WUD PODCAST

Dans l'optique du choix des spé' et des établissements suite aux #ECNi2020, WUD lance une série d'entretiens avec des responsables de syndicats d'internes, pour vous faire découvrir les différents DES et régions qui s'offrent à vous. Aujourd'hui, Sander De Souza, président du collège de liaison des internes de santé publique (Clisp), nous explique pourquoi sa spé, la santé publique, est au cœur de l'exercice médical. 

Dans l'optique du choix des spé' et des établissements suite aux #ECNi2020, WUD lance une série d'entretiens avec des responsables de syndicats d'internes, pour vous faire découvrir les différents DES et régions qui s'offrent à vous. Aujourd'hui, Agnès  Paasche, présidente de l'association française des jeunes chirurgiens maxillo-faciaux (AFJCMF), nous dit pourquoi sa spé, transversale, est passionnante. 

Dans l'optique du choix des spé' et des établissements suite aux #ECNi2020, WUD lance une série d'entretiens avec des responsables de syndicats d'internes, pour vous faire découvrir les différents DES et régions qui s'offrent à vous. Aujourd'hui, entretien avec Sacha Weber, interne en Normandie.

Dans l'optique du choix des spécialités et des établissements suite aux #ECNi2020, WUD lance une série d'entretiens avec des responsables de syndicats d'internes, pour vous faire découvrir les différents DES et régions qui s'offrent à vous. Aujourd'hui, entretien avec Pascal Wang, interne en pneumologie, qui défend un DES très varié et dans lequel on ne s’ennuie pas.

Franche discussion avec le combo de rock Saint-Hilaire, composé principalement de médecins. 

Guillaume est aujourd'hui psychiatre. Son premier mort, c'était un jeune footballeur admis pour une suspicion d'endocardite. Un patient qu'il ne s'attendait pas à voir mourir. Son CCA non plus, qui a mal géré la situation et a demandé à ses externes d'accueillir la famille. Premier massage cardiaque, premier mort, première annonce... Guillaume s'en souviendra longtemps.

Guillaume, maintenant entrepreneur dans la e-santé, se souvient très bien de son premier mort, alors qu'il était externe. Si le praticien hospitalier qui le chapeautait l'avait bien préparé à l'annonce de la mort, l'attitude de la famille de la défunte l'a scotché...

Tout le long de ce mois, nous diffusons en podcast des témoignages de jeunes médecins, internes, externes, confrontés à leur premier mort, pour accompagner la sortie de notre gros dossier "Le médecin et la mort" du WUD 46. Aujourd'hui, le gastro-entérologue et romancier Henri Duboc nous raconte l’histoire rocambolesque de son premier mort. Faire une garde en cardio' en compagnie d’un interne qu’on ne pas piffrer, c’est déjà assez difficile. Mais quand, à la suite d’un arrêt cardiaque, ce même interne vous demande d’annoncer le décès d’une mamie de 95 ans qui n’est pas encore tout à fait morte, ce n’est plus difficile à vivre, cela devient un cauchemar éveillé ! Quelques années plus tard, Henri Duboc revient sur cet événement douloureux qui lui aura permis de prendre conscience d’un certain nombre de choses.

Arrivé en stage d'externat en oncologie, Jean-Victor a découvert un  service où pour beaucoup de patients, les sorties se font vers la  morgue. Une situation à laquelle il n'était pas préparé. Et parler de la  mort avec l'équipe soignante, ce n'est pas toujours évident. Entre attachement aux patients et second degré sur leur sort, malgré une  spécialité intellectuellement très stimulante, notre externe a compris  que la cancéro n'était pas faite pour lui...

Idris est actuellement interne en anesthésie-réanimation. Son premier mort, il s'en souvient comme si c'était hier. Une dame, qui était admise pour un malaise passager, et qui est décédée en quelques heures...