques inclusives peuvent entraîner.

Nous parlons notamment de :

Dans une version uniquement en français, Melissa et Solène vous racontent leur entrevue avec Malvina Klag. Au menu :

- Le parcours de Malvina

Dans une version bilingue comportant des extraits, Melissa et Solène vous racontent leur entrevue avec Malvina Klag. Au menu :

- Le parcours de Malvina

Avertissement : Mention de suicide

Cette semaine, nous sommes heureuses d’accueillir notre toute première invitée au podcast! Il s’agit de la magnifique et généreuse Nathalie Bertrand, coach de vie spécialisée en neurodiversité et elle-même ND.

Nous discutons avec elle de sa vie avec sa différence DYS, ses difficultés scolaires et l’impact que cela a eu sur son estime d’elle-même. Puis, elle nous raconte sa vie de mère, son retour au travail après s’être occupée de ses enfants et qui l’a amené à découvrir sa véritable voie, le coaching.

Une entrevue authentique, porteuse d’espoir et inspirante alors que nous abordons les forces, souvent méconnues, des personnes DYS.

Vous pouvez trouver Nathalie en suivant les liens ci-dessous. 

Dans cet épisode, nous en profitons pour avoir une discussion de fond sur les enjeux pressants en termes de représentativité de la neurodiversité dans les médias et les conséquences que ça a sur l’entretien de stéréotypes et de préjugés. On vous laisse un paquet de lien ci-dessous si vous souhaitez approfondir votre compréhension de cet enjeu si important.

Si vous avez d’autres coups de cœur ou bijoux du petit comme du grand écran, partagez-les-nous sur notre page FB ou LinkedIn! ;-)

Finalement, notre série de ''on sait pas combien'' se termine en trilogie cette semaine. Pour conclure cet entonnoir de pratiques inclusives en organisation, on vous parle des différents outils disponibles pour faciliter le travail des ND dans les entreprises, et aussi de tout le monde! Certains sont à vocation spécialisée, entre autres pour la dyslexie, mais d'autres pourront aussi faciliter grandement le travail de toute l'équipe.

On vous laisse ci-dessous une ''trâlée'' de liens tous plus utiles les uns que les autres. Et si vous en avez d'autres à nous suggérer, vous savez où nous trouver pour nous en faire part.

Cet épisode est la suite du précédent. Il y est question de mesures adaptatives et de techniques pour mieux inclure les personnes neurodivergentes, notamment en ce qui concerne l'évaluation de la performance et les communications.

Cet épisode est le premier de notre série sur l'inclusion de la neurodiversité en milieu de travail. Cette courte série se veut un survol de tout ce qu'il est possible de mettre en place pour permettre l'attraction et l'épanouissement des personnes neurodivergentes dans vos organisations. Pour vous donner les outils qui favoriseront l'émergence des forces de ces personnes qui ont été présentées à l'épisode précédent. 

Cette semaine, on jase des forces des personnes neurodivergentes et des avantages de la neuroinclusion pour les organisations!

Voici quelques liens et sources en complément à cet épisode :