Le Podcast @sterilisezmoi

Pascaline, a 37 ans. Elle est maman de 2 enfants et se trouve en situation de handicap. Elle est à la recherche d’un gynécologue pour réaliser un parcours de stérilisation et se retrouve confrontée à un problème d’accessibilité dû à sa condition.

Elle nous raconte les obstacles auxquels elle fait face pour obtenir des soins médicaux et gynécologiques.

Elle nous explique les différences entre les fauteuils roulants manuels et les fauteuils électriques. Et les difficultés que rencontrent les personnes qui ont besoin d’un fauteuil électrique. Elle nous parle également des la remise en question systématique de ses choix par le personnel médical mais aussi par la société, de façon plus général.

Elle évoque le manque d’accessibilité, partout, et le sentiment de ne pas exister, le fait que la santé des personnes en situation de handicap se dégrade par manque d’accès aux soins, mais aussi, la non prise en compte de la qualité de vie des personnes en fauteuil et l’obsession du corps médical pour la marche.

C’est un épisode long et très dense en informations. Cependant je n’ai pas souhaité le diviser, tout d’abord parce qu’il est passionnant, mais aussi parce que comme l’explique Pascaline dans l’épisode, il est important de comprendre les problèmes que rencontrent les personnes en situation de handicap, dans leur globalité, pour comprendre la situation qu’elle traverse dans le cadre de la stérilisation.

Je vous conseille vraiment d’écouter cet épisode, surtout si vous êtes valide, comme moi, mais aussi de le partager car il permet d’ouvrir les yeux sur ce que traverse les personnes en situation de handicap, et ainsi de se sensibiliser un peu à leur cause.

J’espère que cet épisode vous donnera d’autres perspectives sur le handicap et qu’il vous donnera envie, d’essayer, à votre échelle, d’améliorer le quotidien des personnes concernées. Belle écoute.

Au moment où je poste cet épisode, nous sommes déjà en janvier 2024.

J’en profite donc pour vous souhaitez à tous.tes une belle et heureuse année. J’espère qu’elle vous apportera beaucoup de bonheur, mais aussi qu’elle vous permettra de concrétiser vos projets personnels et contraceptifs.

En cette année encore plus que jamais, j’ai envie de vous proposer du contenu pour vous accompagner dans votre parcours vers la stérilisation, mais aussi d’aborder d’autres thèmes autour des enjeux féministes.

Avant de commencer ce nouvel épisode, je vous avertis qu’il parle d’un thème qui pourrait être sensible pour certain·es d’entre vous. Au cours de l’épisode, nous allons aborder le thème de la violence incestuelle. Si c’est un sujet trop douloureux pour vous en ce moment, il serait peut-être préférable d’attendre le prochain épisode.

Dans cette interview j’échange avec Anna, 39 ans, qui a réalisé une stérilisation par clips en 2023. Elle nous raconte son parcours contraceptif progressif vers la stérilisation, grâce à des soignantes bien traitantes. Elle aborde aussi un sujet plus personnel et tabou : elle parle du viol incestueux qu’elle a subi enfant, et nous explique son cheminement de réparation et de guérison. Elle revient sur l’écriture de son livre qui traite de ce sujet, et sur le dévoilement du secret dans sa famille.

Un épisode que j’ai beaucoup apprécié enregistrer avec Anna et qui, je l’espère, vous donnera de l’espoir et des clés, pour guérir, si vous avez été victime, ou pour mieux soutenir les personnes concernées.

Belle écoute !

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Je recommande vivement le livre d’Anna, intitulé Le voile de mon frère : c’est un ouvrage court tout en contradiction, qui aborde de façon brute et avec douceur un sujet difficile. Un livre accessible qui ouvre de nombreuses pistes, autant pour les personnes concernées que pour les allié·es, et donne l’opportunité de partir de la guérison pour imaginer les dynamiques de l’après : que se passe-t-il lorsque le tabou est brisé ?

Dans cet épisode, Sophie nous raconte son parcours.

