Halé Halélé

Dans ce nouveau numéro de Halé Halélé, nous continuons de parler des numéros 4 et 5 des Cahiers des Archives orales de Mayotte. Nous y rajouterons le cahier numéro 6 intitulé: L’esclavage à travers la tradition orale mahoraise. Nous rappelons que ce podcast est basé sur les actes de la grande conférence sur l'abolition de l'esclavage qui s'est tenue le 20 mai 1998 à Mayotte. Aujourd'hui, c'est Soibahadine Ibrahim Ramadani qui nous accompagnera tout au long de cet épisode. Les plus jeunes le connaissent en tant qu'ancien Président du Conseil départemental de Mayotte (de 2015 à 2021). Soibahadine Ibrahim Ramadani est également ancien sénateur de Mayotte, mais il est surtout le premier Doctorant mahorais: un doctorat qu'il a obtenu en 1980 en sciences de l'éducation. Ce passionné d'Histoire, de sociologie et des cultures était intervenu en 1998 lors de ce colloque organisé au Conseil général de Mayotte sur les questions de l'esclavage. Il reviendra avec nous, sur ses écrits et son intervention de l'époque que nous allons écouter à travers les moments de lecture que nous vous proposons, comme tous les mois dans ce podcast.

Comment s'est construit l'imaginaire mahorais dans la société esclavagiste des origines à 1846? Quelle est la perception que les Mahorais ont de l'esclavage, et notamment dans la tradition orale? Quelles traces nous reste-t-il de cette histoire complexe, parfois sombre, souvent violente?

C’est ce que nous verrons dans ce nouveau numéro de Halé Halélé.

Ce mois-ci, nous prenons la direction de l'Afrique du Sud à la découverte de l'artiste Ami Faku qui nous accompagnera tout au long de ce voyage.

Qui étaient ces fameux Sultans batailleurs qui se livrèrent une guerre sans merci pendant plusieurs siècles au cœur des quatre îles de l'archipel des Comores ? Qui fut le premier à avoir réussi à accoster à Mayotte ? Quelles étaient les relations entre Mayotte et les autres territoires de la région du canal du Mozambique ? Comment Mayotte est devenue le cœur d'un commerce monstrueux? C’est ce que nous verrons dans les quatre prochains numéros de Halé Halélé. 

Aujourd'hui, nous nous intéressons à une période bien spécifique: celle des pirates.

Ce mois-ci, c'est le groupe Siti and the band de Zanzibar qui nous accompagnera tout au long de ce voyage.

Dans ce deuxième numéro de Halé Hélélé, nous allons remonter aux origines de l'un des plus anciens villages de Mayotte: Sada. Cet ouvrage des cahiers des archives orales est intitulé de Sakuli à Sada. Il a été édité en 1998. Il nous rapporte les récits traditionnels issus des anciens de ce village du centre Ouest de Mayotte. Nous découvrons à travers les témoignages des anciens l'origine du peuplement de Sada. Pourquoi ce village s'appelle ainsi? Comment s'est-il construit? Qui étaient les premiers Sadois? C’est ce que nous verrons dans ce nouveau numéro de Halé Halélé. Ce mois-ci, c'est l'artiste de Mayotte Mikidache qui nous accompagnera tout au long de ce voyage dans le temps.

Le premier numéro de Halé Halélé se penche sur l'ouvrage de la collection des Archives orales de la délégation territoriale aux affaires culturelles de Mayotte : Mwalimu Boro, considéré comme l'un des premiers rois de Mayotte. Il est question ici des récits traditionnels issus des anciens du village de Mtsamboro qui établissent son histoire.

Dans ce premier numéro, nous allons faire la lecture de quelques passages de cet ouvrage. Nous les analyserons en compagnie de la journaliste Tiziana Marone qui a, à l’époque, dirigé cette collection.

À travers ce premier numéro, nous vous proposons également de découvrir un artiste de la région du canal du Mozambique aujourd’hui, c'est l’artiste mahorais Baco qui nous accompagnera, à travers plusieurs de ses titres.