FAREL MANU

Chapitre 1 : LE DEBUT Nombreux vivent dans le bonheur, la guettée. Épargnés des tenaces carences financières engendrées par l’évolution de notre société, ces jeunes fourbes ne s’empêchent point de dépenser à leur guise. Bien qu’il existe également parmi cette qualité de personne, ceux-là qui vivent vraiment des situations pénibles. Difficile de vivre ainsi. Quel galère ! Certains s’offrent à des pratiques allant à l’encontre des lois divines. Devrions - nous les juger ? Après tout, chacun fait ce qu’il veut de sa vie. Cependant, qu’est-ce que la vie ? Le destin existe-t-il réellement ? Chaque séparation est - elle le fruit d’une coïncidence ? Toutes ses questions tournaient sans cesse dans mon être. La tristesse envahissante était le meilleur ami des cœurs meurtris ; je l’étais ; j’avais perdu mon père et il fallait que je lui parle. Dans cette ouvrage je vous évoquerai deux catégories de personnes ; les riches et les pauvres qui tous, malgré leurs particularités et leurs statuts, restent égaux ! Mais l’égalité ? Pourquoi l’égalité ? « Mais attendez un instant, croyiez-vous réellement que je vais vous parler d’égalité ? Non je voulais juste attirer votre attention. Alors et si on continuait la lecture » La particularité de cet œuvre est l’accent pertinent sur l’amour paternel, les relations familiales et des sentiments nourris. Ils ne sont étrangers à aucun de nous, nous les connaissons tous. Toutefois, il existe un sentiment qui est d’autant plus brutal et imprévisible quand il est ressenti. Il est causé par un fait naturel, celui de la perte d’un être cher ; En effet vous l’aurez compris, c’est la mort ; elle avait prit mon père. Cette chronique n’est guère en réalité un ouvrage avec des structures romancées et des réalités universelles mais plutôt un message authentique ; Une lettre a mon père. À suivre …. High Glory R&R Quality And Loyalty Business 🏴‍☠️