Elle a 27 ans et 2 enfants, et expérimente, depuis l’adolescence, de multiples grossesses sous contraception.

Elle s’est heurtée à beaucoup de jugement de la part des médecins, notamment par rapport à ses grossesses non désirées et à ses avortements.

Dans cet épisode, Déborah nous raconte son parcours de stérilisation. Elle a 34 ans et à réalisé une salpingectomie.

Elle nous explique son parcours de réflexion, le fait qu’elle se soit d’abord tourné vers la méthode Essure, et les jugements qu’elle a essuyé de la part d’un premier médecin.

Pour enregistrer cette épisode, j’ai eu l’occasion de rencontrer Lily, 24 ans qui a réalisé une hystérectomie 2 ans auparavant.

Elle nous explique son parcours et nous raconte pourquoi elle a choisit cette méthode en particulier. Elle nous parle également de sa vie officieuse car elle est créatrice de contenus sur la plateforme de vidéos MYM, qu’elle enregistre avec son conjoint dans le cadre de leur relation de libertinage.

Elle nous raconte donc son expérience avec le travail du sexe et notamment de l’importance des dépistages et de la Prep.

Un échange très intéressant et instructif qui permet de découvrir une autre facette de la création de contenus et du travail du sexe.

Belle écoute.





Dans cette épisode, Mélissa, maman belge de 35 ans, nous raconte son parcours de stérilisation en Belgique.

Avec son mari, ils espéraient avoir 4 enfants, la naissance de leur 3ème leur a finalement fait changer d’avis et Mélissa se tourne vers la stérilisation.

Elle nous raconte son parcours de recherche qui a été très simple et rapide pour elle et nous donne des détails concernant son opération et le suivi post-opératoire.

On aborde également les thèmes du suivi de grossesse pendant le Covid et du suivi post-grossesse.

Un épisode qui je l’espère, donnera de l’espoir à nos auditeurices belges.

Belle écoute.

Docteure en Histoire contemporaine et autrice du livre : "Opération vasectomie. Histoire intime et politique d'une contraception au masculin", Elodie Serna nous fait l'honneur de sa présence dans le podcast.

Elle nous parle de son intérêt pour la paternité et en opposition, pour le non désir de paternité. Elle nous expose son travail de recherches et ses découvertes. Elle aborde notamment les procès qui ont eu lieu, en France et en Europe, dans les années 20 et 30, autour du sujet de la vasectomie.

Elle nous parle, d'Histoire, de politique et d'anarchisme. Elle nous explique aussi pourquoi ce sont les anesthésistes qui ont fait pression sur la loi française afin de définir un cadre législatif autour de la stérilisation volontaire.

Un épisode très intéressant qui nous permet de découvrir la stérilisation sous le prisme de la vasectomie et de l'Histoire. Il permet de découvrir les enjeux politiques et sociaux de cette pratique. En tant qu'auditrice fidèle du podcast "Les Couilles sur la table", ça a été un véritable plaisir et un honneur de pouvoir enregistrer un épisode comme celui-ci. J'espère qu'il vous plaira aussi et qu'il vous permettra d'en apprendre plus sur la vasectomie.

Dans ce nouvel épisode, j’ai le plaisir d’accueillir Bettina, du compte Instagram @jeneveuxpasdenfant.

Pendant cet entretien, elle nous explique comment elle a découvert la stérilisation volontaire, d’abord sous le spectre de la vasectomie. Elle revient sur sa volonté de réaliser l’opération et de ses démarches pour obtenir une stérilisation en Belgique. Elle nous raconte les étapes qu’elle a du suivre pour parvenir à l’opération et notamment les rendez-vous psy auxquels elle a du se rendre.

On évoque également les différentes méthodes chirurgicales concernant la stérilisation et le cycle des avancés féministes.

Durant l’épisode, Bettina nous partage quelques ressources, que vous pourrez consulter dans la description de l’épisode.

Je vous laisse découvrir cet épisode très intéressant, qui vous permettra d’en apprendre plus sur la stérilisation en Belgique, et qui je l’espère, pourra aider nos auditeurices belges.

On retrouve à nouveau Fred dans cet épisode.

Iel revient sur son parcours d’animateurice avec les enfants, et la façon dont les enfants intériorisent rapidement les normes autour du genre.

Iel nous explique le cheminement autour de sa décision de réaliser une hystérectomie et notamment sa découverte du livre de Martin Winckler « Le choeur des femmes ».

On évoque les réactions négatives autour de la stérilisation et plus particulièrement de l’hystérectomie, et du fait qu’on mette systématiquement de côté le bien-être physique ou psychologique d’une personne au profit de sa fonction biologique.

On revient sur l’implication des normes sociétales sur la dysphorie de genre et sur le difficulté des personnes trans. On évoque enfin le besoin de trouver des mots pour « normaliser » les différences.

J’espère que cet épisode vous intéressera et surtout qu’il vous permettra d’en apprendre plus sur la transidentité et la non-binarité.

Après l’enregistrement de l’épisode, Fred m’a partagé plusieurs sources documentaires sur ce sujet. Je vous invite à lire la description de l’épisode pour les découvrir.

Je remercie encore Fred de s’être livré.e à mon micro. Grâce à luiel j’ai pu apprendre beaucoup de choses et j’espère que ces 2 épisodes vous aurons plus. Je vous laisse maintenant découvrir la suite de notre échange.

Les ressources partagées par Fred :

Dans ce nouvel épisode, j’ai eu l’opportunité de discuter avec Laurène Levy, l’autrice du livre « Mes trompes, mon choix. Stérilisation contraceptive : de l’oppression à la libération » disponible en librairie depuis le 17 février 2023.

Elle nous raconte son parcours personnel. Comment elle a découvert la stérilisation et pourquoi elle a décidé de dédier un livre sur le sujet. Elle nous partage également une anecdote familiale.

On aborde plus en détails le contenu de son livre et elle nous explique comment s’est déroulé son travail de recherches et d’écritures. Elle nous transmet également sa démarche et vous donnera envie, je l’espère, de vous plonger dans son livre.

Pour aller plus loin, je vous rappelle le titre du livre : « « Mes trompes, mon choix. Stérilisation contraceptive : de l’oppression à la libération ». Disponible en librairie depuis le 17 février.

C’est un ouvrage qui se lit très facilement et aborde de très nombreux points autour de la stérilisation volontaire.

Laurène Levy retrace notamment l’histoire de la pratique de la stérilisation, en France, mais aussi dans le monde.

Elle analyse les raisons politiques et historiques qui ont fait de la stérilisation, un acte médical tabou et nous donne des clés pour répondre à la fameuse énigme du taux de regret.

Le livre contient beaucoup de références et propose également de nombreuses ressources pour en apprendre plus sur la contraception et sur la stérilisation.

Dans cet épisode, j’ai la chance d’échanger avec Fred.

Fred a 19 ans, iel est non binaire et nullipare. Et iel est en pleine réflexion autour de la stérilisation.

Dans cet épisode, Fred nous raconte son histoire et comment l’idée de la stérilisation est venue très tôt dans son parcours. Iel nous explique, a travers son expérience, ce qu’est la dysphorie de genre et comment elle se manifeste. Iel aborde comment ses expériences et réflexions l’ont amené.e à l’âge de 14 ans, à formuler à sa famille l’idée de se faire retirer l’utérus.

On revient aussi sur son parcours pour essayer de coller à la norme, dans l’espoir de se sentir mieux. Et sur les modèles qu’iel a eu et lui ont permis de s’autoriser à être luiel-même.

Enfin, on parle plus en détails de thérapie, de vaginisme et de tocophobie.

Dans cet épisode nous partons à la rencontre de Guillaume, qui a 35 ans. Guillaume a réalisé une vasectomie et il est venu me raconter son parcours.

Avec lui on a parlé de charge mentale contraceptive, de vasectomie, de conservation des gamètes mais aussi de son opération et de sa phase de récupération post opératoire.

Un épisode important pour celleux qui ne connaissent peu ou pas cette intervention.

Dans cette épisode, j’ai l’opportunité de discuter avec Crystel du podcast Amour, Sexe et Voyage, qui m’a elle aussi interviewée pour son podcast.

On discute ensemble de son non-désir d’enfant mais on aborde également de très nombreux autres sujets.

Par exemple le fait qu’on peut aimer les enfants sans pour autant en vouloir pour soi.

On parle de déconstruction de l’injonction à la maternité mais aussi de se laisser le bénéfice du doute.

On aborde aussi son parcours d’arrêt de la pilule, de l’interdiction de l’IVG, de l’intérêt de libérer la parole autour des sujets tabous et de normaliser les différences.

On parle enfin de capotes et du fait qu’on aurait tout intérêt à les « glamouriser ».

Bref un épisode d’une heure, riche en information.

J’ai beaucoup apprécié converser avec Crystel et j’espère que vous aurez tout autant de plaisir à écouter cet épisode.

Dans la suite de notre échange avec Violaine, nous évoquons les étapes de son parcours vers la stérilisation, ses recherches et ses échanges avec sa famille. Elle nous explique les confidences de sa grand-mère à propos de la stérilisation.

Elle nous raconte aussi sa rencontre avec le chirurgien qui s’est occupé d’elle et qui l’a accompagnée dans sa stérilisation mais aussi dans la réparation de son corps.

Elle nous parle de l’évolution de son SOPK et du changement de sa libido après l’opération ainsi que de la charge mentale qu’elle subissait avant l’opération. Enfin on parle d’éducation pour faire changer les normes et de pression sociétale.

Je vous laisse découvrir l’épisode et vous souhaite une très belle écoute.

Dans ce nouvel épisode, on part à la rencontre de Violaine qui a 31 ans et un enfant. Violaine a été stérilisé il y a maintenant 2 ans.

Dans cette première partie de notre échange, elle nous raconte son parcours contraceptif et son syndrôme des ovaires polykystiques (SOPK).

Elle nous explique sa grossesse et surtout son accouchement catastrophique, les violences gynécologiques qu’elle a subit et l’épisiotomie forcée, sans anesthésie qui l’a laissé traumatisée.

Elle nous raconte aussi sa découverte post accouchement : la sage-femme lui a fait un point du mari.

Elle nous raconte ses douleurs, l’errances médicale autour du sujet et le traumatisme qui l’accompagne.

Elle nous raconte aussi la bipolarité de sa maman et nous explique pourquoi il est hors de question pour elle de tomber enceinte à nouveau.

Finalement, on aborde la pression autour de la parentalité et les violences ordinaires subies par les personnes enceintes.

Dans cet épisode, je rencontre Mélissa, 34 ans, qui a réalisé une stérilisation volontaire et une ablation de l’endomètre.

Durant notre conversation nous avons abordé de nombreux sujets. Par exemple, nous avons parlé des chirurgiennes qui acceptent la stérilisation sans en demander les raisons, de post partum, de ne pas réussir à percevoir le positif dans la parentalité, du fait de se réjouir pour la parentalité des autres quand on est childfree ou encore de se sentir obligé.e d’avoir une bonne raison pour ne pas vouloir d’enfants.

Elle nous parle aussi de son ancien métier (kiné) et de sa reprise d'études. On aborde ensemble le sujet des injonctions autour des childfree et on détricote les idées reçues.

Très belle écoute

Ce mois-ci on se retrouve pour la suite de cet épisode avec Clotilde, on parle de Reddit, du syndrome post ligature tubaire, de comment changer le monde sans avoir d’enfants ou encore de trouver son but dans la vie. Belle écoute

Aujourd’hui on part à la rencontre de Clotilde, 26 ans, qui a subit une salpingectomie en décembre 2021.

Elle nous raconte son parcours pré opération. Les refus nombreux de chirurgien.nes, les rdv chez le psychiatre, les remarques mal placées du corps médical et l’absence de connaissance autour des sexualités.

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Musique d’introduction proposée par La Musique Libre

Ce mois-ci on part à la rencontre de Maureen, 26 ans, qui a commencé son parcours de stérilisation mais n’a pas encore pu le finaliser à cause du Covid. Elle nous raconte son chemin de réflexion autour de cette pratique et nous confie ses déboirs avec le stérilet.

On aborde également le sujet de l’IVG, la philosophie autour du fait d’avoir des enfants et du dilemme qu’on peut ressentir lorsque saon partenaire n’est pas en phase avec ses choix.

Dans l’épisode qui suit, on retrouve Emma pour la troisième et dernière fois. Dans ce volet, qui clos notre conversation, nous abordons plusieurs sujets dont le paradoxe du statut de la femme versus de la mère et la peur de la solitude quand on est childfree.

On se retrouve pour la deuxième partie de cet échange très riche avec Emma. On y parle notamment d'éducation à la différence, de don de gamètes, d'écologie et surtout de culte de la grossesse/maternité.

Vous pouvez écouter l'épisode précédent pour découvrir la première partie de cet échange. La suite et fin sera postée dans un mois.

Emma a 20 ans, elle sait qu'elle ne veut pas d'enfants et a décidé de se lancer dans un parcours de stérilisation. Elle nous raconte son cheminement de pensées, ses recherches de médecin. On aborde aussi les sujets du jugement familial et médical et de l'injonction à la parentalité, partout, tout le temps et dès le plus jeune âge.

Cet échange a été divisé en 3 parti car il était très long. Vous pourrez découvrir la suite le mois prochain.

Perrine, fraîchement stérilisée, nous raconte son parcours de salpingectomie : comment l'idée à fait son chemin, comment a-t-telle trouvé un.e chirurgien.ne, comment se passe le post-op, etc. Elle nous parle aussi de l'endométriose, cette maladie qui touche 1 femme sur 10. Elle nous explique son parcours de diagnostique et on aborde le fait de savoir écouter, de savoir écouter son corps et l'importance de la santé mentale.

Ce mois-ci, j'ai célébré les un an de ma ligature des trompes. L'occasion pour moi de faire une rapide retrospective afin de vous expliquer comment s'est passé la période post-opératoire et comment a été ma vie au cours de cette année. C'est un épisode assez court puisque - spoiler alert - ma vie est comme avant, la charge contraceptive en moins 🙈

On se retrouve en compagnie de Lisa à nouveau, pour la seconde partie du podcast que nous avons enregistré ensemble. Nous abordons notamment l'importance de la bienveillance et du témoignage. Nous parlons également du coût de l'opération et de sa prise en charge par la Sécurité Sociale et les mutuelle.

L'hystérectomie consiste en le retrait partiel ou total de l'utérus. Cette opération, au-delà de la stérilité, permet de régler les problèmes liés aux règles et/ou à l'endométriose.

Lisa nous explique son parcours et le déroulé de l'opération. Un témoignage riche et extrêmement intéressant.

Dans le prochaine épisode, nous verrons avec d'autres éléments très importants, tels que la bienveillance mais aussi le coût de l'opération.

Dans cette épisode nous partons à la rencontre de Gabrielle et François, parents d'un petit garçon. Ils ont défini leurs projets bébés de façon assez claire et savent que lorsque la famille sera au complet, ils feront le choix de la stérilisation.

Nous prenons le temps d'échanger sur leurs motivations et leurs réflexions. Nous abordons également des sujets plus vastes tels que la responsabilités parentales, le rôle de la société dans le rapport à la stérilisation, l'éducation et les violences gynécologiques et obstétricales.

Un épisode long mais très intéressant au programme. 

PS : je vous conseille d'augmenter un peu le son car la voix de Gabrielle est faible dans l'enregistrement.

Aujourd'hui nous rencontrons Elodie, 29 ans, nullipare et en cours de procédure pour obtenir une stérilisation volontaire.

Elle nous raconte son parcours, ses choix et aussi les obstacles et soutiens qu'elle a rencontrés. On croise les doigts pour elle, afin qu'elle réussisse à aller au bout de son parcours, sans encombres.